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que », lisez: « Le texte de 1682 même n'a pas le second que; mais la plupart des textes qui d'ordinaire en dérivent, ceux de 1697, 1710, 1718, 1733, et de même celui de 1734, répètent la conjonction ».

Page 54. Fin de la note de la page précédente. Il eût fallu dire que Marie Ragueneau avait, d'après Jal, trente-trois ans à son mariage, près de vingt et un lors de la première représentation des Précieuses: il paraît donc certain qu'elle fut chargée du petit rôle de Marotte. C'était sa mère qui était préposée aux recettes voyez au Moliériste de septembre 1886, p. 177, 2a alinéa, un article de M. Monval.

Page 54. Note 3, fin. Ajoutez, pour la mise en scène des Précieuses ridicules, un renvoi à la page 116 du volume (du même tome II), note 4.

Page 74. Note 1, ligne 6, après le renvoi fait à l'épître de Somaize, ajoutez un renvoi à la scène v de l'acte II du Malade imaginaire, où Thomas Diafoirus, prenant d'abord Angélique pour Béline, l'appelle Madame, puis, averti de sa méprise, constamment Mademoiselle. —A la fin de la note, ajoutez encore un renvoi au tome V, p. 308, note 2, et au tome VII, p. 143, note 2.

Page 104. Note 1. Ajoutez un renvoi à un passage des Ragguagli del Parnasso de Boccalini et à une note de Bayle cités au Moliériste d'octobre 1883, p. 204.

Page 105.-Note 2. Ajoutez : « Cascaret est aussi un nom de valet dans l'Impromptu de l'Hôtel de Condé et quelques autres pièces. Le mot a encore dans le Midi, d'après M. Larchey et M. Baluffe, la signification d'homme facétieux, badin, railleur; il paraît avoir pris dans le Nord, d'après le Complément du Dictionnaire de l'Académie (1845) et le Dictionnaire de Littré, celle d'homme chétif, de peu d'apparence, sans consistance. « Terme de mépris », dit seulement La Curne de Sainte-Palaye. »

Page 139. A la fin de la note continuée de la page 138, ajoutez un renvoi à la page 121 de la Notice bibliographique, dernière partie de l'avant-dernier alinéa, où il est dit que, dans un opuscule de 1660, la Cocue imaginaire semble avoir été attribuée à Somaize.

Page 141. A la note I substituez ceci : « Huon de Bordeaux, donné pour la première fois le 5 août 1660, était de Gilbert. » Voyez plus loin une Correction à la note 4 de la page 334 du même tome II.

Page 142. Ligne 3 du 2a alinéa, aux mots : trompé ». Ajoutez en note: « A la fin du règne de pièce fut jouée sous le titre des Fausses alarmes p. 552, fin du 1o alinéa. »

Ibidem.

«le Mari qui se croit Louis XIV même, la voyez notre tome I,

Note 2, ligne 9, aux mots : « réduisant trois actes en un seul ». Ajoutez un renvoi à la note 4 de la page 179 du volume (du même tome II), et voyez ci-contre, p. 285, une Addition à cette note.

Page 143. A la suite des distributions de Sganarelle données là, ajoutez un renvoi au Moliériste de septembre 1885, p. 191, où se trouve la distribution de 1885, et la constatation que la comédie se joue en trois

actes.

Page 144. Ligne 5, aux mots : « Un écu », ajoutez, entre parenthèses « un bouclier, pour achever d'armer Sganarelle de toutes pièces à la

scène XXI ».

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Note 1, ligne avant-dernière. Au lieu de « Mabelot »,

lisez : « Mahelot ». (Cette faute ne se trouve pas dans tous les exemplaires.)

Pages 147-153. Voyez, sur ce passage de la Notice de Despois, plus haut, la page 4 de la Notice bibliographique. La publication faite en 1876 des Nouvelles pièces sur Molière qui ont été réunies par M. Émile Campardon nous a appris : 1o que Molière n'avait pas tardé à faire emploi de son privilège de mai 1660; 2° que le Conseil donna absolument gain de cause au poète par un arrêt de novembre de la même année.

Page 155. — Sommaire du Cocu imaginaire par Voltaire, 1o alinéa, ligne 5, au mot : « perfectionna», ajoutez en note cette variante des deux éditions de 1739 : « ...... perfectionna beaucoup ».

