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Eage de ce dernier, jusqu'au 8 février 1871, époque ela dissolution de la communauté, et ce suivant la ste qui en a été signifiée par le demandeur;

« Dit que ce dernier a droit pour l'avenir à la moitié es sommes qui pourront être perçues sur lesdits ouages à titre de droit d'auteur;

« Dit également que le montant desdits droits qui -t été encaissés par le père depuis le décès de la mère qu'au 27 juillet 1876, date des saisies-arrêts, sera té à l'actif de la communauté pour être attribué par itié à chacune des parties;

Ordonne la rectification de l'état liquidatif conforment à ce qui vient d'être dit;

L'homologue pour le surplus;

Déclare bonnes et régulières les saisies-arrêts susncées, lesquelles sont maintenues et vaudront jusconcurrence de moitié des recettes effectuées par iers-saisis à titre de droit d'auteur sur lesdites res du père depuis la date des oppositions, sauf fois, à l'égard des tiers-saisis, l'effet de l'ordone de référé susdatée pour la période indiquée plus

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vient de remarquer que l'Exposition de a malheureusement été visitée par un i n'avait pas été convié à la fête le ; quant à l'Exposition de Philadelphie, ait pas précisément à la portée des vid'Europe. Elle a cependant presque e nombre des visiteurs de 1867; elle l'a épassé si l'on tient compte de sa moine: en moyenne, elle a eu 61,938 visijour, tandis que l'Exposition de 1867 it eu que 47,619, et elle est arrivée un chiffre énorme de 274,913 visiteurs, t de plus de 100,000 le plus gros e1867.

permis d'espérer dès à présent que

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devancières par la beauté et l'étendue de ses installations, aussi bien que par le nombre des exposants. Elle occupera une superficie de 70 0/0 plus étendue que l'Exposition de 1867.

Le Publisher's Circular contient quelques chiffres intéressants sur le commerce des livres dans le Royaume-Uni en 1877.

Malgré l'atonie presque générale des affaires, on remarque une légère agmentation sur les années précédentes dans le nombre des livres publiés l'année dernière en Angleterre. 1875 avait fourni un total de 4,854; 1876, de 4, 88; on trouve, en 1877, 5,095 livres inscrits au Row ou Stationner's Hall Court de Londres.

Les ouvrages de théologie figurent pour 485; ceux d'éducation, de philologie, pour 539, contre 470 en 1876. Les livres destinés à la jeunesse sont portés pour 522. Les ouvrages de fiction ont atteint le chiffre de 854; ceux de jurisprudence, celui de 118. L'économie politique comprend un total de 189 publications nouvelles; les beaux-arts, les sciences et les livres illustrés donnent le même chiffre de 189; l'histoire, la biographie, celui de 373; les voyages, la géographie, 209; la poésie, le drame, 572; la médecine, 215; les monographies, brochures, essais, 588.

D'après le Publisher's Weekly, de New-York, les libraires américains se préparent à prendre part collectivement à l'Exposition universelle de Paris. Selon le même journal, c'est l'agent français envoyé par le comité des éditeurs français à Philadelphie lors de l'exposition universelle en cette ville (M. Terquem), qui serait chargé de l'arrangement matériel et de l'organisation de cette exposition collective dans les bâtiments du Champ-de-Mars. C'est surtout par leurs ouvrages d'éducation et les ouvrages d'art publiés pendant la dernière saison, que les éditeurs américains comptent se distinguer.

Nous recevons des Etats-Unis le rapport annuel de l'université d'Harvard, une des principales de ce pays. A ce rapport est annexé un bulletin périodique indiquant les progrès de la bibliothèque à l'usage du personnel de l'université, tant élèves que professeurs. Ce document est curieux en ce qu'il montre les ressources mises, aux Etats-Unis, à la disposition des professeurs et des étudiants pour leurs travaux et leurs études.

