Histoire politique et littéraire de la presse en France, Volume 2Poulet-Malassis et De Broise, 1859 - French newspapers |
Contents
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Common terms and phrases
articles assez aurait auteurs Basnage Bayle Bibliothèque Bureau d'adresse c'était Camusat censeur chose Corancez critique curieux Delisle de Sales dire dit-il donner écrits écrivains ennemis esprit eût extraits feuille Fréron Gazette gens de lettres goût Harpe Hollande homme Houtteville imprimer jamais jour Journal de Trévoux Journal des Savants Journal ecclésiastique Journal littéraire juger l'abbé Bignon l'abbé Desfontaines l'Année littéraire l'auteur l'esprit l'Europe laissé Leclerc lecteurs libraires littérature livres nouveaux louer Malesherbes matières Mémoires ment Mercure mérite monde n'avait n'était nouveau journal Nouvelles littéraires Nouvelliste du Parnasse Ouvrages des Savants parler Parnasse passer périodiques personnes Petites Affiches philosophique pièces police préface premier journal privilége public publication qu'un quelquefois Querlon raison recueil rédacteurs réflexions Renaudot République des Lettres rien s'était Sainte-Beuve Sallo satires sciences sent serait seul sieur sorte style Suard succès sujet talents teurs Théophraste Renaudot tion titre trouve vérité Voltaire volumes vrages Ximenès XVIIIe siècle
Popular passages
Page 329 - C'est un plaisir de voir les pouilles que l'abbé d'Aubignac, prédicateur du roi, prodigue à l'auteur de Cinna. Il ya eu de tout temps des Frérons dans la littérature; mais on dit qu'il faut qu'il y ait des chenilles, pour que les rossignols les mangent afin de mieux chanter. J'ai l'honneur d'être, etc.
Page 194 - Aux journaux de Hollande il nous fallut passer ; Je ne sais plus sur quoi ; mais on fit leur critique. Bayle est, dit-on, fort vif; et, s'il peut embrasser L'occasion d'un trait piquant et satirique, II la saisit, Dieu sait, en homme adroit et fin : II...
Page 37 - Mais un journal de tous les matins était tellement approprié au goût des Français et à la vie de Paris, qu'on ne faisait plus de déjeuner où celui-là ne fût à côté du chocolat ou du café à la crème.
Page 299 - SÉNAT, en récompense d'une si heureuse nouvelle, assura le messager qu'il relèverait toutes ses pièces tombées, qu'il forcerait le public à les trouver nobles et touchantes, ou du moins qu'il les ferait jouer devant lui. Au second, au troisième, au quatrième acte, nouveaux courriers, nouveaux avantages. Enfin le faible détachement du goût fut écrasé par la supériorité du nombre, et les barbares se virent' maîtres du champ de bataille.
Page 293 - De plus, M. de Voltaire aurait-il jamais osé traiter quelqu'un de fripon? Il connaît les égards, il sait trop ce qu'il se doit à lui-même et ce qu'il doit aux autres.
Page 189 - Quand on a un style à soi , comme Montaigne , par exemple , qui certes est un grand esprit critique, on est plus soucieux de la pensée qu'on exprime et de la manière aiguisée dont on l'exprime, que de la pensée de l'auteur...
Page 329 - De la Harpe , at-on dit, l'impertinent visage Appelle le soufflet * ; ce mot n'est qu'un outrage. Je veux qu'un trait plus doux , léger, inattendu , Frappe l'orgueil d'un fat plaisamment confondu. Dites : Ce froid rimeur se caresse lui-même ; Au défaut du public il est juste qu'il s'aime ; Il s'est signé grand homme', et se dit immortel Au Mercure!
Page 298 - J'ai entendu dire sérieusement, remarquait-il, qu'il est contre le bon ordre de laisser imprimer que la musique italienne est la seule bonne. . , » Je connais des magistrats qui regardent comme un abus de laisser imprimer, sur la jurisprudence, des livres élémentaires, et qui prétendent que ces livres diminuent le nombre des véritables savants.
Page 157 - Les uns croient que c'est outrager les hommes que d'en faire » une si terrible peinture, et que l'auteur n'en a pu prendre l'original » qu'en lui-même. Ils disent qu'il est dangereux de mettre de telles » pensées au jour, et qu'ayant si bien montré qu'on ne fait...
Page 277 - Cent fois plus malheureux et plus infâme encore Est ce fripier d'écrits que l'intérêt dévore, Qui vend au plus offrant son encre et ses fureurs ; Méprisable en son goût , détestable en ses mœurs ; Médisant, qui se plaint des brocards qu'il essuie ; Satirique ennuyeux , disant que tout l'ennuie ; Criant que le bon goût s'est perdu dans Paris , Et le prouvant très bien, du moins par ses écrits.