240 duites au décimètre. Il faut 16 lames. Largeur sur le métier: 1 mètre 85. Rôt: 54 broches au décimètre. Passage des fils: 4 par brochée. Faire correspondre les clairs B. Retrait au foulage: 22 0/0. Largeur définitive: 1 mèt. 40. Apprêt drapé. Poids de fil gras pour un mètre d'étoffe finie 1 k. 100. Nota. Nous pouvons fournir sur demande particulière et contre rétribution de 3 fr. 50 par livraison ou 75 francs par an, des morceaux d'étoffe suivant les désignations ci-dessus. L. B. L'UNIFICATION DE NUMÉROTAGE DES FILS DE LAINE, COTON ET SOIE Dans une récente séance de la chambre syndicale de la bonneterie et de la ganterie, cette question a été traitée d'une façon très pratique par le président, M. Verdier. Nous reproduisons le rapport qui a reçu l'approbation de toute l'assemblée : Le numérotage actuel des filés présente de grands inconvénients à l'emploi. La base varie suivant la matière: coton, fil, laine et soie. Le numéro de coton représente le nombre. de 1.000 mètres aux 500 grammes. Le numéro du fil d'Ecosse, de la schappe, le nombre de 1.000 mètres au kilogramme. La laine, d'après l'ancienne méthode, le nombre de fois 710 mètres aux 500 grammes et d'après le système métrique, le nombre de fois 100 mètres au kilogramme. Le numéro de la soie représente le nombre de deniers d'un écheveau de 476 mèt., etc. Cette énumération suffit pour prouver l'urgence d'une base unique pour les diverses matières, étant donnés les calculs compliqués auxquels doit se livrer un fabricant qui veut assembler des fils de matières différentes. Le fabricant qui veut assembler deux ou plusieurs fils de même matière coton par exemple, et se rendre compte du numéro unique obtenu par l'assemblage, doit déjà faire une opération assez longue. Supposons que nous recherchions un fil unique pour remplacer un fil 24 plus un fil 50 de coton, quel sera le numéro de ce fil? Quelques fabricants se contentent de prendre la moyenne des deux numéros et de diviser par deux comme ceci : 24 plus 50 égale 74, moyenne 37/2 un fil 17 1/2. Dans le cas présent, ce serait une erreur, car 24.000 m. de no 24 pèsent 500 grammes et 24.000mèt. de no 50, 250 gr. Total: 740 gr., d'où il résulte que 500 grammes de doublage dans ces deux numéros donne une longueur de 16.216 mèt. représentant un fil 16. Le fabricant doit rechercher quel est le poids d'un fil unique égalant en poids deux mêmes longueurs des fils de numéros différents, car ce sont deux mêmes longueurs que l'on tisse. 1.000 . de 24 égale 1/42.000 multiplié par 1.000 de 500 gr.; 1.000 m. de 50 égale 1/50.000 multiplié par 1.000 de 500 gr. Soit: 1/24 000 plus 1/50.000 multiplié par 1.000 de 500 gr., ce qui revient à réduire au même dénominateur de 2 fractions. D'où 1/16, comme équivalent des deux numéros ci-dessus. Si au lieu de deux fils ce sont trois fils de numéros différents que nous voulons assembler le calcul devient tout de suite plus compliqué. Mais ce n'est rien à comparer à l'emploi simultané de fils de différentes matières. Nous avons donc d'une part des bases de numérotages différentes suivant les matières, d'autre part, ces bases rendent difficiles la comparaison de numéros à employer. Plutôt que de ramener toutes les numérotations à une base unique, celle du coton par exemple ce qui pourrait pour beaucoup prêter à confusion entre les numéros de laine nouveaux et anciens, il serait à désirer qu'on adoptât comme base: Le poids en grammes de 1.000 m. ou 10.000 m. de fil. 1.000 mètres de coton no 10 pesant 50 gr. s'appelleraient no 60 gr. 1.000 mètres de laine no 10 pesant 100 gr. s'appelleraient no 100 gr. 1.000 mètres de laine no 40 pesant 25 gr. s'appelleraient no 25 gr. 1.000 mètres de soie de 60 d. pesant 6 gr. s'appelleraient no 6 gr. La comparaison devient élémentaire il suffit d'une addition des numéros pour avoir le numéro unique à employer. Nous remarquons que le numéro