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Même page. Même sommaire, dernière ligne du re alinéa, aux · mots : « des termes que la politesse a bannis », ajoutez en note cette variante des deux éditions de 1739 : « ..... des termes qu'une délicatesse peut-être outrée a bannis.... »

--

Page 160. — Note 6 à la liste des Acteurs de Sganarelle. Ajoutez, sur la mise en scène et le détail des accessoires, un renvoi à la page 144 du volume (du même tome II), 2a alinéa.

Page 162. Note 2. Le passage cité de J. Hindret ne se trouve que dans la seconde édition de son livre; elle est de 1696 (Achevé du 17 mai): Paris, Laurent d'Houry; 2 volumes in-12 d'une seule pagination; le titre en a été refait en 1710.

Page 170. Au vers 94. Ajoutez en note : « Hors de temps, hors de saison, mal à propos, « est un italianisme: fuor di tempo, » dit Auger au vers 340 de la Princesse d'Élide, où cette locution revient. Racine, dans une de ses notes (tome VI, p. 298), a dit : « Ne faire rien hors de son temps. »

Page 173.

- Vers 136: Artémone se plaint de même dans la scène II de l'acte V de l'Asinaire de Plaute (vers 851) :

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Fundum alienum arat, incultum familiarem deserit.

<< Il va cultiver le champ qui n'est pas à lui, et laisse le sien en friche. »> On a rapproché du vers de Plaute un distique des Sentences de Théognis (vers 581 et 582), dont voici la traduction par Patin (Annuaire de l'Association pour l'encouragement des études grecques en France, tome XI 1877, p. 238): « Je hais la femme vagabonde, et l'homme audacieux qui veut labourer le champ d'autrui. »

Page 174. Note 1. Ajoutez: « Dans son édition de Sganarelle (Leipzig, 18851, p. 28), M. le docteur Wilhelm Knörich se demande si (comme cela a encore lieu pour grand et avait lieu, dans certaines locutions, pour royal, venant l'un et l'autre d'adjectifs latins qui ont même terminaison au masculin et au féminin) ce n'est pas conformément à l'ancien usage que tel ici, et quel dans un vers des Grisettes de Champmeslé (1671)3, n'ont pas pris la forme féminine. »>

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Note 4. Après le renvoi à la Notice, ajoutez : « De nos

1. Voyez plus haut, p. 97 de la Notice bibliographique, no 51 des Recueils. 2. Scène Ix; tome II, p. 8o des Contemporains de Molière de M. Victor Fournel : Hélas, mon cher amant, quel sera ta colère...?

jours encore Sganarelle est joué en trois actes à la Comédie-Française : voyez le Moliériste de septembre 1885, p. 191. »

Page 219. Ligne 12. Au lieu de « la Grange et Vinot », lisez : « la Grange et Vivot ». Voyez, plus haut, p. 72-74 de la Notice bibliographique.

Page 223.
Fin du 5° alinéa. Ajoutez un renvoi à la page 436 du
volume (du même tome II), où se lit une Addition à la Notice de Dom
Garcie: Dom Garcie en 1871.

Page 228.

Lignes 4 et 5 du 2a alinéa. Au lieu de : « Villiers, l'auteur probable des Nouvelles nouvelles », lisez : « Donneau de Visé, l'auteur des Nouvelles nouvelles ». Même page, au renvoi fait dans la note 1,

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substituez un renvoi au tome III, p. 112, note 1.

Page 294. Note 1, lignes 2 et 3 (citation de Montaigne). Au lieu de : « ce sont été », lisez : « ce ont été ».

lisez :

Page 334. - Note 2, lignes 1 et 2. Au lieu de : « Nous ne savons quel était l'auteur de cette pièce, non plus que d'Huon de Bordeaux », « L'auteur du Tyran d'Égypte et de Huon de Bordeaux était Gilbert; la première de ces pièces avait été donnée d'abord le 25 février 1661, et la seconde le 5 août 1660: voyez le Registre de la Grange à ces dates, p. 30 et 23. »>

