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ABONNEMENT

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chez la

Librairie Ancienne Suisse à Zurich

Fr. 4.

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Chez tous les

Bureaux de Poste Suisses

Fr. 4. par an.

de la Suisse.

Paraissant une fois par mois.

ANNONCES, 30 centimes la ligne, doivent être adressées au Bureau d'Annonces ORELL FÜSSLI & Co. ou

à Mrs. HAASENSTEIN & VOGLER à Zurich.

VIIème Année.

1

INHALT: Dictionnaire biographique des Genèvois et des Vaudois Barsalou Fromenty, la philosophie terrestre.
P. Leopoldus Janauschek, Origines Cisterciensium. - Ekkehardi (IV) Casus Sancti Galli, Hrsg. v. Meyer von Knonau.
Scheizergeschichte. Müller, Geogr. Vertheilung der landwirthschaftl. Bevölkerung; der Seidenindustrie.

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[Juin 1877

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T

la sèche mention des faits; seulement l'auteur, à son insu peutêtre, lui a été maintes fois infidèle, à propos des écrivains, des artistes, et parfois même en parlant d'hommes politiques. A-t-il eu p. ex. la main heureuse en qualifiant de magnifique" le discours de Druey au tir fédéral de 1836? Dans un volume qui doit viser à la concision, est-il bien nécessaire d'affirmer que les Illusions perdues de Gleyre sont un ouvrage magnifique et plein de poésie"? Soit dit en passant, c'est surtout dans les appréciations que se trahit l'inexpérience de l'auteur du Dict. biogr.

L'ouvrage complet formera deux volumes et contiendra environ 1200 notices biographiques. Quiconque se fait une idée de la masse de recherches que suppose une pareille entreprise, admirera le courage et la persévérance de M. de Montet. Ab- Mais il y aurait mauvaise grâce à juger comme œuvre sent du pays plusieurs années par le fait de sa carrière militaire, littéraire un travail d'érudition et dont la qualité maîtresse c'est sans préparation historique spéciale il s'est chargé seul d'une d'être exact et complet. Sur ce point M. de Montet n'a épargné tâche devant laquelle de plus experts ont reculé. Sans col-ni son temps ni ses peines. Jusqu'ici, il ne m'a pas été possible laborateurs, il a exécuté en quelques années une besogne qui de trouver dans son premier volume une omission qui ne fût suppose des aptitudes fort diverses. S'il faut s'étonner d'une pas intentionnelle; je regrette de n'y voir figurer ni De Gaschose, ce n'est pas de trouver des imperfections dans son premier parin, le brillant orateur, ni Hisely l'érudit historien, ni volume, c'est d'en trouver si peu. Gide le poète genevois, ni quelques autres, mais l'auteur a eu ses raisons, qu'on n'est pas tenu il est vrai de trouver valables. Je lui reprocherai plutôt d'avoir été trop accueillant en faisant une place à Mine de Charrière, hollandaise de naissance, neuchâteloise par son séjour à Colombier, et dont le mari seul était Vaudois. Malgré le rôle historique du service militaire à l'étranger il y a quelque abus à nous entretenir de cinq De Crousaz, de neuf Constant de Rebecque, de quinze d'Esta vayer, qui presque tous ont été gens d'épée.

Quoi qu'on fasse, en effet, un Dictionnaire biograph. prêtera toujours le flanc à la critique. Le gros des lecteurs y cherchera de préférence les noms célèbres, et inévitablement il sera déçu, la place étant trop restreinte et le Dictionnaire étant destiné à être consulté plutôt qu' à être lu. Aussi des articles tels que Bonstetten, le doyen Bridel, Calame, Calvin, Benj. Constant, Davel, Druey, le général Dufour, Farel, Gleyre, etc. sembleront pâles ou secs et n'apprendront que peu de chose. Que le lecteur ne se rebute pas, et qu'il ouvre le volume à des noms moins connus, tels que le naturaliste D.-Al. Chavannes, l'économiste Ant. Cherbuliez, le mathématicien Develey, le cardinal Du Perron, le Dr. D'Espine, Eynard le philhellène, De Félice l'éditeur d'Yverdon, le publiciste Gaullieur, le dernier C de Gruyère, Guiguer de Prangins, l'ingénieur Guisan, Haldimand le philanthrope, H. Hollard le professeur de sciences naturelles, le peintre Hornung. Ici l'utilité d'un Dict. biographique sera plus évidente, et les qualités solides de celuici apparaîtront mieux. Quant aux gens du métier, à l'affût de renseignements inédits, ils en trouveront davantage dans les articles les plus brefs, les moins importants. Ailleurs, un DictionInaire en est réduit à condenser et à compiler, et chacun s'en aperçoit; ici est original, et fort peu s'en doutent. Et voilà il comme quoi un Dict. biogr. est une œuvre ingrate.

Non content de ces difficultés inhérentes au genre, M. de Montet s'est proposé une méthode fort correcte, mais peu attrayante: Nous nous sommes bornés à la sèche mention des faits, dit-il, laissant au lecteur les réflexions qu'ils peuvent suggérer . . . Tous nos soins ont été à l'exactitude." Dans un ouvrage où les noms des contemporains sont si rombreux, cette méthode était prudente, quoique peu propre à plaire au public de la Suisse française qui préfère les caractéristiques à

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Autre observation: les indications bibliographiques absorbent une place disproportionnée à leur importance réelle: parfois la moitié, les deux tiers de l'article y passent. Pour tel écrivain très connu, on comprend l'intérêt d'une liste complète de ses publications, ainsi pour Benj. Constant je ne me plains pas de trouver tout au long 40 titres d'ouvrages, ni même pour De Bèze d'en lire 96, remplissant quatre pages sur cinq; mais était-il bien nécessaire d'appliquer la même méthode partout, de reproduire les 32 titres des œuvres justement oubliées du philosophe De Crousaz, ou les 55 du juriste Denis Godefroy ou de consacrer quatre pages sur cinq à énumérer les œuvres originales et les traductions du poète et théologien Simon Goulart, le successeur de Théod. de Bèze.

