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prêts à les désigner aux fabricants de la Métropole qui nous demanderont leurs adresses.

Les lainages, dits mérinos double, provenaient jusqu'à ce jour exclusivement de la France Roubaix et Reims. — L'Autriche et l'Allemagne commencent à nous faire concurrence pour ces tissus.

Les doublures laine et coton, dites satin de Chine, sont demandées à l'Allemagne.

C'est de Suisse que viennent les grenadines brochées 54 centimètres. St-Quentin ne pourrait-il pas les fabriquer dans de bonnes conditions?

Dans la grosse draperie, les produits français ne tiennent qu'une place modeste. L'Autriche vend beaucoup de draps luisants, l'Allemagne écoule également des draps en Perse. Il nous semble que l'industrie de Vienne (Isère) pourrait fournir partie de ces draps.

Les draps légers, dits de Roubaix, sont fournis par la France.

Les lainages imprimés 52 centimètres, à fond de couleur et à grandes fleurs, proviennent de l'Allemagne et de l'Autriche.

Les lainages imprimés, les châles, etc., dits articles de Mulhouse, sont demandés en Alsace. On nous dit que les tissus d'ameublement de qualité médiocre viennent d'Allemagne et que l'article de Roubaix pourrait donner lieu à des affaires suivies.

(Bulletin mensuel ).

POSSESSIONS ESPAGNOLES D'AMÉRIQUE CUBA

Conseils aux Importateurs

J'ai signalé à plusieurs reprises, écrit le Consul de France à Santiago-de-Cuba, l'impossibilité dans laquelle je me trouvais, en l'absence de toute statistique officielle, de faire connaître le montant exact des importations à Cuba.

Je serai toujours très heureux de fournir aux négociants français désireux d'écouler leurs produits dans l'ile tous les renseignements qui leur seront utiles; en présence malheureusement de la concurrence américaine et européenne, je ne puis qu'engager vivement ceux de nos compatriotes qui désireront étendre leurs relations avec Cuba à imiter leurs concurrents anglais, allemands ou belges et à se grouper au besoin pour envoyer à l'étranger des commis voyageurs munis d'échantillons, se rendant compte, en voyageant, des différents produits qui pourraient être écoulés dans chaque pays, de la qualité du tissu ou du dessin de l'étoffe la plus de

mandée dans chaque ville et qui, guidés utilement sur place par les Consuls, obtiendraient des commandes profitables au au commerce français.

Il est profondément regrettable que la plupart de nos négociants, au lieu d'adopter ce mode de procéder, se bornent à prier par lettre les représentants de la République à l'étranger de les mettre en rapport avec un importateur du pays. Chaque Consul recevant tous les ans une foule de lettres similaires émanant de négociants exportateurs de tissus, etc., ne peut que faire à chaque demande, malgré tout son désir d'être utile à ses compatriotes, une réponse à peu près idendique ; il donne les adresses demandées et ajoute à ces renseignements les informations qu'il lui paraît utile de transmettre au négociant avec lequel il correspond.

Nos exportateurs français connaissant ainsi, par les réponses de nos Agents, l'adresse des principaux importateurs de chaque ville, se bornent, en général, à leur faire, par lettre, leurs offres de service. Il résulte de ce mode de procéder que l'importateur cubain ou autre, assailli d'offres similaires françaises et ne sachant auquel entendre, décline ces offres en répondant qu'il a déjà ses fournisseurs. Il est excessivement rare, au contraire, qu'un commis voyageur français dans une ville étrangère et guidé par son représentant n'y obtienne pas de commandes.

En résumé, nos négociants se font, en général, illusion en croyant pouvoir étendre leurs relations commerciales par simple correspondance et envoi de prospectus; par ce mode de procéder non seulement ils favorisent la concurrence étrangère en permettant aux commis voyageurs étrangers de leur enlever les commandes, mais ils causent également du préjudice au commerce français en se faisant en quelque sorte concurrence entre eux.

Le remède, ainsi que je l'ai indiqué plus. haut, serait, pour nos négociants, d'imiter plus souvent les nations concurrentes en envoyant fréquemment à l'étranger des voyageurs représentant une ou plusieurs maisons françaises réunies.