Page 340. Note 3. Ajoutez: « La nouvelle de Boccace a été abrégée dans l'une de celles qu'on attribua en 1568 à Bonaventure des Périers (la cxiv dans l'édition des OEuvres françoises de Bonaventure des Périers donnée par M. Louis Lacour, chez P. Jannet, 1856, in-16, tome II, p. 355-357), mais qui dès 1566 se lisait, contée presque absolument dans les mêmes termes, au chapitre xv de l'Apologie pour Hérodote d'Henri Estienne (tome I, p. 280 et 281 de l'édition donnée par M. Ristelhuber chez Isidore Liseux, 1879, in-8°). »

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Page 350. Note 1. A la suite du renvoi fait à la Notice de Sganarelle (même tome II, p. 147 et suivantes), ajoutez un renvoi à la Notice des Précieuses ridicules, même tome II, p. 42 et 43, et à la Notice bibliographique, plus haut, p. 2, 2a alinéa, et p. 4, 2a alinéa.

Page 352 (sommaire de l'École des maris par Voltaire). Troisième alinéa, 6° ligne, aux mots : « deux vieillards de différente humeur », ajoutez en note cette variante des deux éditions de 1739 : « deux vieillards de différentes humeurs ».

Page 361. Note 4, fin de la 1r partie (ligne 17). Ajoutez: « Tout à fait analogue aussi est la comparaison que fait Pierrot des canons avec des entonnoirs voyez, à la scène i de l'acte II de Dom Juan, tome V, p. 108 et note 9. »

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Page 362.
Au vers 46. Ajoutez en note : « Voyez, tome Ier, p. 10 du
Lexique du Corneille, le passage de la Préface de Vaugelas (§ x1) que
M. Marty-Laveaux a rapproché de ce couplet d'Ariste. »

Page 363 (texte de Molière).

Au vers 69 (acte Ier, scène 1) de l'École des maris, au lieu de : « Un beau pourpoint bien long...",

lisez :

« Un bon pourpoint bien long.... >>

0

IN

Page 418.

Note 3. L'explication, rapportée là, qu'a donnée Auger du vers 886 de l'École des maris, était la bonne : « Je ne voudrais pas, pour vingt bons écus, que la chose fût autrement >> P. 162, note 1.

Page 431.

: voyez tome V,

Note 2, sur le sens de la locution pour l'amour de. Ajoutez

un renvoi au tome V, p. 148, note a.

TOME III

Page 6. Fin du 1 alinéa. Ajoutez, sur la musique des divertissements mêlés à la comédie des Fácheux, un renvoi au tome IV, p. 229, note 5, et à la Notice bibliographique, plus haut p. 7 et 8. Il y est dit que cette musique, conservée dans un manuscrit de Philidor, est de Beauchamp, sauf la courante que Molière-Lysandre chantait et dansait à la scène in de l'acte I, et qu'il avait demandée à Lulli.

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Page 8. Fin de la note. « L'épître à M. d'Elbène..., si elle a paru avant les Précieuses ridicules.... » Cette épître a été écrite postérieurement à l'impression de la comédie, achevée le 29 janvier 1660, car elle contient une allusion aux noces du Roi, et celles-ci furent célébrées le 9 juin de la même année 1660. Scarron mourut le 14 juin suivant.

Page 16. Fin de la note 3 de la page 15, note continuée à la page 16. Ajoutez un renvoi au tome IV, p. 229, note 4, où il est constaté que Molière s'était plu parfois à représenter jusqu'à cinq de ses Fâcheux.

Page 23. Ajoutez, à la suite du re alinéa, que des Arguments des trois actes de la comédie-ballet des Fácheux, empruntés vraisemblablement à un livret-programme qui fut préparé par l'ordre de Molière pour les premières représentations, sont reproduits, d'après une vieille copie de la Bibliothèque nationale, aux pages 8-10 de la Notice bibliographique.

Page 24 (sommaire des Fácheux par Voltaire). Ligne 8, aux mots : « comme le prétend Grimarest », ajoutez cette variante des deux éditions de 1739 « comme le prétend un certain Grimarest ».