Si l'espace est accordé avec prodigalité aux listes bibliographiques, il est ménagé avec de trop parcimonie à l'indication des sources. Ici la précision est de rigueur; il importe de connaître le nom de l'auteur d'un article de revue, et il est peu récréatif de feuilleter toute une année d'un journal politique sans table des matières. Au reste, le tome II, paraît-il, fera droit à cette observation. Si faire se pouvait, il serait précieux en vue de recherches, d'y trouver un répertoire raisonné, par ordre des matières ou par ordre chronologique.

La franchise de cette critique permet d'ajouter que, grâce au Dict. biogr. de M. De Montet, combiné avec la Bio

Origines Cisterciensium. Tom. I. Wien, in Commission bei Alfr. Hölder. 4. S. LXXXII und 394, nebst grosser Stammtafel. Fr. 26. 70.

graphie Neuchâteloise de Jeanneret et Bonhôte, la Suisse | P. Leopoldus Janauschek (Professor zu Heiligkreuz bei Baden), romande est en avance sur nos confédérés allemands. Puisset-il surgir bientôt parmi eux quelques monographies semblables à celle de M. De Montet, et alors deviendra possible une entreprise qui, pour le moment, serait chimérique, celle d'élaborer un Dictionnaire biographique de la Suisse.*)

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Eug. Secretan.

G. Barsalou-Fromenty: La philosophie terrestre. Genève 1876. Ch. Menz, libr. éd. 488 p. in-8, prix 5 Fr. Le livre de M. B. est divisé en 9 chap.: I. Le Hasard. II. Lois. III. L'infini. IV. La Terre. V. L'Inteligence. VI. Liberté. VII. L'Humanité. VIII. La Mort. IX. Conclusion. Voici qui suffira, pensons-nous, à faire connaître le caractère général et la portée de cet ouvrage. Dans sa conclusion p. 466 Mr. B. nous annonce pour un temps rapproché la formation des Etats-Unis d'Europe et indique les moyens qui pourront être mis en usage, afin d'y arriver p. 467-470. Il se pourrait que dans le nouvel ordre des choses, une assemblée de librespenseurs, dont les décisions n'auraient pas force de loi, fût élue dans le but de porter la lumière au sein des idées philosophiques, religieuses et morales". Il n'aurait jamais existé sur terre un spectacle plus grandiose que celui d'un congrès européen composé de philosophes rationalistes méditant, dans un recueillement profond, sur Dieu, l'âme, les lois terrestres de l'humanité, la vie future. Il serait excessivement utile, et surtout très praticable, d'inviter l'assemblée à rechercher à mettre en ordre les meilleurs principes de morale recueillis au sein des religions présentes et passées, dans les systèmes philosophiques, dans les écrits des moralistes. Le congrès s'entourant des documents présents et passés, tenant en main le travail moral et réfléchi de l'humanité, ferait sortir du cerveau de l'Europe un code sublime destiné à régler les rapports de l'homme avec luimême, avec ses semblables, avec l'univers, avec l'infini ou Dieu." Il serait permis à tout libre-penseur, à tout philosophe de présenter au congrès ses opinions sur l'âme, l'humanité, l'univers ou Dieu et des préceptes moraux. Nous le ferions sans hésiter", . . . Nous n'en doutons pas.

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Voici une ou deux des opinions que présenterait Mr. B.: „La métaphysique ou rien, c'est la même chose." La matière étant sans bornes, rien ne peut exister en dehors de son infinité. Penser et croire le contraire, c'est tomber volontairement dans l'erreur. L'intelligence humaine.. ne survit point au cadavre qui tombe en pourriture" Nous n'ignorons pas que nous ravissons à la vie humaine sa poésie et ses fleurs. Ce qui nous récomforte un peu, c'est que nous avons la prétention de remplacer . . . . . l'illusion par la réalité." Les peuples. . . . ne doivent songer qu'à rendre leur unique séjour plus commode et plus agréable en toutes choses".

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.....

"

Voici les dernières lignes du livre: Au moment d'inscrire notre nom sur ce livre, nous affirmons de nouveau que tout ce qu'il renferme a été écrit sous la dictée de notre conscience." Th. Bornand.

allemandes. Lère Partie. 3o édit.

revue

Josef Schwob, Chrestomathie française ou livre de lecture, de traduction et de récitation à l'usage des écoles et corrigée. Zurich, Meyer et Zeller. 304 p. petit in-8, prix Fr. 2. 60. La chrestomathie de Mr. Schwob n'est pas un livre nouveau, ce qui nous dispense d'en parler comme d'un inconnu. Le fait que le livre en est à sa 3ème édit. prouve son succès, et ce succès nous paraît s'expliquer par la variété des auteurs mis à contribution et par l'application souvent heureuse des principes qui ont présidé au choix des morceaux. En nous exprimant ainsi, nous avons spécialement en vue la prose du recueil; comme trésor poétique la chrestomathie de Mr. Schwob nous parait laisser passablement à désirer. Th. Bornand.

*) Auf einen beachtenswerthen Beitrag in dieser Richtung ist immerhin aufmerksam zu machen: E. F. v. Malinen, Prodromus einer schweiz. Historiographie s. Bibl. 74 Nr. 7.

