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Page 95.—2 alinéa, ligne 2. Au lieu de : « le 11 mai 1659 », lisez : << le samedi 10 mai 1659 ». Voyez la Notice biographique, p. 212, note 1.

Même page 95. — Ajoutez, à la fin de cette page, pour la distribution de l'Étourdi en 1685, un renvoi à une Addition imprimée page 558 du même tome Ier.

Page 100. Sommaire de l'Étourdi par Voltaire, ligne 2, aux mots : « Cette pièce est la première comédie que Molière ait donnée à Paris ». Ajoutez en note cette variante des deux premières éditions (l'édition originale de Paris, Prault, 1739, et celle d'Amsterdam, Catuffe, même année 1739): « Cette pièce est la première comédie que Molière ait donnée au Public. » Comme Beuchot, nous avons conformé généralement le texte de ces Sommaires à la dernière édition (1764) que Voltaire en a donnée.

Ibidem (même sommaire de Voltaire). Premier alinéa, ligne 14, aux mots « Ce loisir, dans lequel ». Ajoutez en note cette variante des deux éditions de 1739: « Ce loisir, où ».

Page 101 (même sommaire). —Second alinéa, ligne 9, aux mots : « dans les écrits des auteurs célèbres ». Ajoutez en note (cette variante des deux éditions de 1739 : « ... dans les écrits de ces grands hommes. » Ibidem. Note, ligne 11: « les Artistes juges et parties ». Voici plus complètement le titre de l'ouvrage : Les Artistes juges et parties, causeries parisiennes, par M. Paul Stapfer. Paris, Sandoz et Fischbacher, 1872; in-18. - Pour un jugement plus général de Victor Hugo sur le vers de Molière, voyez le passage de la Préface de Cromwell (1827) indiqué plus haut, à la Notice bibliographique, p. 214, 4° alinéa (cité par M. Maurice Souriau, à la fin de son étude approfondie sur la Versification de Molière).

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Page 104. Ligne 3, « Célie, esclave de Trufaldin ». Ajoutez un renvoi aux pages 218-224 de la Notice du Sicilien (tome VI).

Ibidem.

Note 2. Ajoutez, pour Mascarille, un renvoi à la page 536 du volume (du même tome I").

-

Ibidem. Note 5, fin. Ajoutez, pour la mise en scène de l'Étourdi, un renvoi à la page 560 du volume.

Page 109. Vers 64, aux mots : « Oter aux ». Ajoutez un renvoi au tome II, p. 162, note 2 (sur la façon dont Molière prononçait l'er des infinitifs quand le mot suivant commençait par une voyelle). Page 125. Note 2, à la fin de la 1 ligne. Au lieu de « 1681 », lisez « 1681 B »; et à la 2ao ligne ajoutez : « Dans l'édition de 1681 A se lit la double faute :... laisse-moi en repos. » Voyez page vII, note, de l'Avertissement mis en tête du tome I, et plus haut, p. 67 de la Notice bibliographique, le numéro 6 des Recueils.

Page 131. Vers 391, aux mots « son prétendu gendre ». Ajoutez un renvoi au tome VII, p. 288, ligne 2, p. 160, note 3, et p. 302, note 4, où prétendu est expliqué par déclaré, futur.

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Page 135. Note 1, fin. Ajoutez: « sauf toutefois entre le premier et le second acte du Misanthrope ». Une semblable irrégularité a été relevée à l'acte III de Psyché, entre la scène 1, qui est de Molière, et la scène 11, qui est de Corneille: voyez tome VIII, p. 317, fin de la note 3; Auger y constate aussi que Molière a nombre de fois négligé la sègle de

l'alternance des rimes dans les vers libres d'Amphitryon, et une fois dans ceux de Psyché (aux 986* et 987°).

Page 137. Vers 474, au mot «bonhomme ». Ajoutez un renvoi aux tomes IV, p. 408, note 2, et VII, p. 286, note 3.

Page 146. Vers 629-633 on pourrait rapprocher de ce passage les vers suivants des Bacchides de Plaute (13-15 de la scène i de l'acte V) : Hoc, hoe est quod peracescit, hoc est demum quod percrucior,

Me hoc ætatis ludificari : imo, edepol, sic ludos factum

Cano capite, atque alba barba! miserum me auro esse emunctum!

