FER HÉMATIQUE L.-J. MICHEL PHOSPHATE DE FER TRIBASIQUE SOLUBLE Cette préparation est l'application des dernières découvertes présentées à l'Académie des Sciences de Paris, en 1873 et 1874, sur la constitution du sang. C'est le seul Ferrugineux qui ait la composition du fer du sang. C'EST LE FER PHYSIOLOGIQUE C'est sous cette forme même (fer phospható) que le renferment les principaux aliments: lait, blé, chair musculaire, etc. C'EST LE FER ALIMENTAIRE Aussi il n'est pas de reconstituant plus prompt et plus sûr. Il est insipide, ne noircit pas les dents et à de plus l'heureuse propriété de faciliter les garderobes. Il est immédiatement soluble dans tous les aliments liquides ou demi-liquides de l'usage quotidien : eau, vin, bière, bouillon, potage, bouillic, etc. Il est sous forme de poudre et de dragées. Une cuillerette accompagne chaque flacon Doses: 1 à 2 cuillerelles de Poudre, 2 à 4 Dragées, par jour.-Prix: 3 fr. le Flacon. Thérapeutique des Affections Rhumatismales Guérison de la Goutte, des Rhumatismes, des Foulures, des Entorses, des Maladies BAUME A L'HUILE CONCRÈTE DE LAURIER D'ARABIE AL-GHAR du Docteur ALI Lorsqu'on frotte avec ce Baume la partie malade, il s'y développe bientôt une très-vive chaleur, mais qui ne produit aucune irritation à la peau, contrairement aux autres produits, qui enflamment généralement les parties sur lesquelles on les applique, et ne soulagent momentanément qu'en substi-i tuant une douleur à une autre. Pharmacie MARIANI, 41, boulevard Haussmann, et principales pharmacies. PARIS. IMPRIMERIE DE R. MARTINET, RUE MIGNON, 2 LA REVUE SCIENTIFIQUE ET LE CAS DE M. MENU DE SAINT-MESMIN, par M. Émile Alglave. d'ophthalmologie. Section d'accouchements. - SESSION DE BRUXELLES. Visite aux égouts de Bruxelles. CORRESPONDANCE. Lettres de M. CH. SAINTE-CLAIRE DEVILLE et de M. CONTEJEAN. BULLETIN DES SOCIÉTÉS SAVANTES. Académie des sciences de Paris. CHRONIQUE SCIENTIFIQUE. L'organisation des Universités cléricales. PRIX DE L'ABONNEMENT Les abonnements partent du 1o de chaque trimestre. Bureaux de la Revue : Paris, librairie GERMER BAILLIÈRE, 17, rue de l'École-de-Médecine. : On s'abonne à LONDRES chez Baillière, Tindall et Cox, et Williams et Norgate; à BRUXELLES chez G. Mayolez; à MADRID chez Bailly-Baillière; à LISBONNE chez Silva junior; à STOCKHOLM chez Samson et Wallin; à COPENHAGUE chez Höst; à ROTTERDAM chez Kramers; à AMSTERDAM chez Van Bakkenes; à GENES Chez Beuf; à FLORENCE chez Loescher;à MILAN chez Dumolard; à ATHÈNES chez Wilberg; à ROME chez Bocca; à GENÈVE chez Georg; à BERNE chez Dalp; à VIENNE chez Gerold et Cie; à VARSOVIE chez Gebethner et Wolff; à SAINT-PÉTERSBOURG chez Mellier; à ODESSA chez Rousseau; à Moscou chez Gautier; à NEW-YORK chez Christern ; à BUENOS-AYRES chez Joly; à PERNAMBUCO chez de Lailhacar et Cie; pour l'ALLEMAGNE à la direction des postes. AU BROMURE DE POTASSIUM PRÉPARÉ PAR J. P. 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Menu de Saint-Mesmin promet d'être féconde en révélations non moins piquantes qu'inattendues. Il vient même déjà de s'en produire une qui nous oblige à en dire quelques mots, car elle concerne la Revue scientifique : une des causes tant cherchées de la révocation de M. Menu de Saint-Mesmin serait tout simplement la lecture de la Revue scientifique à l'école d'Auteuil !!... Voici comment la chose serait arrivée, d'après les intéressés eux-mêmes. On sait que M. Menu de Saint-Mesmin, directeur de l'école normale du département de la Seine (à Auteuil) et ancien préfet général des études du collège Chaptal, était, il y a quelques jours encore, entouré de l'estime universelle, sans en excepter l'administration compétente qui, le 19 août dernier, faisait sur lui le rapport le plus élogieux en demandant au ministère de lui donner de l'avancement (1). Six semaines après, le 30 septembre, arrivait une décision ministérielle le mettant en « inactivité ». Pourquoi?... La lettre ministérielle n'en disait rien et semblait même vouloir se montrer douce au révoqué, en lui main (1) L'Ecole d'Auteuil est soumise à une commission de surveillance ainsi composée : Président, M. Berthelin, conseiller à la Cour de cassation; membres MM. l'abbé d'Hulst, vicaire général de l'archevêque de