Zu einer Geschichte des einst auch in der Schweiz zahlreich vertretenen Ordens der Cistercer sind in neuester Zeit verschiedene tüchtige Vorarbeiten erschienen. Während Rahn, Dohme und Violet-le-Duc in die Baugeschichte des Ordens Licht brachten, hat Winter in einem dreibändigen rühmlich bekannten Werke jene unsterblichen Verdienste desselben im nordöstlichen Deutschland, wo die Cistercer als die eigentlichen Pionire deutschen Wesens und christlich-germanischer Cultur aufgetreten sind, geschildert und zugleich über die Anfänge und Einrichtungen des Ordens manches Treffliche beigebracht. Dazu kamen dann noch die Urkundenbücher einzelner Abteien.

Den besten Theil der historischen Arbeit aber für den Orden hat sich ein Ordensmitglied selbst gewählt. P. Leopold Janauschek aus Mähren, Professor der historischen Theologie zu Heiligkreuz in Niederösterreich. Ja man darf behaupten, dass erst jetzt durch sein Werk eine gründliche Geschichte des Ordens möglich geworden sei, indem er zunächst durch das Dunkel der einzelnen Klosterstiftungen hindurch einen sichen Weg aufgefunden und diesen genugsam erhellt hat. Es brauchte arbeitsfrohen Muth, Opfersinn und Ausdauer in hohem Masse dazu, um vor den sich entgegenstemmenden Schwierigkeite nicht zum Voraus zurückzuschrecken und auf dem müh- und dornenvollen Wege nicht zu erlahmen.

Gleich in 1 der sehr lehrreichen Einleitung werden einzelne noch in verschiedenen neuern Darstellungen, z. B. in Ersch und Gruber und Herzogs Realencyklopädie vorkommende Mängel, besonders hinsichtlich der ersten Gründung des Orde und seiner Verfassung, gehoben. Hieran reiht der Verfasser dann eine summarische Darstellung der so grossartigen Wirksamkeit und Verbreitung des Ordens über Europa hinaus, ein nun nach Gegenstand, den Janauschek zwanzigjährigen Studien kennt wie kaum ein anderer. So weiss er mit verhältnissmässig wenigen sichern Federzügen die Ordensgeschichte von 1134-1342, von den Cistercern selbst als ihr goldenes Zeitalter bezeichnet, in ihren Hauptmomenten lichtvoll und z"gleich im Reize der Neuheit zu schildern. Besonders hat sich dabei die Thatsache herausgestellt, dass der Orden seine weiten Besitzungen nicht so fast eigentlichen Schenkungen als dem zu verdanken hat; bald nahm er, ausgerüstet mit dem Institu eigenen nie verdrossenen, mit Entsagung verschwisterten Fleisse der Conversen, auf seinen grossen Klosterhöfen (grangiae) in bundener Wirthschaft in Europa die erste Stelle ein. der Bodenkultur und in vielseitiger mit Gewerken aller Art verMit der Ueberhandnehmen der Mendikanten nahm freilich die Zahl der Konversbrüder wieder in empfindlicher Weise ab und es ka weiterhin die Zeit, WO der Reichthum seine erschlaffender Wirkungen übte. Bei der Besprechung des allmähligen Niedergangs findet man verschiedene, theilweise sonst weniger beachtete Ursachen nachgewiesen.

An diesen resultatreichen geschichtlichen Ueberblick reiht sich in § 2 der Schwerpunkt der Einleitung, die Besprechung der Quellen. Zu diesen gehören vorab die ältesten Berichte über die Entstehung des Ordens, unter welchen dem sogenannten Exordium parvum und Exordium magnum die erste Stelle gebührt. Dazu kommen die Statuten, deren neue Bearbeitung al: ein verdienstliches Unternehmen empfohlen wird; dann die Verzeichnisse der Abteien, geordnet nach dem Alter ihrer Entstehung und die Jahrbücher der einzelnen Gotteshäuser. Vor diesen Quellen haben nun gerade die Kataloge der Stiftungen durch den Verfasser eine solche durchgreifende Prüfung er fahren, dass eben hierin das erste grundlegende Hauptergebniss seiner Studien besteht. Denn eine der grössten Schwierigkeiten lag in der Ermittlung der Gründungszeit jeder einzelnen Able eine Untersuchung, die um so unerlässlicher war, als in ihr de Schlüssel liegt zum Verständniss der Ordensorganisation it Grossen und Ganzen, da die Subordination der einzelnen Abteies unter einander von ihrem Alter abhing, wodurch unter Beob achtung der Filiationen ihre Hierarchie ein genealogisches G

1877

e erhielt, deren Spitze in Citeaux lag. Dort wurden allich auf den Heiligenkreuzes-Tag im Herbst die Generalel gehalten und die den ganzen Orden bindenden Beschlüsse ist, wobei den Aebten Rang und Stimme je nach dem Alter Stifte zufiel.

tabelle der Abteien schliessen das in seiner Art in der Mona-
steriologie bis jetzt einzig dastehende Werk würdig ab. Möge
der zweite Band der Origines, der die Frauenklöster behandeln
wird, bald erscheinen können, und beide zusammen solch' gute
Aufnahme finden, dass sie dem beabsichtigten Monasticon Cis-
A. L.
terciense nach allen Seiten hin die Wege bahnen.
St. Gallische Geschichtsquellen. Neu herausgegeben durch
G. Meyer von Knonau. III. Ekkeharti (IV.) Casus
sancti Galli. Mit einem Plänchen. Haupttitel: Mittheilungen
zur vaterländischen Geschichte, herausg. vom histor. Ver-
ein in St. Gallen. Neue Folge, 5. und 6. Heft. Der ganzen
Folge XV. und XVI. St. Gallen, Verlag von Huber & Co.
(F. Fehr.) 1877. 12. XC, 487 Stn. gr. 8. Fr. 12.

