Manuel historique de politique étrangère: Le temps present. 4. éd. 1915Belin frères, 1915 - Europe |
Contents
1 | |
18 | |
34 | |
51 | |
61 | |
67 | |
71 | |
88 | |
349 | |
365 | |
392 | |
414 | |
423 | |
631 | |
645 | |
656 | |
94 | |
142 | |
187 | |
206 | |
209 | |
216 | |
226 | |
232 | |
237 | |
246 | |
258 | |
269 | |
301 | |
312 | |
333 | |
665 | |
666 | |
675 | |
688 | |
713 | |
720 | |
727 | |
742 | |
753 | |
767 | |
782 | |
790 | |
841 | |
841 | |
841 | |
Common terms and phrases
Allemands alliance anglais août Arese armée autrichien avaient Belges Belgique Berlin Beust Bismarck Broglie Bruxelles c'était cabinet Casimir Périer catholiques Cavour Charles X chef comte concours Conférence de Londres conflit Congrès conquête conseils constitution Convention crise croisade czar décisive démocratie désormais Diète diplomatie disait Drouin de Lhuys écrivait espérances Etats Europe européenne eût fédérale février française Francfort François-Joseph germanique gouvernement Grèce guerre Guizot Hollande Hongrois italienne janvier juillet juin Jules Favre l'Allemagne l'Angleterre l'armée l'Autriche l'Empereur l'Empire l'Europe l'Italie l'union l'unité laisser libéraux liberté Louis-Philippe mars Méhémet-Ali menaces Metternich ministre mois monarchie n'avait n'était Napoléon Napoléon III nation nationale négociations Nicolas Ier novembre octobre pacifique paix Palmerston patriotes peuple politique Pologne prince propagande Prusse prussien puissances race réclamer refus républicains République revanche Révolution romaine Rome Roumains Russie s'était Sainte-Alliance septembre Slaves souverains sultan surtout Talleyrand Thiers tion traité troupes Turcs Turquie Vénétie victoire Victor-Emmanuel Vienne whigs
Popular passages
Page 562 - Puissances empèchera-t-elle sans cesse les progrès de la civilisation ? Entretiendrons-nous toujours de mutuelles défiances par des armements exagérés ? Les ressources les plus précieuses doivent-elles indéfiniment s'épuiser dans une vaine ostentation de nos forces ? Conserverons-nous éternellement un état qui n'est ni la paix avec sa sécurité, ni la guerre avec ses chances heureuses ? Ne donnons pas plus longtemps une importance factice à l'esprit subversif des partis extrêmes, en...
Page 695 - La Russie n'a pas empêché l'unification forcée de l'Allemagne « et, à son tour, elle ne songe pas à l'unification forcée des Slaves. « Mais elle a le droit de demander que sa position sur la mer Noire « et les bords du Danube soit rendue moins lourde.
Page 619 - France — c'est votre mot; — nous ne rechercherons pas l'emploi que vous avez fait de ses trésors, de son sang, de son honneur et de sa gloire; nous ne parlerons pas de son intégrité compromise...
Page 239 - Mais elle exercera, par la lueur de ses idées, par le spectacle d'ordre et de paix qu'elle espère donner au monde , le seul et honnête prosélytisme, le prosélytisme de l'estime et de la sympathie.
Page 65 - Porte ottomane, à la place du secours qu'elle doit prêter au besoin , d'après le principe de réciprocité du traité patent, devra borner son action en faveur de la cour impériale de Russie à fermer le détroit des Dardanelles, c'est-à-dire, à ne permettre à aucun bâtiment de guerre étranger d'y entrer sous un prétexte quelconque.
Page 2 - Charles X ne peut plus rentrer dans Paris : il a fait couler le sang du peuple. « La république nous exposerait à d'affreuses divisions; elle nous brouillerait avec l'Europe. « Le duc d'Orléans est un prince dévoué à la .cause de la Révolution. « Le duc d'Orléans ne s'est jamais battu contre nous. « Le duc d'Orléans était à Jemmapes. « Le duc d'Orléans a porté au feu...
Page 140 - ... guerres d'extermination, à des guerres « zoologiques », permettez-moi de le dire, analogues à celles que les diverses espèces de rongeurs ou de carnassiers se livrent pour la vie.
Page 215 - Six cent treize individus ne se laissent pas mettre sur un lit de Procuste, et, si on les y met, ils font sauter le lit et s'en procurent un meilleur. Il faut que, sous la pression du nouveau système , la Prusse ait ses coudées franches ; il faut qu'elle s'efforce d'agrandir l'espace dans lequel elle se trouve emprisonnée; l'idée allemande lui en fournit les moyens tout prêts, et ces moyens, c'est l'idée des « nationalités « qui les lui offre, cette idée qui dit tout et qui ne dit rien,...
Page 239 - ... lueur de ses idées, par le spectacle d'ordre et de paix qu'elle espère donner au monde, le seul et honnête prosélytisme, le prosélytisme de l'estime et de la sympathie. Ce n'est point là la guerre, c'est la nature. Ce n'est point là l'agitation de l'Europe, c'est la vie. Ce n'est point là incendier le monde, c'est briller de sa place sur l'horizon des peuples pour les devancer et les guider à la fois.
Page 245 - pas dire perdu sa cause par un vaniteux entêtement à repous« ser une assistance généreusement offerte. Aux jours de la • prospérité, la liberté italienne n'a pas dit un mot, n'a pas « accompli un acte qui ne fût désobligeant ou même hostile à « notre égard ; il n'entre aucune pensée de rancune ou de ven> geance dans notre esprit; mais nous sommes avertis et nous