Paris; Martial Bernard, conseiller municipal; Marguerin, administrateur des écoles municipales: Sueur, conseiller général. Voici les termes du rapport de cette commission, en date du 19 août 1875 : << Enfin la commission de surveillance, reconnaissant les services rendus dans la création de l'Ecole normale par le directeur, qui compte seize années de services dans l'enseignement public, renouvelle la demande qu'elle a faite dès l'année 1874 d'une augmentation de 2000 fr. en sa faveur, et qui porte son traitement à 10 000 fr. Elle rappelle à ce sujet les termes dans lesquels elle a précédemment formulé son opinion sur ce fonctionnaire : » Le directeur avait un passé qui donnait l'assurance des services 2o SÉRIE. REVUE SCIENTIF. IX. tenant les trois quarts de son traitement. Tous les révoqués n'en sont point là, tant s'en faut. Mais le public, toujours curieux, se mit à chercher et trouva bien vite, à côté de M. Menu de Saint-Mesmin, le préfet des études, M. Rondelet, dont la nomination sous un autre titre avait soulevé un incident l'année dernière au conseil municipal de Paris, et l'aumônier, M. l'abbé de Broglie, qu'on disait l'œil de son frère, l'ancien ministre, dans la maison d'Auteuil. Tous les journaux quotidiens déclarèrent aussitôt que la disgrace de M. Menu de Saint-Mesmin était la conséquence de ses dissentiments avec l'aumônier, et M. Francisque Sarcey, dans le XIX Siècle, se fit particulièrement remarquer par l'énergie de ses affirmations. Il en résulta pour lui un communiqué comminatoire, lui fermant la bouche, et annonçant d'ailleurs l'ouverture d'une enquête sur le cas de M. Menu de Saint-Mesmin. M. l'abbé de Broglie écrivit naturellement au XIX Siècle qu'il était tout à fait étranger à l'affaire, ce qui obligea M. Menu de Saint-Mesmin à dire en quoi il y avait été mêlé. Voici les deux lettres : qu'il a rendus à l'Ecole normale. Pendant les vingt années qu'il a consacrées à l'enseignement gratuit des adultes et pendant quatorze ans qu'il a passées au collége Chaptal comme préfet général des études, il a fait preuve d'un esprit élévé et d'une intelligente initiative. Son activité au moment de la formation de l'Ecole normale, les qualités qu'il a déployées pour organiser, dans un temps très-court, un établissement de cette importance, la direction qu'il s'est efforcé de donner aux études, les préceptes de moralité et de bonne éducation dont il a su pénétrer ses élèves, méritent toute l'approbation de la commission, qui est heureuse de trouver l'occasion de lui rendre ee témoignage, » 16 >> Je lis ce soir, dans plusieurs journaux, une lettre adressée au XIX Siècle par M. l'abbé de Broglie, lettre de laquelle il semblerait résulter qu'aucun dissentiment ne s'est produit entre lui et moi sur ce qu'il appelle la question religieuse. Permettez-moi de rectifier cette assertion et de vous exposer les faits dans toute leur sincérité. >> Pendant la première année de son ministère ou à peu près, M. l'abbé de Broglie a paru, en effet, disposé à suivre et même à me demander mes conseils; il avait alors une attitude fort humble. Mais depuis, les choses ont bien changé, et particulièrement dans le cours de l'année dernière, nous avons cessé d'ètre d'accord sur plus d'un point. » J'ai dû, par exemple, me conformant à l'intention formelle des parents, modérer ses excès de zèle et son action envahissante; » J'ai dû m'opposer à l'introduction de certaines pratiques, en usage dans les séminaires, mais hors de propos dans notre école laïque; » J'ai dû lui faire observer que toutes ses tentatives pour introduire des sœurs à la lingerie et à l'infirmerie de l'école seraient vaines, cette introduction, quelque respect que je professe pour cet ordre de religieuses, étant en contradiction avec l'organisation de l'école d'Auteuil ; » J'ai dû prendre, malgré son mécontentement, les mesures nécessaires pour assurer aux élèves de la religion réformée une instruction spéciale. » Et, sur un autre terrain: » J'ai dû, malgré son avis, laisser entre les mains de mes élèvesmaitres, plusieurs publications telles que la REVUE SCIENTIFIQUE, le BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ FRANKLIN, etc., etc. » Au surplus, avec lui, les discussions étaient de courte durée. Il