La collection se compose de 230,000 volumes; elle se divise en plusieurs bibliothèques, consacrées l'une à la jurisprudence, l'autre à la médecine, une autre aux sciences, une qua

logie, une sixième à la botanique, une septième à l'astronomie, etc. En 1825, le fonds pour achat de livres et pour reliures n'était que de 250 dollars (le dollar vaut 5 fr.) par an; il est aujourd'hui équivalent à la rente produite par un capital de 170,000 dollars (850,000 fr.)., et ce capital ne cesse de s'accroître.

Il y a là une bibliothèque centrale composée de 164,000 volumes, à laquelle ressortissent les bibliothèques spéciales dont nous venons de parler. Il est question actuellement de rendre cette organisation plus compacte encore dans l'intérêt des élèves et des professeurs, et d'installer des téléphones de l'établissement central aux extrémités, comme il a déjà été pratiqué à Boston entre la bibliothèque de la ville et ses succursales, et cela par les soins de M. Justin Winsor, dirigeant alors les bibliothèques de Boston et appelé depuis à la direction de l'importante et riche bibliothèque de l'université d'Harvard.

(Journal officiel.)

NÉCROLOGIE.

Nous avons le regret d'annoncer la mort de M. François-Auguste Aubry, libraire, décédé le 13 janvier, à l'âge de 57 ans. M. Aubry faisait partie du Cercle de la Librairie depuis l'année 1867.

Ouvrages offerts au Cercle.

Par M. Ed. Rouveyre :

Catalogue des ouvrages, écrits et dessins de toute nature poursuivis, supprimés ou condamnés depuis le 21 octobre 1814 jusqu'au 31 juillet

1877.

Édition entièrement nouvelle, considérablement augmentée, suivie de la table des noms d'auteurs et d'éditeurs et accompagnée de notes bibliographiques et analytiques par Fernand Drujon. 1re livraison gr. in-8, papier vélin.

L'ouvrage doit être publié en 5 livraisons, et formera un fort volume de plus de 450 pages. Paris, Edouard Rouveyre.

Connaissances nécessaires à un Bibliophile. Seconde édition, revue, corrigée et augmentée. Charmant vol. in-18, imprimé sur papier vergé par Tolmer et Isidor Joseph. Paris, Edouard Rouveyre.

Par M. O. Lorenz :

Catalogue général de la librairie française depuis 1840, rédigé par Otto Lorenz, libraire. Tome VI. (Tome second du catalogue de 1866-1875. I-Z.) Deuxième fascicule. 1 vol.

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Lundi 21 janvier 1878. Autographe crivains, peintres, compositeurs de musi artistes dramatiques contemporains. E Charavay, rue de Seine, 51.

Mardi 29, mercredi 30 et jeudi 31 janvir's" Livres modernes imprimés sur papier What et papier de Hollande. Publications de éditions Jouaust, Lemerre, etc., proveng bibliothèque de M. Al. M***. (Pres?" deuxième parties). Libraire : A. Voisin.

Lundi 4 février 1878. Livres rares e cieux et dessins originaux, provenant da binet de M. P***. - Libraire : A. Lalite

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CHRONIQUE

DU JOURNAL GÉNÉRAL

DE L'IMPRIMERIE ET DE LA LIBRAIRIE.

Paris, au Cercle de la Librairie, de l'Imprimerie et de la Papeterie, rue Bonaparte, 1.

SOMMAIRE: Conseil d'administration du Cercle de la Librairie.
Ouvrages offerts au Cercle.

Jurisprudence.

Nécrologie.

CONSEIL D'ADMINISTRATION

DU CERCLE DE LA LIBRAIRIE.

rocès-verbal de la séance du 18 janvier 1878.

Présidence de M. BASSET.

La séance est ouverte à 9 heures du soir, eize membres présents; un se fait excuser. M. le SECRÉTAIRE donne lecture du procèsrbal de la séance du 21 décembre, qui est opté.

