Analectes du bibiophile: recueil trimestriel contenant: 1 ̊Diverses pièces curieuses anciennes et modernes; --2 ̊Des analyses critiques et des extraits de diverses publications intéressantes anciennes et modernes;--3 ̊Une correspondance, des mélanges philosophiques et littéraires, des anecdotes, etc., etc |
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Alphonse Karr amant amour Analectes assez avoit baiser beau beauté belle bibliophiles boucs c'étoit Casterman charme Charroux cher chercher chèvres chose cœur colique contes coucher Courier crut d'amour d'autres dames Daph Daphnis et Chloé Dieu dit-elle donner Dorcon enfant êtes étoit faisoit fée Rancune fée Rusée femme fille fils François Colletet Gnathon Grand-Instituteur Guillaume Colletet homme Ignace Instituteur j'ai jésuites Jésus jeune jour l'auteur l'avoit Lamon lettres livre Longus Lycenion Madame main Marie ment mieux monde Monsieur mort Myrtale n'en ouvrage pages parler paroles passer Patagons Paul-Louis Courier Peignot pense père personne petit petite plaisir portraits poursuivit premier prince Discret prince Potiron princesse Tricolore prit qu'un raison réimpression réimprimer reine repartit Potiron répliqua répondit reprit le prince rien roman s'écria saint Saint Prépuce sais savez Seigneur sera seroit seule soir solitude tion traduction Trico trouve vais veux Vierge voici voilà Voisenon volume Zimmermann
Popular passages
Page xxii - Il faut être ignorant comme un maître d'école Pour se flatter de dire une seule parole Que personne ici-bas n'ait pu dire avant vous. C'est imiter quelqu'un que de planter des choux.
Page 141 - II me promène après de terrasse en terrasse ; Ici s'offre un perron ; là règne un corridor ; Là ce balcon s'enferme en un balustre d'or. Il compte des plafonds les ronds et les ovales ; " Ce ne sont que festons, ce ne sont qu'astragales.
Page 133 - Recherches historiques sur la personne de JésusChrist, sur celle de Marie, sur les deux généalogies du Sauveur et sur sa famille avec des notes philologiques, des tableaux synoptiques et une ample table des matières par un ancien Bibliothécaire. Dijon, Victor l.agier, 1829, in-8°. (7 fr-)[Rés. H. 8417 PEIGNOT (Gab.). — Répertoire de bibliographies spéciales, curieuses...
Page 79 - Marie au milieu, qui me dit que je m'y couchis, que rien ne doutis. Le bon Dieu est mon père , la bonne Vierge est ma mère , les trois apôtres sont mes frères, les trois vierges sont mes sœurs. La chemise où Dieu fut né, mon corps en est enveloppé; la croix Sainte-Marguerite à ma poitrine est écrite; madame la Vierge s'en va sur les champs, Dieu pleurant, rencontrit M.
Page 58 - et de rien ne nous a servi ; nous nous sommes « l'un l'autre accolés, et rien ne nous en est « amendé. Il faut donc dire que coucher ensemble « est le vrai remède d'amour ; il le faut donc essayer aussi. Car pour sûr il y doit avoir quelque chose plus qu'au baiser. » Après semblables pensers , leurs songes , ainsi qu'on peut croire , furent d'amour et de baisers , et ce qu'ils n'avaient point fait le jour, ils le faisaient lors en songeant, couchés nue à nu. Dès le fin matin donc, ils...
Page 168 - Œuvres de Rabelais, précédées de sa biographie et d'une dissertation sur la prononciation du français au xvi?
Page 53 - Daphnis (car si fallait-il qu'il connût aussi la détresse d'amour) prit querelle avec Dorcon. Ils contestaient de leur beauté devant Chloé, qui les jugea, et un baiser de Chloé fut le prix destiné au vainqueur; là où Dorcon le premier parla : « Moi, dit-il, je suis plus grand que lui. Je garde les bœufs, lui les chèvres ; or autant les bœufs valent mieux que les chèvres, d'autant vaut mieux le bouvier que le chevrier. Je suis blanc comme le lait, blond comme gerbe à la moisson, frais...
Page 63 - Daphnis, ne se doutant de rien, se leva incontinent, prit sa houlette en sa main, et s'en fut avec Lycenion. Elle le mena loin de Chloé, dans le plus épais du bois, près d'une fontaine, où ayant fait seoir : « Tu aimes, lui dit-elle, Daphnis, tu aimes la Chloé.
Page 54 - renard, blanc comme une fille de la ville, et le « voilà tantôt barbu comme un bouc. Si c'est moi « que tu baises, Chloé, tu baiseras ma bouche; si « c'est lui, tu baiseras ces poils qui lui viennent « aux lèvres. Qu'il te souvienne, pastourelle, qu'à « toi aussi une brebis t'a donné son lait , et cepen
Page 55 - Chloé, puis tout à coup une rougeur lui couvrait le visage/ Pour la première fois alors il admira le blond de ses cheveux, la douceur de ses yeux et la fraîcheur d'un teint plus blanc que la jonchée du lait de ses brebis. On eût dit que de cette heure il commençait à voir, et qu'il avait été aveugle jusque-là.