Page 25 (même sommaire). Ligne 14, aux mots : « (Cette pièce le fit connaître...) de la cour et du Roi ». Ajoutez en note: « Tel est le texte de l'édition de Kehl (1785, tome XLVII) et de l'édition Beuchot; toutes les anciennes (1739 Paris et 1739 Amsterdam, 1764 et sa copie 1772), que nous aurions plutôt dû suivre, ont : « (Cette pièce le fit connaître...) de la Cour et du Maître. »

Page 31. Fin de la note 1 au Prologue des Fácheux. Ajoutez un renvoi à la page 123, 2de partie du 4° alinéa, de la Notice bibliographique, où est mentionnée l'insertion que fit la Fontaine du Prologue de Pellisson dans son Recueil de poésies diverses publié en 1671.

Page 50. Note 3. Ajoutez, sur la courante, que chantait et dansait Molière et qui était de Lulli même, et sur le dernier couplet de Lysandre

(vers 205-208, acte I, scène in des Fácheux), un renvoi au tome IV, p. 229, note 5, et à la Notice bibliographique, plus haut, p. 8, 3o alinéa. Un fac-similé de la page où a été transcrit, de la main de Philidor, l'air de Lulli, sera donné dans l'Album.

Page 60.

Au vers 331 (des Fácheux), ajoutez en note : « Voyez au vers 1217 du Misanthrope un même emploi de la locution faire raison de... dans le sens d'expliquer, faire comprendre. »

Page 62.

Note 3, ligne 1. Au lieu de : « Un valet comme Masca

rille », lisez : « Un valet comme la Montagne. »

Page 66.

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et

Ligne des notes. Au lieu de « Villiers lisez « Visé », - même page, substituez à la note a un renvoi à la page 112, note 1, du volume (du même tome III).

Page 74.

Ajoutez à la note 6 : « Le défaut d'élision se justifiait par le même motif que l'hiatus du vers 514. »

Page III.

chose ».

Ligne 4, après les mots : « En public, pour la même Ajoutez un renvoi à la Notice biographique, p. 272, note 1. Page 117. Ligne 4, aux mots : « n'appartient pas à Scarron ». Ajoutez en note : « La Précaution inutile est traduite de la quatrième des Nouvelles de doña Maria de Zayas y Sotomajor: voyez la Notice bibliographique, p. 126, 4° alinéa. »

Page 119. Note 2, lignes 1-3. Remplacez la citation de la Martinière par la Remarque suivante, d'information plus sûre, que Brossette a mise au-devant des Stances à Molière, et qui se lit au tome I, p. 433, des OEuvres de M. Boileau Despréaux avec des éclaircissements historiques donnés par lui-même (Genève, 1716, 2 volumes in-4°): « M. Despréaux lui envoya ces vers le premier jour de l'année 1663. »

Pages 122-125. Sur l'outrage fait à Molière dont il est question là, voyez la Notice biographique, p. 288-290.

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Page 132. Ligne 3, aux mots : « Nous n'y voyons rien d'impossible». Ajoutez (sur la première représentation du Portrait du Peintre) un renvoi à la Notice biographique, p. 281-285, et à la Notice bibliographique, P. 129, 1 alinéa.

-

lisez :

Page 139. Lignes 12 et 13. Au lieu de : « le 14 octobre », << laquelle (première représentation de l'Impromptu de Versailles) fut donnée au plus tôt le 16 octobre, au plus tard le 21, et probablement le 19 ». Voyez plus loin, p. 290, la rectification concernant la page 371 du même tome III.

Page 140. Ligne 14 (date d'une représentation, donnée à l'hôtel de Condé, de la Critique de l'École des femmes et de l'Impromptu de Versailles). Au lieu de « le 11 novembre 1663 », lisez : « le 11 décembre 1663 », et ajoutez un renvoi à la page 296 de la Notice biographique. Page 150. Note 1, après la ligne 2. comédiens le nom de Molière.

Ajoutez en tête de la liste des

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Page 151 (Notice de l'École des Femmes). Avant le dernier alinéa. Ajoutez: « Le 7° de ce mois, lit-on aux pages 161 et 162 du Mercure de France de janvier 1726, les... Comédiens (Français) représentèrent la comédie de l'École des femmes.... Ce qu'il y avoit de plus intéressant dans la représentation de cette pièce, c'est que le sieur Baron y jouoit le rôle d'Arnolfe. >>

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