bustion, XIV, 115. Procédé de Weingartner pour en retirer des os, en combinant de l'acide phosphorique avec dù zinc, 213. Sa combustion dans le vuide, XXI, 158. Phénomène qui a lieu par la raréfaction de l'air, 160. Cause de son inflammation attribuée au coton qui l'entouroit, 162, 165. Cause de l'accroissement de la lumière dans l'air raréfié, 164 et suiv. Hauteur du baromètre pendant la combustion, 168. Preuve de la combustion; phénomè nes qu'elle présente, 170. Cause de son inflammation rapide par le gaz acide muriatique oxigéné; pourquoi elle n'a pas lieu dans l'oxigène, 194. Ne présente pas de lumière dans le gaz azote des matières animales, une foible dans celui de l'ammoniaque, 198. Aucune dans celui de l'oxigène à 12 degrés, 196. Une forte dans le même gaz chaud, 197. Une sensible dans le mélange des gaz azote et oxigène, 199, 200. Ni combustion ni flamme dans ces deux gaz phosphoreux mêlés à froid, 202. Sa dissolution dans le gaz azote, 194, 195, 212. Dans les gaz oxigène et hydrogène, 196, 202, 212, 213. Dans l'air vital, 208. Résultats des expériences faites avec les gaz oxigène, azote, hydrogène, acide carbonique, ammoniaque, sulfureux et nitreux, 197 et suivantes; 207, 208. Ne brûle point dans l'air vital froid, 216 et suiv. Sa combustion lente dans le gaz oxigène, ne s'établit qu'à 22 degrés, est rapide à 32, 197. Est favorisée par les gaz azote et hydrogène à des températures plus basses, 212. Sa conversion en acide phosphoreux ne s'opère que par le concours des gaz azote et oxigène, 209. Sa combustion dans l'eudiomètre,

XXII, 247 et suiv. Manière dont il brûle dans l'acide nitreux, 106. Convertit en acide phosphorique par le gaz acide carbonique, XXIII, 74. Selon M. Goettling, ne brûle dans le gaz azote qu'en vertu d'un reste de gaz oxigène, 76. Rendu parfaitement transparent par l'acide nitro-muriatique; donne beaucoup de carbone en bouillant avec le carbonate acidule de potasse, 325. Se dissout très-promptement sans produire de flamme dans le gaz oxigène qui s'enflamme rapidement par le moyen du gaz hydrogène et du gaz azote, XXIV, 58, 59. Produit une flamme douce avec le gaz acide muriatique oxigéné, 60. Une flamme azurée très-sensible avec le gaz nitreux, 61. Sa dissolution rapide dans le gaz hydrogène qui devient phosphorescent par le contact avec les gaz oxigène et acide muriatique oxigéné, 61, 62. S'enflamme rapidement et lance des étincelles très-brillantes dans le gaz acide muriatique oxigéné; s'y fond entièrement; se condense aux parois du vase; en se refroidissant redevient solide, 63. Brille sans se dissoudre, aver plus d'éclat dans le gaz acide carbonique, que dans l'air atmosphérique, ne manifeste aucune lumière sensible dans ce gaz mêlé avec le gaz oxigènè, 65. S'enflamme dans l'air atmosphérique lorsqu'on agite le vase qui le contient, 66. Sa dissolution dans les huiles de thérébentine et de thims ne produit point de flamme, 70. Se dissout également dans l'alcool qui perd son odeur sans production de flamme, 71. L'introduction d'un peu d'alcool phosphoré dans l'eau y produit une flamme très-pure, 72. L'acide sulfurique concentré, la dis