<< Mais la pilule la plus amère pour moi, le chagrin le plus cuisant, c'est qu'on m'ait pris pour jouet à mon âge, avec mes cheveux blancs, ma barbe blanche! On m'a berné, on m'a escroqué mon or. » (Traduction de Sommer.)

Page 147.

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Note 1, fin. Au lieu de « 1662 », lisez « 1682 ».

Page 148. Note 2. Ajoutez: « Comparez l'emploi qui est fait d'engendré à la scène iv de l'acte II du Malade imaginaire (tome IX, p. 344): «TOINETTE. Voici Monsieur Diafoirus le père et Monsieur Dia« foirus le fils qui viennent vous rendre visite. Que vous serez bien « engendré! »>

Page 152. Note 6, ligne 1, ajoutez : « 1681 A »; — ligne 2, à « 1681 » substituez «< 1681 B ». Voyez p. vii, note, de l'Avertissement mis en tête du tome I, et plus haut, p. 67 de la Notice bibliographique, le numéro 6 des Recueils.

Page 157. Vers 785. Ajoutez en note: « Racine a fait dire à Chicanneau, au vers 354 des Plaideurs (1668) :

Et je lui vais servir un plat de mon métier. »

Page 160. Note 5, au bout de la ligne 2, ajoutez : « 1681 A »; ligne 3, à « 1681 » substituez « 1681 B ». Voyez page vii, note, de l'Avertissement mis en tête de tome I", et plus haut, p. 67 de la Notice bibliographique, le numéro 6 des Recueils.

Page 163. Vers 890. Ajoutez en note: «...... je ne dy, pour mieux rimer (avec étourdy), dans l'original. »

Voyez

Page 166. Note 2, ligne 2. A « 1681 » substituez «< 1681 B ». p. vii, note, de l'Avertissement mis en tête du tome I", et plus haut, p. 67 de la Notice bibliographique, le numéro 6 des Recueils.

la

Page 173. Note 6 (au vers 1042). Ajoutez un renvoi à la note i de page 506 du tome VIII, où est relevé un autre exemple de la locution Il me la payera.

Page 174. -Note 2. Ajoutez « 1681 A » aux éditions qui portent Ahij, et dans la liste de celles qui portent Ahi, substituez « 1681 B »> à « 1681 ». Voyez page vii, note, de l'Avertissement mis en tête du tome I", et plus haut, p. 67 de la Notice bibliographique, le numéro 6 des Recueils.

Page 175. Vers 1056. Ajoutez en note: « Châtier ses gens de sa propre main semble avoir été, au temps de l'Étourdi, au pouvoir des maîtres ailleurs encore qu'en Sicile: voyez aux vers 940 du Misanthrope et 425 des Femmes savantes. »

Page 177. —Note 5, ligne 2. A « 1681 » substituez « 1681 B ». Voyez

p. vii, note, de l'Avertissement mis en tête du tome I", et plus haut, p. 67 de la Notice bibliographique, le numéro 6 des Recueils.

Page 190. Note 2. Ajoutez : « Plusieurs exemples de cette locution (toute nuit) ont été recueillis dans le Lexique du Corneille, tome II, p. 118. »

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Page 201. - Note 3, ligne 2. A « 1681 » substituez « 1681 B ». Voyez p. vi, note, de l'Avertissement mis en tête du tome I, et plus haut, p. 67 de la Notice bibliographique, le numéro 6 des Recueils.

Page 208.

Note continuée de la page précédente, ligne 6 (citation de Rabelais). Au lieu de : « ... quand il m'a jeté la boule droit », lisez : « quand il n'a jeté la boule droit ».

...

Page 221. Vers 1751. Au lieu de : « Seigneur suisse », lisez plutôt, comme dans l'édition originale : « Seigneur Suisse ». Mascarille s'est travesti, non en portier, mais en hôtelier; quelques particularités de costume (une fraise, un haut chapeau pointu, comme ceux du marchand de Bâle dépeint au chapitre I des Mémoires de Gramont) le font prendre pour Suisse de nation.