Zur Bestimmung der Gründungszeit nun sind sonst die
Ingsurkunden massgebend; bei den Cistercern aber ent-
den Tag und Jahr, da in der neuen Stiftung der erste Abt
wölf Mönchen (conventus formatus) den regelmässigen Chor-
t an ihrem Orte feierlich eröffneten und sie mit diesem
sdienstlichen Akt ihr selbstständiges Ordensleben be-
en, mochte nun die Stiftung früher schon angefangen haben,
der Besitz später erst verbrieft worden sein. Begreiflich
dass man hierüber, eben wegen der damit zusammenhängen-
praktischen Wichtigkeit, im Orden genaue Verzeichnisse
Seit dem Erscheinen der 2. Abtheilung dieser Geschichts-
Es konnten aber, da in denselben nach der bei den quellen (1872) sind beinahe fünf Jahre verflossen; um so reich-
cern herrschenden Vorliebe zu symbolischen Namen (wie licher ist die nun endlich vorliegende Gabe ausgefallen, die ihrer
Coeli, Stella Maris u. drgl.) mehrere Orte mit demselben ganzen Natur nach sich nicht wohl trennen liess. Wer des
n erschienen, später doch über die Rangordnung Streitig-Verfassers Arbeit in den früher erschienenen Heften beobachtet
n und Unsicherheiten auftauchen; diess um so eher noch, hat, durfte für die Fortsetzung keine Fristen bestimmen und
bei der Bestimmung der Daten verschiedene Style für die wird bei der Prüfung dieses neuen Bandes sich vollends über-
sanfänge in Anwendung kamen. Der Orden, weil in Bur- zeugen, dass solche Leistungen, auch in den günstigen äussern
entstanden, bediente sich dort allerdings der burgundischen Verhältnissen, viel Zeit beanspruchen. Daran liegt übrigens
hnungsweise; aber wie hielt man es in den ausserhalb nichts; treten wir desshalb auf die Hauptsache ein. Im Allge-
und liegenden Klöstern? Wohl mochten hier nach dem meinen hat die Anlage dieser neuen Edition sich nicht ver-
iltniss der örtlichen und zeitlichen Entfernung vom Ur- ändert; der Text des Chronisten wird durch kritische Noten in
ge doch leicht manche Verwirrungen bei den Altersbe- allen Einzelheiten erörtert; einige besonders wichtige oder
ungen sich einschleichen. Und gerade diese letztere schwierige Fragen werden in Exkursen besprochen, das Werk
ierigkeit in der Reducirung der Daten muss ohne Zweifel als Ganzes in einer umfassenden Einleitung gewürdigt und die
Geschichtschreiber des Ordens noch fort und fort sich fühl- erheblichsten Diskussionspunkte im Inhaltsverzeichniss zusammen-
machen. Werden im Urkundenwesen der Cistercer alle gestellt, was entschieden zu loben ist und wohl noch weiter
Umstände und Verhältnisse berücksichtigt, so dürfte in hätte geführt werden können, wenn es nicht durch andere Er-
Inen Fällen mancher Anstand und mancher Verdacht auf wägungen verboten wäre. Dies Alles gehört zu den obliga-
ung leicht sich heben; und dass solcher Verdacht nicht torischen Aufgaben und braucht daher nicht weiter betont zu
ist, hat erst wieder ein Aufsatz in der Zeitschrift
der Zeitschrift werden; Schwierigkeit und Verdienst liegen in der richtigen
Vereins für Geschichte und Alterthum Schlesiens, 13. Anpassung der Behandlungsweise an den unterlegten Autor, den
S. 470 gezeigt. Janauschek hat nun bereits für die der Herausgeber schon leidlich kennen muss, bevor er dessen
onen des Ordens eine Menge Unrichtigkeiten beseitigt. Detailkritik unternimmt, um alle Hülfsmittel und Kunstgriffe
seinen Ergebnissen ist z. B. in der Tabelle der Mit-
wählen zu können, die derselbe erfordert. Der viel benutzte
ngen der antiquarischen Gesellschaft XVIII, 2, die aus S. und theilweise mit Recht berühmte Schriftsteller Ekkehart ge-
stammt, die Insula Pontiniana nicht als Tochter von Alta hört nun, wie eben diese Ausgabe erst erschöpfend beweist,
zu betrachten und anderseits unter die Töchter von Lützel zu den schwierigsten Objekten derartiger Forschung. Nicht
Loms crescens einzureihen.
bloss wird seine Feder von prinzipiellen Tendenzen geleitet,
Nach den Katalogen zieht Janauschek die Cistercienser die nur eine gründliche Kenntniss der Thatsachen zu entdecken
en in Betracht, hält hierauf über die bisherigen Geschichts- vermag; mit den allgemeinen Voraussetzungen und Absichten
ber des Ordens Rundschau und schliesst endlich den Ab- urtheile für oder gegen einzelne Personen und Einrichtungen,
kreuzen und verschlingen sich freiwillige und unfreiwillige Vor-
t mit der vollständigen Aufzählung aller seiner Hülfsmittel.
ringt nun allerdings, wenn auch nicht jeder, doch mancher Züge bewusster Willkür und die Folgen von unschuldiger oder
ringt nun allerdings, wenn auch nicht jeder, doch mancher selbst verschuldeter Unkenntniss, zu schweigen von dem Einfluss
ein Neues, was daher vom Verfasser noch nicht herbei-
en werden konnte, beispielweise Dürre's Beiträge zur Ge- Ergebniss solcher Faktoren mag noch so zeitgerecht, so glaub-
von Sagen oder künstlich gefristeten Ueberlieferungen. Das
e der Cistercienserabtei Amelungshorn. Sodann könnte
nst so reichhaltige und interessante Literaturverzeichniss würdig oder liebenswerth erscheinen, es muss eben doch mit
ergänzt werden durch Hinzufügung der bezüglichen bau- sicht auf die geltenden Meinungen und die Erfolge. Wie sich
allen Kriterien der Wissenschaft gemessen werden, ohne Rück-
chtlichen Werke von Rahn und Dohme; des Urkundio II., alles dies bei Ekkehart IV. verhält, wird hier theils in der Ein-
für S. Urban; ferner der ältern Werke: Delancy, His-leitung, theils in dem Kommentar etc. übersichtlich und im Ein-
Fusniacenis, 1671; Ecclaircissement des privilèges de
de Cisteaux, 1714, Streitschrift wider das ein Jahr vor
on Meschet erschienene und S. XXXIX von Janauschek
hnete Werk: Paris, Nomasticon Cisterciense, um andere
utende Schriften zu übergehen.