PORTUGAL

Sollicité par les nombreuses demandes qui Jui parviennent et frappé des difficultés que rencontrent les négociants français pour se procurer des renseignements commerciaux sur le Portugal, le Conseil de la Chambre de commerce française à Lisbonne, revenant sur de précédentes décisions et voulant employer tous ses efforts à favoriser le développement des relations industrielles et commerciales entre la France et le Portugal, a résolu de

créer un service spécial de renseignements commerciaux confidentiels dont le fonctionnement et dès à présent assuré.

PHILIPPINES

Manille, le 5 janvier 1893. Le mois de décembre a été marqué par un événement important au point de vue des intérêts commerciaux des Philippines. Le fameux impôt sur la navigation de cabotage qui entraina des protestations unanimes de la part des négociants de Manille, l'année dernière, et dont l'application avait été suspendue, mais à titre provisoire, vient d'être définitivement supprimé.

Voici les prix en dollars des produits d'importation étrangère les plus achetés sur la place pendant le mois de décembre :

Tapis de laine, de 0.30 à 1.25 le yard;
Alpaga, de 0.50 à 1 le yard;

Flanelles, de 0.20 à 0.50 le yard;
Petites laines de différentes couleurs, de
0.20 à 0.87 1/2 le yard;

Mérinos, de 0.50 à 1 le yard;

Draps assortis, de 1 à 1.25 le yard; Drap noir, laine et coton, de 0.50 à 2 le yard.

G. DE BÉRARD,
Consul de France.

MACHINES A VAPEUR

DU ROLE DES CHEMISES DE VAPEUR DANS LES
MACHINES A EXPANSION MULTIPLE

Par M. A. Witz

L'efficacité des chemises de vapeur entourant les cylindres est dicustable dans les machines à double ou triple expansion, et leur utilité a été mise en doute plusieurs constructeurs distingués, qui se garderaient bien de priver d'enveloppes complètes les cylindres des machines simples, se sont décidés à supprimer en tout ou en partie cet accessoire dont les services ne justifieraient, à leur avis, ni le prix, ni la dépense, dans les machines compound; le plus grand nombre, il est vrai, a repoussé cette thèse et n'a point suivi leur exemple. Nous n'avons pas à faire ressortir le grand intérêt théorique et pratique de ce problème de mécaniqué appliquée, qui nous a paru mériter une étude toute spéciale.

A priori, il est évident qu'une enveloppe de vapeur est moins utile, nous allions dire moins nécessaire, dans les compound que dans les machines monocylindriques; en effet,

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l'enveloppe a la fonction de conjurer l action
nuisible des parois; elle perd donc son im-
portance quand cette action est réduite au mi-
nimum, comme il arrive dans toutes les ma-
chines à détente multiple.

Que l'on alimente ces moteurs de vapeur
sèche, que l'on fasse une détente modérée
dans chaque cylindre, que l'on marche à
grande vitesse et l'on constatera que la con-
densation à l'admission est très faible dans
les cylindres qui ne voient pas le condenseur;
les receivers dans lesquels la vapeur ne se dé-
tend pas, ne donnent non plus lieu à une con
densation notable; une enveloppe de protec-
tion paraît donc suffire à ces organes, sans
qu'il soit nécessaire de recourir à l'enveloppe
de réchauffement. Reste le dernier cylindre;
là, assurément, l'enveloppe de vapeur aug-
mentera le travail de la détente en vaporisant
l'eau déposé sur la paroi, et elle diminuera
par suite la quantité d'eau présente dans le
cylindre à la fin de la course; de ce chef, elle
tendra à réduire la perte au condenseur et elle
donnera un bénéfice inontestable. Mais ce bé-
néfice ne sera-t-il pas compensé par la perte
qui résulte de ce que l'enveloppe de vapeur
fournit encore du calorique pendant l'échap-
pement, c'est-à-dire à un moment inopportun,
en réchauffant le condenseur et en nuisant au
vide?

On atténue cet inconvénient en faisant circuler autour de ce dernier cylindre non pas de la vapeur vive à la tension des générateurs, mais de la vapeur détendue ou bien la vapeur provenant du receiver qui alimente ce cylindre; cela parait rationnel, mais ne faut-il pas se défier des raisons trop simples dans une question aussi complexe ? En somme, les avantages des chemises de vapeur sont discutables dans l'espèce et il convient de ne pas oublier l'axiome magistral formulé par Hirn: « Une théorie correcte ne peut être établie qu'a posteriori, c'est-à-dire après l'étude expérimentale de chaque système de machine ». L'expérience seule donnera donc la solution. du problème.