M. le TRÉSORIER fait un rapport sur la situain financière.

M. le PRÉSIDENT présente au conseil une tice imprimée sur la famille Baillière, qui a été adressée par M. J.-B. Baillière, avec lettre suivante :

Paris, 30 novembre 1877.

« Monsieur le Président,

« J'ai l'honneur de vous adresser, pour la Oliothèque du Cercle, un exemplaire de l'opusJe Famille Bailliere.

Il contient des renseignements sur cinq embres de ma famille dont quatre font encore rtie du Cercle, et pourrait servir d'exemple un jour, comme j'en ai exprimé souvent le sir, l'idée venait de faire un supplément à vrage de Lottin que vous et vos collègues naissez certainement. (A. M. Lottin. Cataue chronologique des libraires et des librairesprimeurs de Paris, depuis l'an 1470, époque l'établissement de l'imprimerie dans cette itale, jusqu'à présent. Paris, 1789, in-4°.) det avait eu la pensée de ce travail. Il en it écrit au Cercle sous la présidence de

M. Breton, mais il n'était pas dans des conditions favorables pour l'exécuter. Le Cercle, lui, serait placé convenablement pour inscrire sur des fiches les noms, prénoms, âge et lieu de naissance des libraires, imprimeurs, etc.; les fonctions honorables qu'ils ont remplies, enfin l'année et la date de leur décès. M. le gérant pourrait certainement relever aux articles nécrologiques du Journal de la librairie un grand nombre de notes sur nos confrères décédés. Il existe en outre des notices historiques sur beaucoup de libraires. Je citerai dans ces derniers temps Furne, Lecoffre, Lefèvre, Guillaumin, Pougens, Hachette, Bachelier, Jules. Tardieu, Didot, Delalain, etc. Je voudrais y voir inscrire, non-seulement tous les membres du Cercle, mais tous les libraires et imprimeurs qui, sans faire partie du Cercle, ont tenu un certain rang.

« Ne trouvez-vous pas, monsieur le Président, qu'il y aurait intérêt à avoir la succession des familles des libraires, à l'exemple des Saugrain, dont le premier en date était libraire à Paris en 1596 et le dernier de ceux connus était libraire en 1792; on aurait ainsi la filiation des Didot, des De Bure, des Renouard, des Delalain, des Hachette, des Crapelet, des Mé- . quignon, etc.?

«Mes infirmités me mettent dans l'impossibilité de prendre part en quoi que ce soit à ces iravaux, mais ayant été l'un des premiers fondateurs du Cercle, membre de presque toutes les Commissions pendant plus de trente ans, vice-président, je serais heureux si mon idée pouvait être prise en considération par le conseil d'administration.

« Veuillez agréer, monsieur le Président, l'expression de mes sentiments distingués.

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Une discussion s'engage sur la proposition formulée dans la lettre de M. J.-B. Baillière, et le conseil finit par s'arrêter à cette idée qu'un recueil de documents sur les personnes appartenant à nos industries serait intéressant, mais que le travail nécessaire pour constituer ce recueil ne peut être accompli par le gérant du Cercle. La publication de la lettre de M. J.-B. Baillière donnera peut-être à quelque membre du Cercle l'idée d'entreprendre cette tâche et, en attendant, on classera au Cercle tous les renseignements que les membres voudront bien y adresser.

M. le Président présente au conseil les ouvrages suivants qui ont été offerts à la bibliothèque du Cercle:

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Catalogue des ouvrages, écrits et dessins de toute nature poursuivis, supprimés et condamnés depuis le 21 octobre 1814 jusqu'au 31 juillet 1877. 1re livraison.

Connaissances nécessaires à un Bibliophile. Par M. O. Lorenz :

Catalogue général de la librairie française depuis 1840. Tome sixième.

Par M. Gabriel Charavay :

Régles définitives du participe passé, suivies d'exercices expliqués.