dritten Abschnitte der Einleitung werden diejenigen namhaft gemacht, die mit Unrecht dem Männerorden der zugeschrieben worden sind oder im strengen Sinne u ihm gehören, eine freilich nicht geringe Zahl; doch onstatirt, dass jenen immerhin noch die schöne Summe 2 Abteien angehörte, weitaus die meisten im 12. und 13. dert entstanden. Diese kommen nun im Einzelnen nach amensformen, ihrer geographischen Lage, Gründungsgee und ersten Aebten unter Angabe der Quellen in chronoer Reihenfolge zur Behandlung. Erschöpfende Register, nässige Zusammenstellungen und eine grosse Abstammungs

zelnen nachgewiesen und für die künftige Benutzung des Textes überall die nöthige Anleitung gegeben. Zugleich aber bringen die Noten ein überaus reichliches Material von geschichtlichen Daten jeder Art zusammen und bieten unzählige Winke zu Detailbestimmungen, was eine Besprechung der vorausgegangenen Hefte schon mit Beifall hervorheben musste. Die Vorzüge in dieser Richtung, die freilich nur für den Fachmann verständlich sind, haben sich mit der Schwierigkeit der Aufgabe gesteigert und lassen einstweilen nur den Wunsch übrig, dass in irgend welcher Form der positive Gewinn dieser ungeheuren kritischen Arbeit, soweit er geniessbar gemacht werden kann, auch weiteren Kreisen zugänglich werde, da wenigstens ein Theil des Stoffes dafür geeignet wäre. Ebenso wohl dürfte indessen ein anderer Wunsch berechtigt sein, dass charakteristische Partien in dem historischen Unterricht an Hochschulen die verdiente Beachtung finden möchten.

St.

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Ehkeharti (IV) Casus Sancti Galli. Neu herausg. durch Gerold | nicht bloss dem Forscher zum bequemen Nachschlagen auch in Meyer von Knonau. Mit einem Plänchen. St. Gallen 1877. Bezug auf die Quellen, sondern jedem Freunde des Vaterlandes Der beste Kenner St. Gallischer Geschichte unter unseren erwünscht sein, da sie ihm einen in unseren Tagen der „Geschweizerischen Geschichtsforschern, Professor Gerold Meyer von sinnungstüchtigkeit" immer seltener werdenden unbefangenen Knonau hat es unternommen, die wichtigsten St. Galler Geschichts- Rückblick in die Vergangenheit bietet, die unsere Lehrmeisterin quellen in den „Mittheilungen" des St. Galler Geschichtsforschen- sein soll, weil dort die Wurzeln unserer Kraft liegen; denn den Vereins neu herauszugeben. In zwei früheren Abtheilungen Republiken wie Reiche werden nur durch dieerschienen die vitae der Gründer des Stiftes, Gallus und Oth- selben Kräfte erhalten, durch welche sie gegrünmar, und die Klostergeschichte des Ratpert; nun kommt Ekkehard det worden, bei uns durch die langbewährte Treue IV an die Reihe. Wie Ekkehards Geschichtswerk durch Scheffels frommer Eidgenossen gegründet auf den Glauben Roman in den weitesten Kreisen des Publikums bekannt gewor- an den Gott ihrer Väter." den ist, so beschäftigte es auch seit einiger Zeit die Geschichtforscher in ganz besonderem Maasse, und es ist bis jetzt durch eine Reihe von Einzeluntersuchungen für die Kritik Ekkehards sehr viel gethan worden, so viel, dass die Arbeit des ersten Herausgebers von Ekkehards Werk (Jldefons v. Arx) nicht mehr genügte. Eine neue Edition, zumal eine solche, die das ganze Werk durchgehends mit dem nöthigen, kritischen Apparate versah, war daher dringend wünschbar, und diese Wünsche der Fachmänner hat Herr Professor Meyer von Knonau durch und durch in einer so meisterhaften Weise befriedigt, dass wir rückhaltlos unsere höchste Bewunderung dieser Arbeit zolien müssen - der Frucht, so viel wir wissen, langjähriger eingehenster Detailstudien. Man darf gewiss behaupten, dass selten eine Geschichtsquelle mit einem solchen Aufwand von Fleiss, Gelehrsamkeit, Scharfsinn und Sorgfalt, und zugleich in so hübscher, bequemer, Nichts, gar Nichts zu wünschen übrig lassender Form herausgegeben worden ist. Der Verfasser darf den Ruhm für sich in Anspruch nehmen, die Kritik Ekkehards zum Abschluss gebracht zu haben, indem er nicht nur alle bisher durch Andere gewonnenen Resultate sammelte und verarbeitete, sondern auch die Forschungen selbst weiter führte und neue Ergebnisse gewann. Nach welcher Richtung dieses Urtheil neigt, mögen die Vadian und Dümmler entlehnten Mottos veranschaulichen, welche auf die subjektive Färbung der Geschichte durch die Phantasie des Autors hindeuten. Wir möchten indess den Hauptwerth dieser Ausgabe Ekkehards weniger in der psychologischen Anatomie des Geschichtscheibers und damit der endgültigen Beurtheilung seines Werkes suchen, als vielmehr darin, dass diese Arbeit nach allen Seiten eine ausgezeichnete Fundgrube für die Geschichte jener von Ekkehard behandelten Epoche ist. Wie unendlich viele Belehrungen, Aufschlüsse und werthvolle Notizen über historische Ereignisse, Rechtsverhältnisse und Kulturgegenstände jener Zeit der kritische Apparat (Einleitung, Anmerkungen, Exkurse und Beilagen bietet, dies auch nur einigermassen anzudeuten, würde uns hier zu weit führen. Möge der Verfasser mit gleichem Glück und Erfolg die von ihm ferner noch in Aussicht genommenen Publikationen St. Gallischer Geschichtsquellen besorgen können, mögen ihm Kraft und Musse auch für andere Aufgaben und Fragen schweizerischer Geschichtsforschung, die noch auf ihn warten, nicht fehlen dann darf die schweizerische historische Wissenschaft stolz sein auf diesen ihren Hauptvertreter, der jetzt schon in so seltenem Maasse eine reiche Produktivität mit einer fast klassischen Akribie zu vereinigen vermag!