paraissait comprendre qu'il était inutile d'insister; que j'étais décidé à ne subir aucun empiétement qui pùt changer les conditions de l'établissement et à empêcher, dans l'intérêt commun, tout zèle intempestif et toute imprudence. » En apparence, M. l'abbé de Broglie se résignait sans trop de peine, et plus d'une fois j'ai reçu ses remerciments pour les bons conseils dont j'éclairais son ignorance de la vie pratique. » Voilà la vérité. » Je regrette bien vivement, monsieur le rédacteur en chef, d'être obligé de prendre part moi-même à ce débat. Quoique fort maltraité depuis quelques jours, je n'ai attaqué personne. Aujourd'hui encore, je me borne à me défendre. >> Veuillez agréer, etc. » E. MENU DE SAINT-MESMIN, » Malgré la netteté de l'affirmation concernant la Revue scientifique, nous ne pouvions y voir qu'une boutade échappée à la mauvaise humeur trop naturelle d'un homme qu'on pousse poliment à la porte. Mais voici que M. l'abbé de Broglie confirme et aggrave même cette allégation, en essayant de la réfuter. La vénérable Gazette de France, qui ne se permettrait pas de plaisanter en pareille matière, la reprend à son compte et déclare qu'un fait d'une gravité aussi exceptionnelle suffit amplement à justifier la révocation de M. Menu de Saint-Mesmin. Révoquer un professeur parce qu'il dirige ou inspire une Revue scientifique mal pensante, cela s'était peut-être déjà vu autrefois, sous le règne de l'ordre moral; - mais le révoquer parce qu'il la laisse.lire! cela serait à coup sûr plus étonnant, surtout sous la constitution républicaine du 25 février et le ministère de celui qu'on en appelle justement le père. C'est cependant ce que soutient la Gazette de France Écoutez plutôt : « Un point de ce débat nous paraît d'une sérieuse gravité. » M. Menu de Saint-Mesmin apporte, comme une preuve de son innocence, de son amour de la religion et de la culpabilité de M. de Broglie, la raison suivante : « J'ai dù, malgré son avis, laisser entre les mains de mes » élèves-maîtres plusieurs publications telles que la Revue » scientifique, le bulletin de la Société Franklin, etc., etc. »> » De son côté, M. de Broglie répond : « J'ai appris par votre article que l'École normale était >> abandonnée à la Revue scientifique; je l'ignorais encore. » Renseignements pris, je viens de savoir que, dans le cou>> rant de l'année dernière, le professeur de physique de l'École » normale signala des thèses matérialistes dans les devoirs de » ses élèves, et que M. Rondelet, interrogé sur ce fait, montra à » M. de Saint-Mesmin, dans la Revue scientifique, l'expression » d'une pensée identique à celle qu'on reprochait aux futurs in»stituteurs. Il n'insista pas, d'ailleurs, et, comme vous le » dites, l'École est restée abonnée à la Revue scientifique. » » En vérité, n'est-ce pas un fait d'une gravité exceptionnelle, que, dans une école normale, on permette aux jeunes gens de s'inspirer d'une Revue qui soutient que « la pensée est la sécrétion du cerveau », et que la responsabilité morale n'existe pas? >> Dans la discussion de la loi qui a établi la liberté de l'enseignement supérieur, Mor Dupanloup a dévoilé ces détestables doctrines, sources de trouble pour l'esprit, de désordres pour la société. Les adversaires de la liberté de l'enseignement n'avaient pas eu d'autre réponse que de prétendre que les professeurs de l'Université n'enseignaient pas de telles doctrines. » M. Menu de Saint-Mesmin, lui, remplaçait les professeurs absents par l'influence matérialiste de la Revue scientifique. Ce fait-là, il l'avoue lui-même. Comment s'étonne-t-il alors qu'un pouvoir vigilant, soucieux de la dignité de nos instituteurs, assuré de la force sociale des doctrines spiritualistes, l'ail mis en congé d'inactivité? >> Sans connaître encore les motifs particuliers qui ont décidé la retraite de M. de Saint-Mesmin, la mesure qui le frappe nous paraît, en présence de ces faits, une mesure de sauvegarde prise en faveur des instituteurs et en faveur de nos enfants. Tant que les sociétés se maintiendront par la dignité personnelle de leurs membres, nous croirons qu'il est du devoir des gouvernants de ne pas tolérer que les instituteurs apprennent à considérer leur pensée comme une sécrétion de leur cer |