Société anonyme des habitations ouvrières dans l'agglomeration bruxelloise. Approbation des statuts
Institution d'une Commission permanente des télégraphes Réunion du service des télégraphes électriques à l'administration des chemins de fer en exploitation
Loi autorisant le gouvernement à fixer provisoirement le tarif et les conditions réglementaires pour les correspondances télé- graphiques.
Bases provisoires des tarifs pour les communications télégra- phiques.
Règlement provisoire du 10 mars 1851, pour les tarifs et les cor- respondances télégraphiques.
Instruction spéciale du 10 mars 1851, réglant les attributions générales, le travail et la comptabilité du service des télé- graphes
Télégraphes Réduction des tarifs
Télégraphes. Tarifs et règlements des correspondances.
Crédit de 250,000 francs au département des Travaux publics pour la continuation de travaux de défense de la côte contre l'action de la mer. - Exposé des motifs Séance de la Cham-
bre des Représentants du 23 janvier 1867.
Crédits accordés au gouvernement pour l'exécution de travaux publics
Crédits ouverts au département des Travaux publics pour l'exécution de travaux d'utilité publique Augmentation de 3,000,000 de francs, du crédit alloué au gouver- nement par la loi du 8 juillet 1865, pour l'assainissement de la Senne, et crédit d'un million de francs accordé au ministère de
l'Intérieur, pour l'érection d'une salle d'exposition des beaux- arts et de fêtes ou cérémonies publiques. Ouverture, au département des Travaux publics, de crédits spé- ciaux à concurrence de 1,160,000 francs Ouverture, au département des Travaux publics, de crédits sup- plémentaires à concurrence de 1,185,609 48 francs. Crédit de 485,000 au département des Travaux publics. — Exposé des motifs. Séance de la Chambre des Réprésentants du 3 décembre 1867 Ouverture, au gouvernement, de crédits spéciaux pour divers travaux d'utilité publique
Une assignation qui n'a été signifiée à l'État qu'une demi-heure avant l'audience des référés est tardive et inopérante
L'État est responsable des dommages causés, par la faute des employés du chemin de fer qu'il exploite, dans l'exercice des fonctions auxquelles ils sont préposés Rejet de la demande formée par les sieurs Vander Elst, en leur qualité d'auteurs des projets de chemins de fer de Mons à Ath et d'Ath à Tournai, à l'effet d'obtenir que l'Etat soit obligé à leur payer une indemnité, pour avoir concédé à la Société Mackensie et Cie le chemin de fer de Tournai à Jurbise Le franc-bord des chemins de fer s'étend jusqu'à la ligne qui sépare la propriété du chemin de fer, des propriétés rive-
L'action publique résultant de la construction d'un mur con- trairement aux conditions imposées par l'administration, se prescrit par un an
Les charrettes chargées de lait destiné à être vendu à domicile sont soumises au droit de barrière. et, pour jouir de l'exemp
tion de la taxe, le lait doit être transporté directement au
Les poulains de lait non ferrés, sont exempts du droit de bar- rière
Les routes qui se raccordent entre elles, qu'elles appartiennent à l'État ou à des Sociétés concessionnaires, sont la continuation l'une de l'autre, et il y a fraude du droit de barrière, quand le poteau de la barrière de la route concédée ayant été établi au point d'intersection des deux routes, on quitte la route de l'Etat à moins de 500 mètres de ce poteau, pour aller rejoindre par une autre voie la route concédée Loi du 18 mars 1833, art. 11 et 12)
L'Etat n'est pas responsable du préjudice qu'éprouve le fermier d'une barrière par la réduction du tarif de transport sur le chemin de fer
Les percepteurs de barrières sont aptes à verbaliser à leur bureau en matière de grande voirie et de police de roulage Le contrat qui intervient entre l'État et le fermier d'une barrière étant un louage, l'Etat est tenu de garantir au fermier la jouissance affermée, et, en conséquence, lorsque l'Etat ouvre une communication qui permet d'éviter le poteau de barrière placé sur une route, en le tournant, il est tenu d'indemniser le fermier de la perte subie à raison de ce fait, depuis le jour où la communication nouvelle a été ouverte L'Etat est responsable vis-à-vis des fermiers de barrière, du préjudice que ceux-ci éprouvent par suite de l'ouverture d'une section ou ligne de chemin de fer; pour échapper à cette responsabilité il doit, lors de l'adjudication, avertir les amateurs pour que ceux-ci pulssent baser leurs calculs sur cette chance
loi du 18 mars 1833 naшanem pass de ses faits personnels
L'adjudication de la perception du droit de barrière réunit toutes les conditions du contrat de louage et doit être soumise aux règles qui régissent ce contrat; l'Etat doit donc faire jouir pai- siblement le fermier pendant toute la durée de son bail et ne peut poser aucun fait entravant directement la perception de la taxe, sans encourir l'obligation d'indemniser le fermier; cette obligation ne va pas jusqu'à interdire au Gouvernement le droit d'ouvrir de nouvelles voies de communication pouvant exercer indirectement une influence sur la fréquentation de la route où les barrières louées sont établies; mais lorsque l'Etat ouvre une communication qui permet d'éviter le poteau de barrière, en le tournant, il porte atteinte directe à la jouissance paisible du fermier et il doit une indemnité.
Il entre dans les attributions de la Cour de cassation d'apprécier la légalité des faits dont l'existence est d'ailleurs souverai- nement constatée par les juges du fond; l'adjudication de la recette des droits de barrière constitue un véritable contrat de louage entre l'Etat et le fermier; l'Etat ne contrevient pas à ses engagements en ouvrant de nouvelles voies de communication dans une direction parallèle à la route affermée, ainsi qu'en exploitant lui-même sur ces nouvelles voies le transport des personnes et des choses; par suite, il n'est pas responsable du préjudice qu'éprouve le fermier de la barrière louée. L'article 10 de la loi du 18 mars 1833 affranchit l'État de toute responsabilité, en cas de pertes essuyées par les fermiers de barrières; spécialement l'ouverture d'une nouvelle voie de communication dans une direction parallèle à la route affermée ne donne droit à aucune indemnité; aucune preuve par témoins n'est admissible sur ce qui aurait été allégué, lors de l'adjudication des barrières, par le membre de la Députation permanente qui présidait la séance
Le sieur..., fermier de la barrière du Val-Benoit, situé sur la route de Huy à Liége, est non recevable à obtenir que l'Etat fût tenu de lui payer une indemnité pour avoir interdit pen- dant plusieurs mois la circulation sur la route du Chenée au Val-Benoit.
Le droit de barrière n'est dû que pour autant que l'on passe
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