C. D.

Schweizergeschichte mit durchgängiger Quellenangabe und in genauer Zeitfolge, oder urkundliche Jahrbücher der Schweiz

von Dr. E. v. Muralt. Erste Lieferung. Schaffhausen, Verlag von Karl H. Mann. Fr. 1.

"

Ein Autor, der schon in verschiedenen Arbeiten sich bedenkliche methodische Blössen gegeben hat und dessen Hauptstudien sonst der byzantinischen Geschichte galten, unterfängt sich, eine urkundliche Schweizergeschichte zu liefern. In der Aufforderung zur Subskription bemerkt er über seinen Standpunkt Folgendes: Pragmatische Schweizergeschichten haben wir genug, in welchen der Zusammenhang oder die Auswahl durch den jeweiligen Parteistandpunkt bestimmt ist. Allein es giebt auch eine objektive Pragmatik in dem chronologischen Zusammenhang, der die Erfolge aus den vorangegangenen Ereignissen erklärt. Eine solche streng chronologische aber zugleich dokumentirte Darstellung unserer vaterländischen Geschichte muss

Also keine Parteilichkeit und doch Parteistandpunkt! denn nach unserem Gefühl und unserer Ansicht wollen die letzten Worte einfach besagen: Moderne Auffassungen der Schweizergeschichte giebt es genug, wir wollen jetzt einmal eine altväterische geben! Ob diese Tendenz eine „objektive Pragmatik" heissen kann und eine dokumentirte Darstellung" ermöglicht, dies sich zu beantworten überlasse ich dem Leser dieses Blattes; diese erste Lieferung befasst sich zu sehr bloss mit archäologisch-ethnologischen Fragen, als dass hier schon der Standpunkt der Treue frommer Eidgenossen gegründet auf den Glauben an den Gott ihrer Väter zur Geltung kommen könnte. Wohl aber eröffnet uns diese erste Lieferung einen Einblick in die Art und Weise, wie der Verfasser seinen Stoff gruppirt und wissenschaftlich verarbeitet. Wenn wir lesen: Erster Zeitraum: Steinzeit. 1. Die Höhlenbewohner vor dem Diluvium. 2. Pfahlbauer nach dem Diluvium etc. Zweiter Zeitraum: 3. Ehernes Zeitalter in's eiserne übergehend. 4. Etruskische Ansiedlungen und Steinkammern der Kelten ohne Eisen um 225. 5. Münzen der Keltiberer, Gallier und Germanen bis 144. 6. Gruben mit nach Westen ausschauenden Gerippen ohne Eisen. 7. Gerippe mit Steinen bedeckt oder mit Steinumzäunung und mit einzelnen Eisensachen 8. Grabhügel im Osten, Grabhöhlen im Westen mit Erz und Eisen etc., dann: Dritter Zeitraum: Gebrauch der einheimischen. Waffen gegen die Römer etc. etc. so wird der Nicht-Fachmann zurückschrecken vor einer so gelehrten archäologischen Behandlungsweise der Schweizer geschichte", der Gelehrte aber sich lustig machen über diesen tändelnden AlterthümerDilettantismus, der die Archäologie nach so alterthünlichen" Gesichtspunkten behandelt. Im Einzelnen erhalten wir durchaus werthlose, meist unverständige Zusammen stellungen aller Fundorte und Fundgegenstände der keltisch-römischen Zeit in ganz abstrusem Wirrwarr viele Namenserklärungen, auf die sich ethnographischSchlüsse aufbauen, sind veraltet und unbrauchbar, die klaren, so einfachen und sicheren Resultate der nüchterne Forschung unseres Dr. Ferdinand Keller nicht recht verwerthet; das Quellenbuch zur Schweizergeschichte von Gisi ist natürlich für Herrn v. Muralt nicht geschrieben. Eigenthümlicher Weise fehlt auch in dieser Lieferung gerade der chronologische Zusammenhang, der die Erfolge aus den vorangegangenen Ereignissen erklärt (den der Verfasser ja nachzuweisen verspricht); denn der Verfasser fällt aus dem Stein- und Bronzezeitalter gleich auf die Tiguriner und Divico. ohne dass wir von dem Schwinden des früheren Zustandes oder von dem chronologischen und ethnographischen Verhältniss dieser helvetischen Zeit zu den früheren Perioden etwas erörtert hören.