solution de potasse, le nitrate de chaux et les dissolutions de divers sels alkalins enflamment l'alcool phosphoré, 73. Se dissout dans l'éther par l'acide sulfurique sans produire de flamme. Action de l'alcool sur ce mélange,75.A été purifié au moyen d'un mélange d'acide nitreux et d'acide muriatique par M. Mussin Puchin, XXV, 102, XXVII, 94. Procédé à observer, 104. S'enflamme par le choc du marteau, XXVII, 79. Trouvé dans le gésier de plusieurs. animaux domestiques qui en avoient avalé, et dont il a causé la mort, XXVII, 87. Annonce constamment moins d'oxigène dans l'atmosphère que le gaz nitreux, 148, 159. Se dissout dans l'azote et l'oxigène, 149, 152, 153, 155. Forme des. combinaisons triple avec l'oxigène et l'azote, 158, 159. Tableau d'expériences analogues faites par M. Humboldt, 154. N'enlève presque jamais tout l'oxigène à l'azote atmosphérique, XXVIII, 172. Est presqu'instpide, devient aigre et piquant par Paddition de l'oxigène, 243. Avec l'oxigène forme l'acide phosphorique, 247. Résultats des expériences de M. Brugnatelli sur cette substance avec le gaz nitreux, XXIX, 186, 187. Celui qui est jaunâtre contient du carbone, 221. Purifié par le moyen de l'acide muriatique oxigéné ne se noircit plus. lorsqu'on le rougit avec un alkali caustique, 222. Son inflammation spontanée dans une expérience singulière par le cit. van Marum, XXX, naturels. Voy. bois phosphoriques et vers luisans. Objections de M. Carradori contre l'opinion de M. Spallanzani sur la cause du luisant de ces phosphores, XXIV, 216 et suiv. Preuve que l'analogie en

316.

tre ces phosphores et le phosphore urineux n'est pas parfaite, 223.

urineux, entouré d'airs méphitiques cesse de luire, XXIV, 218. Preuve que l'analogie entre ce phosphore et les phosphores naturels n'est pas parfaite, 223. PHOSPHURE. Mélange d'acide phosphorique vitreux, de métal et de poudre de charbon, XIII, 102,

d'antimoine. On l'obtient par la fusion du régule d'antimoine mêlé au verre phosphorique avec et sans la poudre de charbon, XIII, 152. Fusion de la combinaison obtenue dans la première expérience. Précautions à prendre pour empêcher la volatilisation du phosphore en projetant du phosphore sur l'antimoine en fusion, 133.

d'argent; sa formation, I, 102. Phénomène qui prouve que le phosphore reste plutôt combiné à de l'argent en fusion qu'à de l'argent non fondu, XIII, 109.

-d'arsenic. Voy. arsenic phosphoré.

- d'azote oxidé, XXVII, 159.

de chaux. Sa pesanteur spécifique, XXVIII, 14. -de cobalt. Voy. cobalt phosphorė.

-de cuivre. Ce qui a lieu dans la préparation de ce phosphure. Sa couleur; procédé de Margraff pour l'obtenir. Propriété qu'il lui attribue, non observée par Pelletier. Couleur de la coupelle après la fusion de ce phosphure, I, 103, 104. Addition au procédé pour l'obtenir, XIII, 111.

d'étain. Procédés pour l'obtenir, I, 105, XIII, 116 et suiv. 119. S'entame au couteau. Sa couleur

lorsqu'il

lorsqu'il est nouvellement coupé; lorsqu'il est réduit en limaille, 117. Par quel procédé Margraff l'a obtenu, 118. Donne par son mélange avec le muriate de mercure corrosif par la distillation, du muriate d'étain fumant, du mercure coulant et du gaz hydrogène phosphoré, 120.

de fer. Sa description; sa fusion; substance qui reste sur la coupelle après sa fusion, I, 104. Moyen de l'obtenir, XIII, 113. Deuxième procédé par lequel le fer retient une plus grande quantité de phosphore, 114.

- de manganèse. Voy. manganèse phosphoré.

de mercure. Diverses expériences infructueuses pour l'obtenir, XIII, 121. Obtenu du mélange de l'oxide rouge de mercure et du phosphore, 122. Ce qui a lieu pendant l'expérience, 123. Phénomènes qu'il offre par son exposition à l'air. Séparation de la combinaison en la soumettant à la distillation, 124.

de nikel. Sa couleur, XIII, 136. Abandonne, en refroidissant, une petite portion de phosphore, 136.

d'or. Procédé pour l'obtenir, I, 101. Addition à cc procédé, XIII, 104. Moyen de séparer le phosphore contenu dans ce phosphure, 105.

de platine. N'est pas sensible à l'action du barreau aimanté. Dans quel cas il laisse échapper le phosphore. Ses proprietes, I, 101. Mêlé avec du muriate oxigéné de potasse, et projeté dans un creuset rouge, produit une détonation vive, 102. Substance métallique qui se trouve au fond du creuset après Tome I. S