Page images
PDF
EPUB
[merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][ocr errors][merged small]

Le déficit que nous constatons aussi bien sur les envois de la Plata que sur ceux d'Australie provient en partie du retard des arrivages à Bordeaux et à Marseille.

La gare de Mazamet a reçu en laine-mère 2.066.957 kil. contre, en 1894, 1.192.986 kil., soit environ un million de kil. en faveur de l'année qui nous occupe.

La vente des laines lavées a été plus importante en 1895 qu'en 1894.

Il a été expédié, pendant l'année écoulée, en lavé à dos et lavé à fond, 11.044.379 kıl. contre, en 1894, 10.365.853 kil., soit un excédent, en faveur de 1895, de 678.526 kil.

Notre marché a donc maintenu les progrès si remarquables des années 1893 et 1894.

La marche en avant avait été, dans cette période, si accentuée, les résultats avaient été si contraires à toutes les prévisions, que l'on pouvait craindre une réaction, une hésitation dans les achats et par suite une moins grande activité dans notre vivante circonscription. Heureusement il n'en pas été ainsi; nos nombreuses usines ont été aussi occupées que dans les deux années précédentes, les transactions commerciales ont été aussi nombreuses, avec cette différence qu'elles ont laissé à nos négociants un assez bon résultat ; ils ont enfin recueilli, dans une certaine mesure, les fruits de leur énergie et de leur persévérance.

Trois facteurs importants sont venus, pendant la campagne, modifier du tout au tout le résultat d'une année commencée sous les plus mauvais auspices.

Le prémier a été la baisse rapide qui s'est enfin produite à partir du mois de mars sur les achats du brut. Pour amener cette baisse réelle, qui aurait dû se faire plus tôt sur les lieux de production, il a fallu enfin l'influence, auprès de nos maisons, de pertes de plus en plus sensibles qui auraient compromis une

[blocks in formation]

L'Amérique du Nord a certainement enlevé plus de la moitié des laines expédiées pendant cette époque, et nous croyons être au-dessous de la vérité en estimant la quantité à deux millions de kilogr. Ces quatre mois de vente coïncidant aux achats avantageux du brut dans les mois de mars, avril et mai ont été des plus fructueux pour nos négociants, qui ont été couverts et au-delà des pertes du commencement de l'année.

[blocks in formation]

De cette multiplicité et de cette diversité de clients découle une plus grande sécurité dans nos affaires d'exportation.

I est bien rare que tous les pays souffrent en même temps et s'abstiennent ensemble d'acheter notre laine. Si un débouché nous manque, un autre vient le remplacer, et l'équilibre se produit plus facilement. Il importe de plus en plus que nos négociants apportent tous leurs soins, toute leur sollicitude à maintenir le monopole qu'ils ont si laborieusement acquis.

M. Alphonse Bonnafous, qui a été le promoteur de ventes publiques à Mazamet, qui a construit des magasins destinés à recevoir des marchandises à consignation, a vendu aux négociants ou aux industriels de la région, soit aux enchères, soit de gré à gré, 3.500 balles environ peaux de mouton de la Plata, d'Australie, du Cap et de la Russie. Sur nos transactions commerciales c'est un appoint qui mérite d'être cité.

Marchés à terme

La Chambre de commerce de Mazamet, soutenue par l'opinion de tous les centres manufacturiers, a continué la campagne qu'elle a entrepris depuis deux ans contre les marchés

à terme. Dans sa réunion du 4 octobre dernier, elle décida de renouveler, auprès de M. le Ministre du Commerce, les vœux déjà formulés par elle dans ses séances du 1er décembre 1893 et du 24 octobre 1894.

Quelques jours après, par le fait de manouvres spéculatives, que rien, dans la marche actuelle des affaires, ne pouvait justifier, une baisse rapide se produisit dans les cours du peigné à terme et vint jeter le désarroi dans tous les centres manufacturiers. Les villes de Roubaix, Tourcoing, Reims, Elbeuf, Sedan, Avesnes, Le Cateau, Fourmies, Amiens, décidèrent d'envoyer des délégués à Paris pour chercher le remède à une situation déplorable à tous les points de vue.