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Alles in Allem halten wir das Unternehmen, so wie es in Angriff genommen, für durchaus verfehlt. Dass e Versuch unter dem Titel urkundlicher oder kritische Jahrbücher der Schweiz wirklich ein Bedürfniss sei, wolle wir damit nicht läugnen im Gegentheil, wir würden e solches für sehr verdienstlich halten. Ein solches Werk av müsste sich von den gleichen oder wenigstens ähnlichen Grand sätzen leiten lassen, wie die Jahrbücher der deutschen Geschichte", welche die historische Kommission in München herau giebt, und müsste von solchen Männern ausgeführt werd deren Namen schon für die Tüchtigkeit garantiren, wie G. Wyss und Meyer v. Knonau. Oder es wäre auch die Fortführu von Gisis Quellenbuch" sehr wünschbar.

C. D.

me

Geographische Vertheilung der landwirthschaftlichen Bevölker- | gearbeitet. Für Fabrikgebäude sind stark gezeichnete (hier ung und der wichtigsten Fabriketablissements im Kanton roth gedruckte) Figuren gewählt, die sich von dem UnterZürich, nach der Zählung vom 1. Dez. 1870. Entworfen grund sehr deutlich abheben; dieser selbst gliedert sich in 9 von C. R. Müller, Chef des statist. Bureau. Grade, und zwar auf dem ersten Blatt von 0-90%, auf dem Geographische Vertheilung der Seidenindustrie, der 2. von 0-40% (je um 5% steigend); die Schraffur, chanischen Seidenzwirnereien, Windereien, Seidenwebereien, welche theils in ungleicher Stärke der Striche, theils in wechselnKattundruckereien, Seiden- und Baumwollfärbereien und Baumwollfärbereien im der Richtung auftritt, vereinigt sich mit einem höchst angenehmen Kt. Zürich, etc. wie oben. gr. Fol. 1877. Verlag von Ton (Grau-Sepia) zu einem entschieden zweckmässigen kartoWurster & Co., Zürich und Winterthur. graphischen Typus, der sich für mancherlei Bedürfnisse bewähren Nachdem s. Z. in diesen Blättern die erste umfassende und Gemeinde die nach den statistischen Zahlen ihr zukommende wird. Auf unsern zwei Karten erhält nun je de politische genaue Berufs-Statistik des Kantons Zürich besprochen worden, erscheint es als Pflicht, auch auf die weitere Entwick- Schraffirung (sofern solche überhaupt nöthig wird), so dass sich lung der diesfälligen Arbeiten hinzuweisen. Seit Beginn seiner schon nach dem Bilde, ohne die Tabellen, mit grösster LeichtigStudien auf diesem Gebiete hegte der Verfasser jener Statistik keit jede gewünschte Zusammenstellung machen lässt; zum Ueberden Plan, die Resultate derselben auch kartographisch darzu-luss- oder zur Erleichterung für weniger geübte Kartenleser stellen. Die Ausführung hatte aber mit Schwierigkeiten zu sind so häufig als möglich mit Rothdruck die dargestellten Prokämpfen, die man nur anzudeuten braucht, um sie begreiflich zentzahlen eingetragen. Das Gesammtbild ist so klar und gezu machen. Es musste zunächst eine Normalkarte des zu illufällig, dass Jedermann ohne Kommentar sich hineinlesen und je strirenden Gebiets geschaffen werden, um für derartige Arbeiten, deren eine Reihe in Aussicht genommen ist, eine gleichbleibende allgemeine Grundlage zu haben. Nachdem diese gesichert war, musste ein passendes System der Darstellungsmittel festgesetzt werden, zumal die Oekonomie gebot, auf den ersten Blättern so viel möglich zusammenzufassen. Der Statistiker und der Kartograph haben endlich mit vereinten Kräften auch diese grössere Aufgabe gelöst und für weitere Unternehmungen glücklich vor

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tenu à Genève du 28 Septembre au 1er Octobre 1876. 447 p. in-8. Genève, H. Georg. 5.Adressbuch der Stadt Basel. 1877. 8. Basel, Schwabe. 6.

pour

Now"

Alissoff, Pierre, Quelques mots sur le roman
de J. Tourgueneff (en russe) 15 p. in-8. H.
Georg à Genève.
. 30
Annuaire officiel du canton de Vaud l'année
1877. 318 und 24 p. 8. Lausanne, impr.
Pache.
Archives des Sciences physiques et naturelles.
Nouvelle période, tome LVIII. Nr. 232. 15.
Avr. 1877. H. Georg, Bâle et Genève, par an
20.

Contenu: Marc Micheli, Revue des principales publications de physiologie végétale en 1876 (suite et fin) Prof. F. Wilh. Zahn, Note sur l'infiltration pigmentoire du Raoul Pictet, Discussion des théories de la vision à propos de la guérison d'un aveugle né. - Dr. Herm. Fol, Sur le commencement de l'hénogénie chez

cartilage

-

divers animaux.