Nous avons entrepris une série de huit essais sur une excellente machine compound, du système Dujardin, que MM. J. Thiriez père et fils, de Lille, ont eu l'obligeance de mettre. à notre disposition; ces essais, qui ont duré chacun douze heures, ont été conduits avec les plus minutieuses précautions et une rigueur vraiment scientifique.

Il ressort de ces expériences d'importantes conclusions.

1o Les condensations à l'admission au petit. cylindre sont beaucoup moindres dans notre compound que dans une machine monocylin drique conséquemment, l'évaporation est moindre aussi pendant la détente, et nous arrivons même à observer une condensation quand les enveloppes ne sont plus chauffées. Les valeurs moyennes different peu de l'u

nité dans tous les cas les enveloppes fonctionnant, la courbe de détente est supérieure à l'hyperbole équilatère, tandis qu'elle se trouve au-dessous d'elle, quand on ne les chauffe plus. L'efficacité des enveloppes est démontrée, mais cette influence est peu considérable.

2o Si nous comparons la consommation de vapeur du premier essai et celle du dernier, nous voyons qu'elle passe de 6,302 à 6.547 kg; l'augmentation est de 3,7 p. c. Cet écart est beaucoup moindre que dans les machines monocylindriques; notre précédente conclusion est donc confirmée de ce chef, et nous voyons que le bénéfice résultant de l'emploi des chemises de vapeur est réel, mais peu important.

3° C'est en supprimant la chemise du receiver que nous avons obtenu le meilleur rendement. L'avantage est minime, quand on réintègre au générateur les calories des eaux de purge; mais, au point de vue industriel, un organe inutile est condamné, et la pratique des constructeurs, qui n'enveloppent point de vapeur leurs receivers, est pleinement justifiée.

4o La consommation de 6,547 kg. relevée dans un moteur privé de ses enveloppes de vapeur, est remarquable en valeur absolue, et ce beau résultat fait bien ressortir la supériorité des machines compound. Toutes les enveloppes étant échauffées, la consommation s'abaisse à 6,100 kg environ, avec réutilisation des purges les machines à triple expansion peuvent seules donner un meilleur rendement. (Comptes rendus ).

EMPLOI DU CHARBON EN POUDRE DANS LE CHAUFFAGE DES CHAUDIÈRES A VAPEUR

Plusieurs grandes entreprises industrielles, en Allemagne, ont, dit-on, appliqué avec succès un nouveau mode de combustion automatique et fumivore du charbor réduit en poudre dans le chauffage des chaudières à vapeur. La Revue scientifique du 18 février 1893, a rendu compte des résultats obtenus par ce procédé. Il nous a semblé qu'il y avait là une question intéressante pour nos lecteurs. Il est dit, en effet, dans l'article de notre confrère, que, par ce système, les rentrées d'air froid sont complètement supprimées. Or on saitet M. Schmidt, dans sa conférence à l'assemblée générale du Syndicat des fabricants de sucre de France l'a montré par des chiffres éloquents que les rentrées d'air ont une influence très nuisible au point de vue de la bonne utilisation du calorique du combustible. De plus, avec le nouveau système, une température constante peut être facilement obtenue en cas d'accidents, le feu peut être ins

tantanément supprimé, les coups de feu aux bouilleurs ne sont plus à craindre et les hautes cheminées ne sont plus indispensables.

En quoi consiste le système qui procurerait ces remarquables avantages? Il consiste en ceci :

Le combustible, au lieu d'être introduit tel quel dans le foyer, comme cela s'est fait jusqu'à présent, est préalablement réduit en poussier au moyen de moulins centrifuges ordinaires. A la place du foyer ordinaire des chaudières, on a placé une chambre de combustion en forme de poire, revêtue de briques réfractaires et munie d'un appareil éjecteur semblable à ceux qu'on emploie dans les foyers à pétrole. Deux ouvertures sont pratiquées dans cette chambre: une dans l'axe de la chaudière et dans l'emplacement actuel de la porte du foyer, l'autre à l'extrémité opposée de la chambre. Cette dernière sert d'office à un tuyau d'air entraînant constamment du poussier de charbon dans la chambre de combustion. Ce tuyau, orienté d'une façon convenable, est disposé de telle sorte que les poussières de charbon sont dispersées dans toute l'étendue du foyer.