sera d'autant plus fort qu'il sera plus gros lui-même, ce qui est logique, d'accord avec l'usage de la soie et contraire à celui de la laine et du coton. LES TISSUS A LA MODE Le costume complet de même étoffe admet tout particulièrement deux sortes de dessins: les petites dispositions se rapprochant de l'uni, et les carreaux. Les rayures sont quelquefois utilisées, mais elles plaisent moins; en effet, les vêtements à taille, jaquette ou redingote, leur sont tout à fait défavorables, contrairement au pantalon, Les étoffes façonnées sont utilisées pour presque toutes les coupes de vêtements, et le costume complet varie de formes. Les raisons ci-dessus exposées expliquent la vogue des genres petits ou sans caractère accentué. Cependant on veut sortir de ce cercle restreint et on essaye encore des doubles dessins qui, sous les mêmes couleurs puissent donner des costumes assortis. Tel un dessin petit, granité, convenable pour jaquette ou redingote et un dessin rayé, dont le fond identique au précédent est orné d'une légère rayure, qui rend l'étoffe plus propre au pantalon. Quelques détails suffiront pour préciser ce que nous voulons dire, en citant les essais suivants. On met la chaîne tout en repos à deux couleurs foncé et demi-ton, par exemple); la trame est de la nuance foncée du retors. Pour jaquette, le dessin ferme un cordon fin dans lequel la chaîne domine, et est légèrement accentué par la trame. Pour pantalon, la chaine et la trame restent pareilles aux précédentes, mais ce même cordon fin et combiné en rayures sous forme de chevron, ou bien une altération de la croisure modifie le cordon en long et en travers pour produire des carreaux. Dans les petits façonnés, dans lesquels l'ourdissage et le tissage suivent un ordre régulier, il suffit de modifier de place en place l'uniformité de l'ourdissage pour en faire des rayures, et de même en trame pour obtenir des carreaux. Les nuances correspondent à celles des types que nous venons de citer; elles sont choisies surtout parmi les plus recherchées. On comprend l'harmonie que peuvent avoir de pareils costumes et les efforts faits pour les lancer. Le pantalon de fantaisie tient une grande place dans l'habillement. Différent des autres pièces du vêtement, il permet, sans sortir du caractère admis pour le costume masculin, des dessins très fleuris, des dispositions très lancées. Le fabricant, quel que soit son genre de production, doit faire une bonne place à ces articles qui sont demandés dans toutes les sortes de marchandises. Les unis de couleurs mode, à petits effets, et les unis noirs à dessins en rayures, façonnés les uns et les autres par les croissures, se font en peigné rasé. Moins nombreux sont les drapés unis et les bruts mouchetés, de nuances claires. Ces divers articles, destinés au pantalon, doivent toujours avoir une petite bande faconnée, ce rúban pouvant orner le côté de la jambe suivant le goût du consom mateur. Les carreaux se font davantage. Plus ou moins fondus, modestes ou originaux, ils sont acceptés dans toutes les formes et toutes les dimensions. Mais les dessins en rayures tiennent la plus grande place. On fait ces derniers en accroupant des croisures différentes; en altérant des casimirs ou batavia, des corkscrews, des diagonales; en combinant des reliefs longitudinaux, etc., avec des ourdissages plus ou moins bariolés de couleurs. De même on varie les dessins dont nous parlons à chaque saison, avec chaîne claire d'un ou de plusieurs tons, et avec trame foncée. Là encore, les croisures jouent un grand rôle. Les différentes nouveautés dont nous venons de parler sont, les plus, agrémentées par des retors, des jaspés, des fils de soie ou de bourrette, des fils ou retors mouchetés, des bouclés en mohair noir sur des fonds clairs, etc. En ce qui concerne le nuançage de ces fantaisies, on restera dans les teintes claires plus que pour