MM. Charles Sabatié et Gustave Sarrat, délégués de la Chambre de commerce, rendirent compte de leur mission en ces termes:

«Messieurs,

« Nous nous sommes rendus le 28 octobre à Paris, pour représenter votre Chambre de commerce au Congrès tenu à cette date par les négociants en laine et les fabricants de tissus partisans de la suppreesion des opérations à terme sur la laine.

«M. Dron, député de Tourcoing, ayant fait adopter en principe que, pour le moment, il n'y avait pas lieu de poursuivre la suppression des opérations à terme sur la laine brute, cette suppression ne pouvant être obtenue que par une voie légale, il y avait lieu de deman der purement et simplement la suppression des opérations à terme sur laine peignée.

«La laine peignée n'étant pas une matière première, mais bien produit manufacturé, ne saurait être légalement maintenu au marché à terme. Le lendemain 30 octobre, l'ancien Ministre du Commerce, M. Lebon, encore en fonctions, a bien voula recevoir la délégation, accompagné de nombreux députés et sénateurs, parmi lesquels MM. Barbey et le baron Reille. Après avoir entendu la délégation, M. Lebon a déclaré qu'à son avis le marché sur la laine peignée semblait illégal'; il a déclaré, en outre, qu'il allait donner l'ordre de mettre la question à l'enquête, et qu'il recommanderait la suite de l'affaire à la sollicitude de son successeur.

« Après cette audience, le Congrès a décidé que dans chaque centre lainier on allait poursuivre un mouvement d'opinion, et déjà à Tourcoing, Avesnes, Reims, Sains-du-Nord, Wignehies, etc., il est procédé à un référendum..

« Nous demandons, en conséquence, que la Chambre de commerce de Mazamet, tout en maintenant ses premières délibérations et le principe de l'imposition, sinon la suppression des marchés à terme sur marchandises, s'associe à la demande de suppression pure et simple du marché à terme sur laine peignée, et recueille, sur notre place, les adhésions des industriels et fabricants qui ne sauraient faire défaut >>.

La Chambre donna son approbation à ce rapport; elle décida que, sous son patronage, une péttition serait présentée aux négociants en laine, fabricants et courtiers de son ressort, pour obtenir la suppression du marché à terme sur laine peignée.

Cette pétition fut aussitôt signée par l'unanimité des manufacturiers, des négociants et des courtiers de notre circonscription et envoyée, par les soins du Président de la Chambre de commerce, à M. le Ministre du Commerce, de l'Industrie, des Postes et des Télégraphes.

Nous ne doutons pas que M. Mesureur, le nouveau Ministre du Commerce, ne donne satisfaction à une demande aussi générale et aussi légitime.

En terminant la revue de l'année 1895 qui a été, en somme, assez bonne pour notre industrie et notre commerce, et a réalisé enfin, en partie, de très légitimes désirs, nous saluons avec confiance l'année nouvelle.

[merged small][ocr errors][merged small]
[merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][ocr errors][ocr errors][ocr errors][merged small][ocr errors][merged small][ocr errors][ocr errors][ocr errors][ocr errors][merged small][ocr errors][merged small][ocr errors][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][ocr errors][merged small][merged small][ocr errors][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small]

forte augmentation de production aux colonies et à la Plata; et, de l'autre, l'Amérique notoirement dépourvue d'approvisionnements en articles lainiers, disposant d'une quantité seulement modérée de laine brute et s'attendant à un déficit important dans sa tonte indigène. Telle était la situation, et l'on se demandait alors si les besoins de l'Amérique feraient ou non contre-poids à la pléthore de laines en Europe. Les événements ont résolu cette question de manière à dépasser les plus confiantes prévisions.