Une fois ces poussières enflammées (ce qui peut se faire d'une façon fort simple, en portant à une haute température la chambre de combustion revêtue de briques, au moyen d'un feu nu ), leur combustion continue d'une manière intense et régulière, sous l'action du courant d'air qui les apporte. Ce courant d'air est réglé une fois pour toutes par la quantité de poussière nécessaire à la production de la chaleur parcourant les diverses parties de la chaudière et devant fournir un poids de vapeur déterminé.

Le poussier de charbon est contenu dans un caisson où, à l'aide d'un dispositif très ingénieux, l'air sous pression vient l'y chercher pour l'entraîner dans le foyer. C'est, en somme, un système analogue aux foyers et aux ajustages dont ont fait usage dans les chaudières chauffées avec les hydrocarbures. Des applications nombreuses et une pratique ont consacré ce procédé sur les Compagnies de chemins de fer Sud-Est russes et sur les bateaux de la mer Caspienne. Dans le système qui nous occupe, le charbon, pour être entraîné et véhiculé par la vapeur cu l'air en pression, n'a besoin que d'être suffisamment pulvérisé, ce à quoi on arrive facilement avec les procédés actuels de broyage.

L'air et le combustible sont donc intimement mélangés dans la zone de combustion, tandis que le courant d'air ayant servi de véhicule aux poussières perd la plus grande partie de sa vitesse. On peut se rendre compte immédiatement que, par ce procédé, la combustion du charbon est complète; car chaque parcelle de combustible en suspension dans le foyer se trouve en contact avec l'oxygène necessaire à sa combustion, qui n'éprouve dès

lors aucune difficulté à s'effectuer aussi complète qu'on peut l'imaginer.

D'ailleurs, les expériences ont complètement démontré l'exactitude de ces assertions, puisque aucnne trace de fumée n'est perceptible. L'air introduit dans la chambre de combustion peut d'ailleurs être préalablement porté à une haute température en utilisant la chaleur des gaz s'échappant dans la cheminée. On peut aussi mélanger cet air avec un courant de vapeur qui se décompose en hydrogène et oxygène, et en utilisant ainsi la combustion de l'hydrogène.

LA CUIRASSE EN ÉTOFFE

On a parlé, ces jours derniers d'épreuves très satisfaisantes faites à Monnhein avec une cuirasse à l'épreuve de la balle. Cette invention est due au tailleur Dove. La cuirasse se boutonne sur l'uniforme et couvre le corps du soldat. Elle pèse six livres et est en étoffe. Quant à la doublure ou matière qui remplit la cuirasse, elle est le secret de l'inventeur.

Des sous-officiers ont tiré à 400 mètres sur des mannequins cuirassés. Les balles qui ont porté ont été retrouvées aplaties dans la cuirasse. Le soldat serait donc probablement renversé par le coup, mais non atteint au défaut de la cuirasse. Des nouvelles épreuves auront lieu prochainement.

ADJUDICATION

FOURNITURE DE COUVERTURES DE LAINE

Le lundi 24 avril 1893, à 2 heures, il sera procédé dans une des salles de l'Intendance Militaire à Paris (Hôtel des Invalides, corridor d'Arles), à l'adjudication publique de 30.000 grandes couvertures de laine.

Cette fourniture est divisée en 30 lots à livrer aux magasins de Bourges, Lyon et Marseille.

Le public est admis à prendre connaissance du cahier des charges ainsi que les modèles types dans les magasins administratifs du service du campement.

Les demandes d'admission à soumissionner devront être remises au Sous-Intendant Militaire chargé du service de l'habillement à Paris, le 6 avril 1893, au plus tard.

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Londres, 29 mars. On vient d'arrêter l'ordre de la deuxième série d'enchères de laines coloniales qui s'ouvriront le 5 avril et se prolongeront jusqu'au 9 mai prochain sur cette place.

Par suite des vents contraires, les arrivages se sont faits lentement, mais ils pourront composer avec les anciennes existences, un stock d'environ 318.825 balles d'Australie, et 41.175 balles du Cap de Bonne-Espérance, ensemble 360.000 balles des colonies.