les autres productions, parce que la mode admet que les vêtements variés soient composés ainsi : veston ou jaquette de couleur foncée, gilet blanc, pantalon clair. On devra donc, nous le repètons, nuancer les genres de demi-teintes rehaussées de blanc bien souvent, en faisant la part moins_grande_aux teintes foncées et très foncées. Les couleurs vives sont peu utilisées, d'ailleurs nous avons détaillé récemment leur rôle d'une façon générale; on peut s'y reporter. Le peigné rasé regagne une partie de la place qu'il avait perdue. Sa finesse lui conserve toujours de nombreuses sympathies. Les cheviottes d'aspect brut, à long poil frisé, et les cardés d'apprêt demi-brut, peu couverts de laine, sont, avec le peigné, à peu près les seuls caractères d'étoffes à citer dans cette fabrication. Il nous reste encore à parler des bandes du pantalon. Depuis longtemps on essaye de faire prendre cet ornement, mais sans succès. Malgré l'accueil plus que froid que font les tailleurs, les négociants persistent à en présenter une certaine quantité à chaque saison, comme si la bande était à l'état latent et qu'ils escomptent son retour. Mais pour vaincre les scrupules des tailleurs qui n'en sont pas encore partisans, les marchands drapiers doivent faire établir ces étoffes sur une largeur plus grande, pour qu'elles aient une laize utilisable, même s'il plaît supprimer entièrement les bandes, c'est-à-dire 1 m. 45 en grande largeur, ou 0 m. 73 environ en demi-laize. (Les Tissus ). EXPORTATION DES LAINAGES DE FRANCE, EN MAI 1893 ET 1894 Les expéditions de fils de laine simples, blanchis ou non ont encore diminué de 40.100 kilogs pendant le mois de mai 1894, soit un déficit total de 137.500 kilogs au préjudice des 5 premiers mois de l'année courante; par contre les fils retors pour tissage ont présenté Tous les articles relevés au tableau ci-dessous se sont mal exportés pendant le mois de mai 1894; les chaussons de lisière ont perdu 4.700 kilogs pendant le mois; les étoffes pour ameublement on baissé de plus de moitié en mai 1894 et accusent un déficit total de 79.200 kilogs au préjudice des 5 premiers mois de l'année courante; enfin les étoffes de pure laine pour habillement autres que draps et mérinos sont inférieures de 265.300 kilogs en mai dernier par rapport à mai 1893 et le déficit total atteint 779.400 kilogs depuis le commencement de l'année en cours. Angleterre Poids en milliers de kilog. 283 410 2 084 3.275 Angleterre Belgique. 13 75 275 419 Allemagne 20 18 112 120 Espagne Belgique Allemagne. Espagne Italie Italie Chili 3 1 10 9 Chili 27 52 Autres pays Totaux. 58 42 92 120 15) 973 758 635 797 4.632 5 748 Les sorties de couvertures de laine ont baissé de 70.100 kilogs pendant le mois de mai 1894 et les 5 premiers mois de l'année en cours se soldent par un déficit de 152.300 kilogs; les tapis de laine ont perdu environ 8.000 kilogs pendant le mois. Enfin les expéditions de mérinos ont augmenté de plus d'un tiers pendant le mois de mai dernier et l'excédent total s'élève à 194.400 kilogs, il est entièrement dû à nos envois en Angleterre. Mai 5 premiers mois 1894 1893 1894 1893 Nos envois de bonneterie à l'étranger ont augmenté de 40.600 kilogs pendant le mois de mai 1894, mais les 5 premiers mois de l'année courante sont encore inférieurs de 66.400 kil. à ceux de 1893. La passementerie a gagné 129.000 kil. en mai 1894, le déficit total est ainsi ramené à 14.100 kilogs. Les sorties d'étoffes de laine mélangée ont encore fléchi de 64.400 kilogs pendant le mois qui nous occupe et le chiffre des 5 premiers mois de 1894 est inférieur de 324.400 kilogs à celui de la même période de 1893, ce déficit se répartit sur toutes les puissances. Extrait d'une conférence de M. Emile Dubois, professeur à l'Ecole professionnelle de Reims, membre du Conseil supérieur de l'Enseignement industriel et commercial: La longueur du brin