Les Etats-Unis, dont la tente diminua d'environ 80.000 balles, ont pris 243.000 balles de laine coloniale et de la Plata, contre 65.000 b. en 1894, ct au moins pour 11 millions de liv. sterl. de produits fabriqués, 3,500.000 liv. st. Il est impossible de dire au juste ce que cela représente en matière première; mais, d'une façon générale, on peut considérer le surcroît des importations de l'Amérique en laines et lainages de tous genres comme équivalant pleinement à 500.000 balles de laine coloniale. Quelle que soit, cependant, l'exacte proportion, cette énorme demande a si bien compensé, et au-delà, le surplus de productions et les stocks accumulés en Europe que, non seule. ment, ces derniers ont entièrement disparu, mais que l'absorption des arrivages considérables de l'année a eu pour corollaire une avance substantielle dans les cours.

L'amélioration impatiemment attendue de la réforme du tarif américain s'est donc enfin pleinement réalisée, mais avec une lenteur re marquable. Sans parler de la période finale de 1894, alors que l'entrée des laines en franchise n'eut pas la moindre influence sur les prix, il fallait six mois en 1895 avant de voir s'effectuer une reprise réelle ct durable. Et ce, malgré le caractère évidemment sérieux, dès le début, des besoins de l'Amérique en laines et produits fabriqués.

La statistique des exportations aux EtatsUnis avait beau témoigner chaque mois d'un vaste chiffre d'affaires qui allait se consolidant toujours, à part quelques velléités de hausse au printemps, les cours jusqu'en juillet bougèrent à peine. Ceci provenait probablement tout d'abord des stocks considérables de laine et de peigné entre les mains des manufacturiers d'Europe, stocks dépassant même les estimations courantes, et ensuite de la tenace incrédulité dans toute reprise durable que les trois ou quatre dernières mauvaises années avaient semée dans les esprits.

Toujours pessimiste, l'importateur revendit en Europe avec un minimum de profit les achats avantageux faits par lui aux colonies, ce qui, joint aux anciennes existences qu'il fallait écouler, maintint effectivement les cours sur un bas niveau. Ce ne fut qu'en juillet, après six mois des plus brillantes affaires, que le marché pût être enfin dégagé de ce fardeau et se relever sérieusement.

A la quatrième et à la cinquième série, les prix montèrent [d'environ 25 0/0 en moyenne, avance marquée, qui n'a pourtant rien d'exagéré si l'on considère l'extrême dépression qui l'a précédée.

Le poids culminant atteint en septembre ne fut pas tout à fait maintenu dans le dernier trimestre, principalement par suite de la méfiance qu'engendra la baisse rapide et continue des cours du peigné à terme.

On se demande encore, aujourd'hui, comme alors, si dans ce mouvement rétrograde il fallait voir autre chose que le fait de manœuvres spéculatives, s'il existait enfin quelque raison plausible pour le justifier, car l'état général des affaires, l'activité de l'industrie et l'exportation de produits aux Etats-Unis n'ont pas un seul instant cessé d'être excellents.

Un trait caractéristique de l'année est la forte hausse survenue dans les prix des laines lustrées, grâce à un changement de mode. Outre l'avantage qu'en ont retiré les producteurs, cette avance a grandement profité aux fabricants du Yorkshire et contribua à accentuer notablement la concurrence anglaise aux enchères.

Et cependant, quoique l'année passée ait vu surgir des améliorations bien tranchées, elle accuse deux bas niveaux sans précédents jusqu'ici. Jamais, en effet, la laine mérinos n'avait été aussi bon marché qu'aux ventes de janvier, et la valeur moyenne, pour l'année, d'une balle de laine coloniale, n'était jamais, non plus, tombée aussi bas que 11 liv. st. le chiffre pour 1895. De fait, la hausse survint trop avant dans l'année, alors que le gros des arrivages avait déjà passé à la consommation, et l'éleveur aux colonies n'a donc guère pu bénéficier du relèvement des cours. Le plus favorisé a été l'industriel, surchargé, l'année durant, de commandes auxquelles il avait peine à suffire, et ce, dans tous les pays, en France, en Allemagne, et surtout à Bradford, qui,

[merged small][ocr errors][merged small][ocr errors][merged small][ocr errors][ocr errors][ocr errors][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small]

après une longue période de dépression, a enfin à son actif une année des plus prospères.