Baedeker, K., Switzerland a. the adjacent portions
of Italy, Savoy, a. the Tyrol. Handbook for
travellers. 7. Ed. 8. Leipzig, Bädeker, geb.
8. 75
Bally, E., l'industrie dans les Etats-unis de
l'Amérique du nord. Gard à vous! Adressé aux
industriels suisses à propos de l'exposition uni-
vers, de Philadelphie. gr. 8. Neuchâtel, Sandoz.
80

Behr, F., Op. 350. Zwei Idyllen. Zürich, P.
Fries. Nr. 1 Sonntagmorgen am Wildkirchli.
1. 60
Nr. 2 Am Rheinfall.
2.
Berchtold, J. A., la prière du Seigneur ou le notre
père. 8. Neuchâtel, Sandoz.
Besançon, C., Georgette. Nouvelle. 8. Neuchâtel,
Sandoz,

1.

2. deutschen Hrsg. von Die StretFrauenfeld, 6.

Bibliothek älterer Schriftwerke der
Schweiz und ihres Grenzgebietes.
J. Bächtold und F. Vetter. I. Bd.:
linger Chronik. 85 und 202 S. 8.
J. Huber.
Bibliothèque pour Tous. 4ème année. 24 Nr. Livr.
11-15. Bern, B. F. Haller.

Contenu : Le veau d'or (fin) p. Sacher-Masoch. Un secret terrible (suite). Fonctionnaires et Boyards, p. Muller.Illustrations: Matinal. Le bienvenu. Les ennemis de la science. Paysage d'été. La droite ou la gauche ?

nach dem leitenden Interesse seine Schlüsse selbständig bilden kann. Ein solcher Fortschritt der Statistik, die Uebersetzung haft zu begrüssen und dabei die Hoffnung auszusprechen, dass der Zahlen in ein fassliches, beinahe selbstredendes Bild, ist lebsie in dieser Gestalt beliebter und wirksamer werde, als sie es

bisher sein konnte. Den Bearbeitern endlich ist zu ihrem Er

folge Glück zu wünschen und für ihre sonst unbelohnte Mühe aufrichtiger Dank zu bezeugen.

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Compte général de l'administration des finances du
canton de Vaud rendu pour l'année comptable
1876. 21 p. Fol. Lausanne, impr. J. Jaquenod.
Cramer, G., les Miracles et le Christianisme. Con-
férence tenue dans la salle de la Réformation
le 25 mars 1877. 31 pages in-8. Genève, H.
Georg.
-. 60
Daguet, A., Romain Werro, chancelier et conseiller
d'état de la république Fribourgeoise (1796-
1876). 20 p. 8. Fribourg, Galley.
Eichheim, Max. Die Kämpfe der Helvetier und
Sueben gegen C. J. Cäsar. Eine kritische Stu-
die. 99 S. 8. Neuburg, A. Prechter. 1. 80
Eidgenossenschaft. Sammlung von Jahresberichten
schweiz. Konsulate. Sign. 7 bis 9. 8. Bun-
desbl. 1877 Nr. 23-27.

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St.

Contenu: Un proverbe anglais. Les faux-cils.
Avis aux mamans. Consommation de remèdes secrets.
Ervum lens. Un conseil aux chambres de charité.
Fondation Rothschild. Hôpital ophthalmique à Genève.
Rapport p. 1876. 20 p. 8. Genève, impr.
Ramboz et Schuchardt.

Fontaine-Borgel. Relation historique sur les cultes
à Versoix dès les anciens temps à nos jours.
54 p. in-8. Genève, H. Georg.
1. 20

C., Nouvelle description historique et monu-
mentale de l'Hôtel de ville de la république et
canton de Genève. 20 Edit. 48 p. in-8. Genève,
H. Georg.
1.

Frei, J., lateinische Schulgrammatik. 5. Aufl. 1. Thl.
6 und 116 S. gr. 8. Zürich, S. Höhr. 1.50
Gaberel de Rossillon, J., Alma Mater. Rome et
la civilisation chrétienne. 8. Neuchâtel, Sandoz,
3.
Galiffe, J. B. G., d'un siècle à l'autre. Correspon-
dances inédites entre gens connus et inconnus
du XVIII. et du XIX. siècle. 1. part. gr. 8.
Neuchâtel, Sandoz.
7.

Gavard, Alex., L'éducation à l'école. 152 pages
in-12. Genève, H. Georg.
2.
Gerster, J. S., Atlas historique de la Suisse. gr. 4.
Neuchâtel, Sandoz.

3.

3.

Geschäfts- und Familienbriefsteller, allgem. schweiz.,
1. Heft. 8. Zürich, Zollinger & Thiele. 1.-
Gisements, les bitumineux du canton de Genève.
gr. 4. Neuchâtel, Sandoz.
Godet, F., Commentaire sur l'évangile de St. Jean.
T. III. 2. édit. gr. 8. Neuchâtel, Sandoz. 10.
Gradmann, A., Beiträge zur Synthese organischer
Verbindungen. Inaugural-Dissertation vorgelegt
der philos. Facultät Zürich. 56 S. 8. Statt-
gart, Druck von J. Kreuzer.

Grenier, E., Helvétia. Hymne à la Suisse. 8.
Neuchâtel, Sandoz.

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Imfeld, H., Alpenpanorama vom Pilatus (Tomlishorn.)
Luzern, C. F. Prell, fol.
6.-
Jury-Berichte an den hoh. Bundesrath der schweiz.
Eidgenossenschaft über die Weltausstellung in
Philadelphia 1876, hrsg. von den Mitgliedern der
internation. Jury. Winterthur, J. Westfehling.
1. Heft: A. Göldy, Stickerei-Industrie. 15 S. 8.

65

2. Heft: Baumwollindustrie 48 S. 8. 3. Heft: Maschinen-Industrie 47 S. 8.

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