de laine varie de 4 à 32 centimètres. Au-dessous de 12 centimètres, la laine est courte et sert de préférence à faire des laines cardées et des étoffes foulonnées, tandis que les laines longues sont réservées pour les peignés. Il est juste de dire cependant qu'avec les procédés actuels, on utilise dans le peignage des laines courtes, de 8 centimètres par exemple, qu'on eût rejetées autrefois. En général, les laines courtes sont plus fines et plus ondulées que les longues. Cette finesse dépend du diamètre du brin et celui-ci varie suivant les espèces de 11 à 60 millièmes de millimètre. De 11 à 30 millièmes on a des laines fines; de 30 à 40 des communes; audessus, des grossières qu'utilise seule la matelasserie. La finesse d'une laine est une qualité essentielle, non seulement parce que les étoffes sont plus légères, plus souples et plus belles, mais aussi parce qu'elles sont plus chaudes et plus solides. Le fil est, en effet, le résultat de latorsion simultanée d'un certain nombre de brins de laine. C'est une corde en petit. Or il est démontré que, à diamètre égal, une corde est d'autant plus résistante qu'elle comprend un plus grand nombre de filaments. La finesse du brin assure donc la solidité du fil et par suite la résistance du tissu à l'usure. Avec la finesse, on recherche encore le nerf et la douceur. Ces deux qualités sont invariablement liées l'une à l'autre. Le mot nerf est quelque peu vague et gagne à être remplacé par la notion plus précise d'élasticité. Prenez un brin de laine, pliez-le en tout sens, étirezle en longueur, vous le verrez reprendre sa forme primitive dès que cesse l'action étrangère. Cette élasticité qui permet de résister à l'arrachement, à l'usure, à la flexion, est l'indice de la force, de la solidité, du nerf du filament. Plus la laine est fine, courte et vrillée, plus elle est élastique. D'autre part, je vous ai dit déjà qu'un poil bien imbibé de suint avait une résistance plus grande. Ce suint communique un toucher gras et onctueux qui donne la sensation de douceur. Les laines les plus fines et les plus estimées sont toujours chargées d'un suint fluide, doux, légèrement jaunâtre, tandis que les toisons médiocres ou celles des animaux poussés à la graisse sont poisseuses et visqueuses, tout en contenant beaucoup moins de principes gras. Ces diverses propriétés montrent donc que l'estimation rapide des échantillons, basée sur le toucher et la finesse, est parfaitement légitime, et qu'il serait difficile de trouver mieux. Indépendamment de ces qualités, en quelque sorte individuelles du brin, l'aspect général de la toison donne encore de précieuses indications sur la valeur probable du textile. Le poil s'échappe de la gaîne suivant une direction hélicoïdale et, s'il était seul, il s'enroulerait sur lui-même; mais, à sa sortie, il rencontrent d'autres filaments tassés et serrés les uns contre les autres, puisque leur nombre varie de 37 à 50 par millimètre carré. Chacun gêne le voisin; mais, si la structure de la peau est régulière, tous ses poils évoluent suivant des directions parallèles, et leur ensemble forme une surface courbe plus ou moins étendue qui constitue une mèche. Quand la mêche est homogène, c'est-à-dire formée de poils de même longueur et de même finesse, elle forme sensiblement un prisme, ou plutôt un cylindre. C'est la mêche carréé du langage courant. Si, au contraire, les poils sont inégaux, les plus longs commanderont forcément l'enroulement et la mêche sera conique. Or, voyez l'importance de ces dispositions, la toison formée de mêches pointues sera ouverte, les débris végétaux, la terre, la boue, s'introduiront par les intervalles libres entre tous ces petits cônes, jusqu'au cœur de la toison et nécessiteront un lavage et un échardonnage pénible et coûteux. Au contraire, les mêches carrées serrées les unes contre les autres, forment une surface