Les stocks si encombrants qu'avait légué 1894 ont été déblayés et la consommation peut de nouveau faire hardiment face à la production. On s'étonnera peut-être qu'une seule année ait pu produire ce changement radical. Cependant, il est dû sans aucun doute à la réforme du tarif américain et, par suite, à la reprise, dans leurs proportions normales, des opérations de l'Amérique jusqu'alors entravées.

Sous son influence, l'industrie prend partout un nouvel essor; en Angleterre, sur le Continent, aux Etats-Unis, des usines s'érigent ou s'agrandissent, et quand bien même les arrivages en 1896 devraient accuser un surcroît, au lieu d'un déficit actuellement prédit, ils seraient, croyons-nous, pleinement absorbés. Il est à souhaiter que des remaniements de tarif dans un sens adverse ne viennent pas troubler une perspective aussi pleine de promesses.

Prix. Nous indiquons ci-après le maximum et le minimum des cours, pendant les dernières années, des principales sortes de laine, ainsi que la moyenne et les prix en deniers par lb. au 31 décembre.

Le point le plus bas, et sans précédent, fut touché dans la première série, le plus haut en septembre, où la laine d'Australie se notait 30 0/0, celle du Cap de 10 à 15 0/0 au-dessus du niveau de janvier. Dans le dernier semestre, les cours fléchirent d'environ 50/0. Une hausse extraordinaire eut lieu pour les genres lustrés. Le mohair et l'alpaga montaient de 100 0/0 et plus sur le début de l'année, et bien qué les prix aient rétrogradé depuis, ils accusent encore sur janvier une avance de 90 et 60 0/0 respectivement. Les Lincoln hoggetts se cotent 55 0/0 plus cher.

Voici un relevé de la valeur annuelle, depuis 1886, de la tonte coloniale, basée sur une valeur moyenne assez exacte par balle :

[ocr errors]

Minimum Prix moy. 1895 7 1/2 10 1/4

» 4 3/8

»

>>>

D

3 5/8 6 3/4 6 1/4 » 6 1892 8 3/4 1886 11

1892 12

[ocr errors]
[blocks in formation]

> 13 1/2

»

6

D

5

>>

8

>>>

14 D 6 1/2

9 1/2 7 3/4 8 1/2 81/2 18 16 14 15 1/2 15 1/2 7 8 1/2 7 1/2 6 7 7 1/4 6 1/4 5 1/4 5 3/4 6 7 1/2 10 1/4 9 1/2 7 3/4 8 1/2 9 9 1/2 12 1/4 11 10 1/2 11 1/2 12 9 3/4 9 1/2 81/2 9 1/2 91/2 18 14 1/2 15 1/2 15 1/2 15 1/2 7 1/4 6 3/4 7 3/4 7 3/4 6 1/4 5 1/4 4 1/2 5 1/2 5 3/4 5 1/8 4 3/8 3 3/4 45/8 47/8 81/8 8 1/2 7 1/4 7 73/4 7 3/8 7 6 3/4 6 1/2 7 71/8 6 3/4 6 1/2 6 3/4 7 12 5/8 15 1/2 10 10 3/4 9 1/2 19 1/2 23 14 1/2 14 1/2 14 1/2 22 27 1/2 14 1/2 15 1/2 14 1/2

9

[blocks in formation]
[ocr errors]

299.000. 256.000

269.000

1.432 000 1.444 000

1.604.000

1.695.000

1 699.000

2005.000

2.126.000

2.074.000

2.152.000

2.270.000

La valeur totale de la tonte ne diffère guère de celle obtenue en 1894, le surcroît dans la production coloniale étant à peu près contrebalancé par la baisse dans la valeur moyenne de la balle, 11 liv. st. chiffre sans précédent, représentent la moyenne de l'année ; en janvier, elle était de de 10 liv. st. et, basée sur les prix de clôture des dernières enchères, de 12 liv. st. par balle.