Par Mme la comtesse Agénor de Gasparin : Paroles de vérité, par le comte Agénor de Gasparin; A Constantinople, par l'auteur des Horizons prochains.

M. LE PRÉSIDENT expose qu'une commission formée pour étudier les modifications à apporter à la convention littéraire entre la France et l'Espagne, s'est réunie le jeudi 10 courant et a commencé ses travaux. Cette commission est composée de MM. Basset, Breton, Bouasse-Lebel, Boussod, Champenois, Colombier, Dentu, Didot, Dupuy, Calmann Lévy, Plon, A. Templier.

M. LE PRÉSIDENT communique au conseil les statuts d'une Société intitulée : l'Union des fabricants pour la protection internationale de la propriété industrielle et artistique. Cette Société, qui a été reconnue d'utilité publique, s'occupe notamment avec succès de la répression des contrefaçons à l'étranger.

M. LE PRÉSIDENT lit les notes qui lui ont été adressées par le directeur de l'Ecole commerciale de l'avenue Trudaine, sur le jeune Demoulin, élève boursier.

Le conseil reçoit la démission de M. Duquénel.

Demandent à faire partie du Cercle : 10 M. Chamerot, imprimeur, présenté par MM. Noblet et A. Templier.

2o M. Paul Ollendorf, libraire, présenté per MM. Godchaux, Reinwald et Bullmeyer.

Le conseil s'occupe ensuite de dresser à liste des candidats à présenter pour le rene vellement du conseil.

La séance est levée à onze heures.
Pour extrait :

Le Secrétaire,

A. TEMPLIER.

JURISPRUDENCE.

Tribunal de commerce de la Seine Audience du 28 décembre 1877.

Présidence de M. CROCÉ.

L'Encyclopédie du XIXe siècle. Le sousteur avait-il acheté un ouvrage formant série unique? - A-t-il droit de refuser la vraison sous prétexte qu'il y a plusieurs orde alphabétiques? Question de fait.

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Delamotte c. Clogenson. Clogenson c. Delamsti Le Tribunal,

Reçoit Clogenson opposant en la forme 15 jugement de défaut contre lui rendu per tribunal, le 25 septembre 1877, et statuant;a un seul et même jugement, tant sur le de son opposition que sur ses conclusion- ~conventionnelles;

Sur la demande principale;

Attendu que Clogenson, pour résister 4 4 demande en payement d'un billet de 100 fræ: souscrit par lui à l'ordre d'un sieur Richar payable le 5 août 1877, impayé et protest. soutient qu'il ne pourrait être tenu de payer somme réclamée, la fourniture qui lui a e faite n'étant ni loyale ni marchande;

Mais attendu que Clogenson ne fait pas ! preuve de ses allégations, et que fussent→→ justifiées, elles ne sont pas opposables à Der motte, tiers porteur saisi par endos rec lier;

Attendu que Clogenson souscripteur se à sa signature, qu'il ne justifie pas de sa ration; qu'il n'oppose aucune compensat liquide et exigible, qu'en conséquence ili être tenu au paiement.

Sur les conclusions reconventionnelles : Clogenson contre Delamotte.

Attendu qu'à l'appui de sa prétention,

du XIXe siècle en un ballot; qu'il n'aurait eu occasion de procéder à la vérification du contenu que longtemps après avoir versé un premier à-compte, et souscrit un règlement en valeurs;

Qu'il aurait reconnu que l'ouvrage à lui livré n'était pas conforme pour le papier, l'impression et les gravures, au spécimen à lui présenté lors de la souscription;

Qu'au lieu d'un ouvrage neuf comprenant dans un même cadre et dans l'ordre alphabétique des matières, une encyclopédie en 70 volumes, il n'aurait reçu qu'une encyclopédie en 48 volumes épuisant l'ordre alphabétique, et les suppléments présentant, en 22 volumes, lix nouveaux ordres alphabétiques; que ce norcellement diminuerait l'utilité pratique de 'ouvrage;