Les détenteurs espèrent avec confiance le maintien de la hausse établie sur les transactions de gré à gré ici et aux enchères d'Anvers.

RENSEIGNEMENTS COMMERCIAUX

FORMATIONS DE SOCIÉTÉS Blanchard et Cie, tissus et confections pour dames et enfants, « A l'Abbé Constantin », 13, rue du

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Ben Carcassonne et Ch. Peytaud, tissus, place Pie et 6, rue Ste Garde, à Avignon. 8 ans. février 93.

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1er Julien et Caumartin, fabricants de nouveautés de Picardie, 32 faubourg Poissonnière, à Paris. ans. 77.000 fr. 20 février 93. Cohu et Barber, tailleurs, 1, rue de Rome et 80, boulevard Haussmann, à Paris. 25 ans. 30.000 fr. 1er mars 93. Schmitd et Cie, tailleurs, rue des Trois Maillets, à Evreux. 20 février 93. F. Teyssèdre et Cie, fabricants de gilets de chasse et articles de bonneterie, rue Ste Perpétue, à Nîmes. 5 ans. 100.000 fr. par la commandite.

9 ans.

1er mars 93.

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Bourgeat, Bessières et Preinsler, nouveautés, 13 à 17, rue de la Trinité, 13 à 17, rue Esquirol et 23 et 25, rue des Tourneurs, à Bordeaux. Cession par M. Preinsler, à ses co-associés, de tous ses droits dans la société dont la raison sociale devient Bourgeat et Bessières. 1er mars 93. Matray et Poizat, fabricants de couvertures, molletons, à Cours (Rhône). ~ Substitution de Mme Vve Matray à son mari décédé. — 14 février 93. Bouvier frères, fabricants de draperie et nouveautés, La société devient en 16, rue Gère, à Vienne. commandite à l'égard des héritiers de M. Pierre Bouvier, décédé.

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J. Bouvier et Cie, tailleurs, 56, rue Madier de-Montjau, à Valence. - Liquid. M. Bouvier. janvier 93. Belon et Ober, tailleurs, 16, avenue Malakoff, à Paris. Liquid. M. Belon qui continue seul.8 mars 93.

Thiéry aîné et Cie, draperies, nouveautés et confections pour hommes et dames, 32, place de l'Hôtel-de-Ville, à St-Quentin. Liquid. M. Dony. - 4 mars 93,

Gagnard père et fils, tailleurs, à Moulins.

LIQUIDATIONS JUDICIAIRES

Louis Gay, étoffes, à Aubigny-au-Bac (Nord). - 1er février 93.

Berthelier-Coste, tissus, à Roanne. -- Liquid. M, Bonneton.

Ach, tailleur, rue Hoche, à Versailles 93. Liquid M. Maisons.

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Bazile-Emile Berceville, nouveautés, à St-Lô. 7

mars 93.

Liquid. M. Thierry.

Pallard, nouveautés, à Lorient.

Liquid. M. Mutschler.

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Aubert Vérin-Margerin, étoffes, à Avesnes lez-Aubert (Nord). 10 mars. Liquid. M. Duez Félix-Edmond Marie, nouveautés, à Vies:oix (Calvados). 13 mars 93.

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Emile Lévy, tissus, 32, place aux Bluets, à Lille. 14 mars 93. Liquid. M. Cussac. Jules-Claude Grillet, tailleur, 56, rue de l'Hôtel-deVille, à Lyon. 16 mars 93. ney.

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Liquid.: M. Ver

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Brault, nouveautés. à Gagny (Seine-et-Oise). Merlin, Legros et Cie. soies, laines et cotons filés, 3, place des Capucins, à Lyon.

Delafosse, tissus, à Montigny (Seine-Inférieure), successeur de Brayer.

Tissot, tailleur, 6. rue des Greffes, à Nîmes. Genot, tailleur, 45, rue de Rome, à Paris, successeur de Burellier.

Krawitz, tailleur, 20, rue Rennequin, à Paris. Vauzelle, nouveautés, à Angerville (Seine-et-Oise), successeur de Jobez.

Duhoux frères, nouveautés, à Bourges, successeurs de Chabrut-Belleville.

Tribert, tailleur, à Meaux, successeur de FoucaultBriant.

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