Du prince de Bénévent au duc de Morny: Talleyrand et la société européene: Vienne, Paris, Londres, Valençay |
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affaires Alexandre ambassadeur âme aurait avaient Bacourt Bénévent Blacas Bonaparte Bourbons c'était Castlereagh chambre charme château choses cœur comte comtesse Congrès de Vienne conversation Courlande d'État devait diplomate dire disait Dorothée de Courlande duc d'Orléans duc de Wellington duchesse de Dino Dupanloup esprit européenne faisait femme fût gens Gentz goût gouvernement heures homme jour l'abbé Dupanloup l'âme l'Angleterre l'Autriche l'avait l'Église l'empereur l'esprit l'Europe l'un laissait lettre leyrand Liéven Londres lord lord Castlereagh Louis XVIII Louis-Philippe lui-même Madame Adélaïde main Majesté Mémoires ment Metternich ministre Mirabeau Mme de Dino monde Montrond morale Murat n'avait n'en n'était Naples Napoléon paroles passé passion Paul de Noailles pendant pensée Périgord personnage personne plaisir politique Pozzo di Borgo première prince de Bénévent prince de Talleyrand princesse Prusse puissances Quélen raison rand reste rien Royer-Collard Russie s'en s'était salons secret sentiments serait seul société soir sorte Talley tion trône tsar Tuileries Valençay visites
Popular passages
Page 71 - Français que j'aimerai à choisir ceux qui doivent approcher de ma personne et de .ma famille. .. • » Je ne veux exclure de ma présence que ces hommes dont la renommée est un sujet de douleur pour la France , et d'effroi pour l'Europe.
Page 328 - J'y poserai de ces mains que voilà ton épitaphe en marbre plus pur que les statues de nos gloires d'un jour. La postérité répétera nos noms comme ceux de ces amants immortels qui n'en ont plus qu'un à eux deux, comme Roméo et Juliette, comme Héloïse et Abélard.
Page 71 - Je promets , moi qui n'ai jamais promis en vain ( l'Europe entière le sait ) , de pardonner aux Français égarés tout ce qui s'est passé depuis le jour où j'ai quitté Lille , au milieu de tant de larmes , jusqu'au jour où je suis rentré dans Cambrai, au milieu de tant d'acclamations.
Page 66 - Je n'y vois qu'inconvénients, que complications inutiles vis-à-vis des généraux alliés, et que de graves inconvénients vis-à-vis de l'intérieur. Restez fidèle à votre idée ; faites aller le roi en France : dans le midi, dans le nord dans l'ouest, où vous voudrez, pourvu qu'il soit seul chez lui, entouré de Français, loin des baïonnettes étrangères et des secours de l'étranger.
Page 71 - France; chaque jour me révèle un désastre nouveau. Je dois donc, pour la dignité de mon trône, pour l'intérêt de mes peuples, pour le repos de l'Europe, excepter du pardon les instigateurs et les auteurs de cette trame horrible. Ils seront désignés à la vengeance des lois par les deux Chambres, que je me propose d'assembler incessamment.
Page 224 - Pontife à mon égard, de faire arriver au Saint-Père, comme je le désire, l'hommage de ma respectueuse reconnaissance et de ma soumission entière à la doctrine et à la discipline de...
Page 67 - ... rapports d'industrie et de commerce multipliés, toutes les communications utiles perfectionnées et facilitées d'après les principes d'une politique libérale. Nous nous flattions enfin que le congrès couronnerait ses travaux en substituant à ces alliances passagères, fruits des besoins et des calculs momentanés, un système permanent de garantie commune et d'équilibre général, dont nous avions fait apprécier les avantages par toutes les puissances.
Page 71 - Cette trahison a appelé l'étranger au cœur de la France. Chaque jour me révèle un désastre nouveau. Je dois donc, pour la dignité de mon trône, pour l'intérêt de mes peuples, pour le repos de l'Europe, exempter du pardon les instigateurs et les auteurs de cette trame horrible.
Page 66 - Il suffit de suivre le système du gouvernement de Bonaparte pour se convaincre que la grande arme dont il veut se servir est celle de l'émigration. Le roi cessera d'être émigré le jour où il sera chez lui, au milieu des siens.
Page 71 - Les portes de mon royaume viennent enfin de s'ouvrir devant moi; j'accours, j'accours pour ramener mes sujets égarés , pour adoucir les maux que j'avais voulu prévenir, pour me placer une seconde fois entre les armées alliées et les Français, dans l'espoir que les égards dont je peux être l'objet tourneront h leur salut.