Que de plus, des retranchements et suppresions opérés dans la réimpression lui enlèveaient toute valeur;

Que l'ouvrage serait loin de représenter la omme de quatre cent cinquante francs;

Que, trompé sur la qualité de la marchanise vendue, il serait en droit de demander la estitution des cent cinquante francs par lui ersés et des valeurs par lui souscrites, repréentant 300 francs;

Mais, attendu que de l'aveu même de Cloenson, il a accepté la livraison à lui faite, ans protestation ni réserve; qu'il ne peut que en prendre à lui-même d'avoir reçu sans véification la marchandise qui lui était expédiée, ayé un à-compte, et souscrit trois billets à rdre;

Que, d'ailleurs, il ne justifie pas que l'ourage à lui livré soit différent comme papier, npression et gravure, du spécimen présenté rs de l'obtention de sa souscription;

Qu'il n'a jamais été promis par Delamotte ue l'ouvrage comprendrait un seul ordre alhabétique pour les soixante-dix volumes; u'il résulte, au contraire, de l'examen du spémen, composé de fragments d'articles emruntés à différents volumes, que Delamotte anonçait un article Marine dans le tome 64, n article Mexique dans le tome 54, un arcle Chemins de fer dans le tome 55, un rticle Chine dans le tome 51; que c'était là ne preuve que l'œuvre se composait de lusieurs séries alphabétiques; que la quarième édition était annoncée comme compreant toutes les collections antérieures et non as comme refondue entièrement ni même artiellement; que Clogenson n'a jamais stiulé que cette continuité d'un seul ordre alphaétique serait la condition à laquelle il semble tacher aujourd'hui tant d'importance; Que les suppressions et retranchements

cette 4o édition, ont été opérés pour combler des lacunes signalées dans les éditions précédentes.

Qu'il n'appartient pas au Tribunal de décider quelle est la valeur réelle et intrinsèque de l'ouvrage, dès que la convention s'est formée entre les parties sur le prix de la vente.

Qu'il n'est justifié à aucun égard que Clogenson ait été trompé sur la qualité de la marchandise; qu'il y a donc lieu de repousser la demande tant en restitution des cent cinquante francs et des trois valeurs, qu'en dommages-intérêts, aucun préjudice n'étant justifié;

Par ces motifs,

Déclare Clogenson mal fondé tant en son opposition au jugement du 25 septembre, qu'en ses conclusions reconventionnelles, l'en déboute et le condamne aux dépens.

NÉCROLOGIE.

Nous apprenons la mort de M. Juillet SaintLager, ex-libraire-éditeur, officier de la Légion d'honneur, décédé le 15 janvier 1878 à SaintEugène près Alger, à l'âge de 68 ans.

Après avoir servi avec distinction dans l'armée, il accomplit de lointains voyages et vint ensuite se fixer à Alger, où il reprit la suite des affaires de la librairie Dubos frères.

Enfermé dans Paris pendant l'investissement, il se rappela sa première profession et accepta les fonctions délicates de commandant en second de l'artillerie de la garde nationale.

Retiré des affaires depuis quelques années, M. Juillet Saint-Lager a terminé une existence bien remplie en emportant les regrets de tous ceux qui s'étaient trouvés en rapport avec lui.

Les derniers jours de l'année 1877 ont vu s'éteindre, à l'âge de 22 ans, Joseph Tresse, fils de Nicolas Tresse qui avait succédé à Barba dans la librairie théâtrale du Palais-Royal.

Joseph Tresse n'avait pas encore seize ans, lorsque la mort prématurée de son père l'obligea de quitter le collège Sainte-Barbe, où il faisait ses études, et d'apporter son concours à l'administration de la maison de commerce. Doué d'une vive intelligence, actif, plein d'aménité, il avait les qualités qui mènent au succès, et les publications qu'il avait déjà mises au jour telles que la Fille de Mãe Angot, Giroflé-Girofa, la Maitresse légitime, les Drames de

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