L'expression des émotions chez l'homme et les animaux |
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... ment une ère nouvelle dans l'étude de la physionomie . Les traducteurs se sont exclusivement attachés à rendre avec fidélité la pensée du texte . Ils n'ont pas cru devoir , à l'exemple de quelques - uns de leurs devanciers , l'accom ...
... ment une ère nouvelle dans l'étude de la physionomie . Les traducteurs se sont exclusivement attachés à rendre avec fidélité la pensée du texte . Ils n'ont pas cru devoir , à l'exemple de quelques - uns de leurs devanciers , l'accom ...
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... ment , sympathiquement , symboliquement ou métaphorique- ment , dans toutes les sphères des organes extérieurs , qui le racontent tous , suivant leur mode d'action propre , comme si chacun d'eux avait été directement affecté ...
... ment , sympathiquement , symboliquement ou métaphorique- ment , dans toutes les sphères des organes extérieurs , qui le racontent tous , suivant leur mode d'action propre , comme si chacun d'eux avait été directement affecté ...
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... ment sur la face de l'homme . Ce langage de la physionomie une fois créé , il lui a suffi , pour le rendre universel et immuable , de donner à tout être humain la faculté instinctive d'exprimer toujours ses sentiments par la contraction ...
... ment sur la face de l'homme . Ce langage de la physionomie une fois créé , il lui a suffi , pour le rendre universel et immuable , de donner à tout être humain la faculté instinctive d'exprimer toujours ses sentiments par la contraction ...
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... ment différents chez les diverses races , comme il en est 19. Voyez des remarques sur ce sujet dans le Laocoon de Lessing , traduit par W. Ross , 1836 , p . 19 . de leur langage . En conséquence , au commencement de INTRODUCTION . 15.
... ment différents chez les diverses races , comme il en est 19. Voyez des remarques sur ce sujet dans le Laocoon de Lessing , traduit par W. Ross , 1836 , p . 19 . de leur langage . En conséquence , au commencement de INTRODUCTION . 15.
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... ment de sourcil ? 9. Le mépris s'exprime - t - il par un léger avancement des lèvres en mettant le nez en l'air avec une petite expiration ? 10. Le dégoût fait - il renverser la lèvre inférieure et lever légè- rement la lèvre supérieure ...
... ment de sourcil ? 9. Le mépris s'exprime - t - il par un léger avancement des lèvres en mettant le nez en l'air avec une petite expiration ? 10. Le dégoût fait - il renverser la lèvre inférieure et lever légè- rement la lèvre supérieure ...
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Common terms and phrases
accès actes Anatomy of Expression animaux arrière Asa Gray babouins Bornéo bouche Bulmer canine chacal Charles Bell chat chien chimpanzé colère contraction des muscles corps coup d'enfants Crichton Browne cris d'après dents dilatation docteur Duchenne douleur effet émotions énergique enfants espèces états d'esprit états de l'esprit excitation exemple force nerveuse frayeur froncement des sourcils front fureur Geach geste glandes lacrymales Gratiolet habitude habituellement hausser les épaules Herbert Spencer hérédité hérisse homme involontaire Jardin Zoologique jeune l'expression l'habitude l'homme l'influence larmes Lavater légèrement lèvre supérieure lorsqu'ils lorsqu'on Malacca manière manifeste ment Microcéphales mouvements expressifs muscles orbiculaires muscles péri-oculaires narines Nouvelle-Zélande oreilles Paraguay paraît Patrick Nicol paupières peau peaucier pendant personne phénomène photographie physionomie pleurs poil presque probablement produit provoque quelquefois queue races humaines regard remarque respiration rétine rides rire rougeur rougir sécrétion sensation sentiment signe singes sion souffrance sourire souvent téguments terreur tête tion violent visage volontairement volonté yeux
Popular passages
Page 34 - ... en ouvrant largement les yeux. Pourquoi? Parce que, dans ce dernier cas, il agit comme s'il voyait clairement la chose elle-même; et, dans le premier cas, comme s'il ne la voyait pas, ou ne voulait pas la voir. Une personne qui...
Page 378 - Y action directe sur le corps des excitations du système nerveux, action tout à fait indépendante de la volonté, et même, en grande partie, indépendante de l'habitude. L'expérience montre que la force nerveuse est engendrée et mise en liberté toutes les fois que le système cérébro-spinal est excité. La voie que suit cette force est nécessairement déterminée par la série des connexions qui relient les cellules nerveuses, soit entre elles, soit avec .les autres parties du corps. Mais...
Page 169 - InhabUanls, 1855, p. 175. prolongées, entrecoupées d'inspirations courtes et rapides, presque spasmodiques; à un âge plus avancé, on voit apparaître le sanglot. Suivant Gratiolet 1!, c'est la glotte qui joue le principal rôle dans l'acte du sanglot, lequel s'entend « au moment où l'inspiration surmonte la résistance de la glotte, et où l'air se précipite dans la poitrine. » Toutefois l'acte tout entier de la respiration est également spasmodique et violent. En général, les épaules...
Page 228 - Chez un second enfant, j'observai pour la première fois un véritable sourire à quarante-cinq jours, c'est à dire à un âge peu différent, et chez un troisième un peu plus tôt. A soixante-cinq jours, le sourire du deuxième enfant était bien plus net, bien plus large que celui du premier au même âge ; il commençait même à ce moment à émettre des sons très-analogues à un véritable rire.
Page 6 - ... enflé , nous fait trouver dans cet état par les esprits qui viennent du cerveau en abondance , comme pour couvrir l'ame et la défendre du mal qu'elle craint ; la bouche fort ouverte fait voir le...
Page 29 - En effet, certains états d'esprit entraînent certains actes habituels qui sont utiles; puis, quand se produit un état d'esprit directement inverse, on est fortement et involontairement tenté d'accomplir des mouvements absolument opposés, quelque inutiles qu'ils soient d'ailleurs; et, dans certains cas, ces mouvements sont très expressifs.
Page 377 - Les mouvements utiles à l'accomplissement d'un désir ou au soulagement d'une sensation pénible finissent, en se répétant, par devenir si habituels, qu'ils se reproduisent toutes les fois qu'apparaissent ce désir ou cette sensation, même à un très faible degré, et alors même que leur utilité devient nulle ou très contestable.
Page 11 - ... que les yeux regardent, les deux oreilles se portent en avant, comme si cet objet pouvait être entendu. C'est que le chien a l'habitude, lorsqu'il regarde avec attention, de dresser les oreilles, afin de ne laisser échapper aucun bruit. — Les passions destructives se manifestent chez les animaux par une tension générale du système musculaire, le grincement des dents, la saillie des griffes, la dilatation des yeux et des narines : toutes ces actions reproduisent à un moindre degré celles...