L'avenir de l'article. A part les complicalions politiques et l'incertitude qui règne quant à un remaniement éventuel du tarif américain, l'année parait s'ouvrir sous d'excellents auspices.

La position de l'article s'est sensiblement améliorée et, sous le rapport de l'offre et de la demande, présente un contraste frappant et des plus favorables avec ce qu'elle était il y a un an. Il n'existe, en Europe, aucune accumulation de stocks en laines brutes, peignés ou lainages, et la consommation est considérable et s'étendra probablement avec le nouvel outillage que l'industriel ajoute à ses anciennes machines.

Les Etats-Unis, il est vrai, ne sont plus," comme il y a un an, dépourvus de produits lainiers, et il se peut que cette année, leurs importations de laines et de lainages n'atteignent pas les dimensions exceptionnelles de la précédente; mais nous ne pensons pas qu'il survienne de diminution bien marquée, et pour en contrebalancer les effets, le négoce et l'industrie, loin d'avoir, comme en 1895, à tenir tête à des arrivages grossissants, auront affaire, cette fois-ci, à une production sensiblement amoindrie.

[blocks in formation]

Valeur moyenne balle

par

Liv. st.

D

>>>

D

D

D

[ocr errors]
[ocr errors]

13 1/2

14

13 1/2

15 1/2

14 3/4

13 1/2

12

12 1/2

11 1/2 11

Liv. st.

>>>

beaucoup plus légers reportés de l'année dernière, la diminution se reflètera probablement en entier dans la quantité effectivement livrée à la consommation. A la Plata, on ne prévoit qu'un surplus modéré, et ce, principalement, en laine croisée.

[ocr errors]

Les arrivages promettent donc de s'en tenir à un chiffre très maniable, et comme la consommation s'accroît et que, malgré leur hausse récente, les prix sont toujours bas, à moins de circonstances adverses, la situation nous semble offrir les éléments d'une nouvelle avance dans le cours de l'année.

[ocr errors]
[ocr errors]

Valeur totale

19 332 000 20.216.000 21.654.000 26 272.000 25.060.000 27.067 000 25.512.000 25 925.000 24.748 000 24.970.000

NOUVEAUX BREVETS

INTÉRESSANT L'INDUSTRIE LAINIÈRE

249.751. Carpentier. Machine à échar donner les laines brutes ou lavées.

249.770. Koch. — Dispositif d'arrêt automatique et instantané des métiers, dès que la mèche en travail cesse de présenter exaclement la grosseur voulue.

249.802. Lekeux. Machine à sécher, et à carboniser les matières textiles.

249.823. Kachlin. Contrôleur de torsion et de marche pour métiers selfacting.

249.876. Wintgens. Mécanisme de tension à charge croissante pour contre-ba guettes de mull-jenny renvideurs.

249.891. Tain Métier à tordre directement en filature.

249.729. Société F. Voland et Cie. Procédé de frappage ou de moirage des tissus à poil, tels que les velours et les peluches.

248.815. Chwalla. Procédé et moyens employés pour apprêter (tendre et dérailler)

les tissus.

249.749. Géry. -- Perfectionnements aux lisses sans nœuds et aux remises pour la fabrication des rubans et tissus quelconques.

249.759. Bridge. Perfectionnements apportés au perçage des cartons destinés aux métiers à tisser ou autres.

249.848. Société Brown, Boveri et Cie. Dispositif de commande électrique pour métiers à tisser.

« PreviousContinue »