régulière, fermée, à travers laquelle rien ne pénètre. Extérieurement la laine sera noire, couverte de plaques. de boue, mais au centre, elle restera blanche, propre et bien douce à la main. Si j'ajoute à cela que les laines courtes, vrillées, fines, donnent forcément des mèches carrées et des toisons fermées, vous en concluerez que, à première inspection, un mouton ayant ce caractère devra être favorablement jugé. Quelle que soit l'homogénéité de la laine, elle présente pourtant sur le même animal de grandes différences suivant la partie du corps où elle croit. Certaines régions sont peu favorables à la production pileuse, d'autres fatiguent par position et sont souillées de terre ou de déjections; en tous ces points la laine sera fatalement plus grossière et plus cassante. Il est donc nécessaire de faire un classement méthodique, un triage raisonné qui variera suivant les usages auxquels on destine cette laine. Ce classement est une science véritable qui ne s'apprend que par un long travail. Vous m'excuserez donc si je ne le détaille pas devant vous. On peut en tout cas le ramener au minimum suivant : Deuxièmes. Parois latérales de la poitrine, base du cou, côtés de l'abdomen. Troisièmes. Haut du cou, cuisses, parois inférieures de la poitrine, dessous du ventre, queue. Enfin l'origine, la race, l'état de santé ou de maladie, de fatigue ou de repos, l'action spéciale du climat, du milieu, de la nourriture, modifient le poil et la toison. La liberté, le plein air, les paturages feuillés sans être trop abondants augmentent la force et l'éclat du brun. Les maladies, la fatigue le manque de nourriture en affaiblissant l'être font diminuer les sécrétions, et le poil devient flasque, mince, rude au toucher, car il n'est plus imprégné de suint dont la production s'est rafentie. Par tempérament le mouton préfère les plateaux élevés et à l'herbe courte des terrains secs, calcaires, pierreux ou sablonneux. Les montagnes boisées, les vallées basses au sol humide et argileux, les bords de la mer sont mauvais pour la laine. Dans les climats humides ou marécageux les races fines, telles que le mérinos, meurent rapidement de la cachexie. C'est pour cette raison que le mouton mérinos n'a pu chasser l'ancienne race française de Sologne, du Poitou et d'une partie du Berri. Telles sont les propriétés spéciales des laines. Vous faire le détail des races, vous entrainer dans la comparaison des espèces, variétés et sous-variétés, même et malgré son importance examiner l'influence de la production de la viande de boucherie sur la valeur de la laine, fatale suivant les uns, insignifiante d'après les autres, nous mènerait trop Join. LA RÉVISION DU TARIF MAC-KINLEY LAINES ET LAINAGES (Nouveaux renseignements) La dépêche du Times, qui a été reproduite et commentée dans notre dernier numéro était incomplète. Ce défaut nous a fait commettre une grave erreur. Dans la traduction intégrale ou résumée du journal anglais, les laines étaient confondues avec les effilochages et déchets de laines. Nous en avons conclu que toutes les sortes de laines non ouvrées devaient acquitter le droit de 15 0/0 ad valorem. Ce texte était erroné. Les laines sont exemptes de tout droit, comme nous en avions exprimé l'espoir à plusieurs reprises. D'après des renseignements, qui nous sont communiqués par un de nos amis, il n'y aurait accord entre les deux Chambres que sur la franchise des laines brutes. Voici du reste la note qui nous a été adressée. Nous la reproduisons intégalement : Tarif des laines et lainages Droits votés Droits votés à la Chambre pour le 2 décembre 94 an Sénat pour le 1" janvier 1895 40 0/0 35 0/0 Au-dessus de 40 c. par livre 40 0/0 Couvertures, chapeaux et flanelles de laine 30 0/0 Les mêmes d'une va 25 0/0 30 0/0 40 cents par livre. 400/0 50 0 40 0/0 45 0/0 45 0/0 50 0/0 d'Axminster, moquettes de Bruxelles. 401-408 Autres tapis . . |