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Page 304. Note 2, ligne 3. Au lieu de : « E come un saluto », lisez : «È come un saluto ». Page 385. Ligne 16, aux mots : « Le Dépit amoureux fut joué pour la première fois à Béziers vers la fin de 1656 ». Ajoutez un renvoi à la Notice biographique, p. 183, et p. 485 (Addition à la page 183), et un renvoi encore à l'article de M. Larroumet, inséré au Moliériste de septembre 1884, p. 163 et suivantes : Molière à Béziers et la première représentation du Dépit amoureux.

Page 388.

- La note 1 de cette page, où les Nouvelles nouvelles ont été à tort attribuées à Villiers, a été rectifiée tome III, p. 112, note 1. Page 392. Ligne 8: « Au moins eut-il (Valville) l'esprit... de n'y pas introduire, comme Armand, une scène d'augmentation. » Voyez une rectification faite page 125, 3° alinéa, de la Notice bibliographique. Page 393. Note 1, avant « SCÈNE II ». Ajoutez ces deux vers, qui, dans l'arrangement de la pièce en deux actes, terminent, à la fin de la scène I (scène Iv de l'original), le couplet de Marinette (« Vraiment, n'ayez point peur,..... » vers 645-648 de l'original) :

Il vient, retirons-nous; laissons-les, croyez-moi,
Sans chercher de raison de leur mauvaise foi.

(Elles vont pour sortir.)

Page 395. Fin du 2a alinéa. Ajoutez en note ce renseignement : « Le Dépit amoureux a été repris deux fois en cinq actes par la troupe de Ballande, à la salle Ventadour, les 17 et 21 mai 1873; et l'année suivante, à la matinée du 1er mars, il a encore été donné en entier sur le théâtre de la Porte-Saint-Martin. »

Page 397. Fin du 1o alinéa. Ajoutez, pour la distribution du Dépit amoureux, un renvoi à la page 559 du même tome I, où est donnée la distribution de 1685, et un renvoi à la page 12, 6o alinéa, du présent volume.

Page 402.

A la fin. Ajoutez, pour la mise en scène du Dépit amoureux, un renvoi à la page 560 du même tome Io.

Page 438. —Note 2, fin. Ajoutez: « Voyez dans l'édition de la Prin

cesse d'Élide publiée par M. le docteur Wilhelm Knörich (Leipzig, 18851), p. 152, la note se rapportant à la ligne 838. M. Knörich a relevé dans les vieux textes nombre d'exemples où un, mis où nous mettrions une, précède non seulement autre employé substantivement (non accompagné d'un nom), mais encore autre suivi d'un nom féminin2, des exemples aussi où un précède des noms féminins commençant par une voyelle3. Le savant commentateur conteste que un autre puisse être jamais considéré comme une sorte de locution neutre, et ne voit là, ainsi que dans les autres exemples qu'il cite où un (parfois un') se lit avant un nom féminin commençant par une voyelle, qu'une ancienne particularité, non de syntaxe, non pas même de prononciation3, mais simplement d'écriture. » Page 444. Note 4. Ajoutez : « Cette phrase latine est à peu près celle qu'Aristarco, le Pédant d'une comédie en prose de Bernardino Pino (gl' Ingiusti sdegni, acte III, scène 1), adresse en le quittant à un bon bourgeois aussi illettré qu'Albert: Mandatum tuum curabo diligenter. Voyez notre tome III, p. 194, seconde partie de la note 1. La Drammaturgia d'Allacci cite une douzaine d'éditions, publiées de 1553 à 1626, des Ingiusti sdegni. »

Page 465. Note 2. Au lieu de : « Tel est le texte de 1666 et de 1695 A », lisez : « Tel est le texte de 1666 et de 1675 A ».

Page 490. Note 2. Est à transporter à la suite de cette note 2 l'observation imprimée par erreur à la suite de la note 3 : « On peut s'étonner que l'édition de 1734 n'ait pas indiqué ce jeu de scène, » etc. Page 494. Note 2, fin. Ajoutez un renvoi à l'Addition faite plus haut, p. 281, à la note 2 de la page 438 du même tome Ir.

Page 502. Vers 1502. Ce vers, tel que le donnent tous les anciens textes, s'entend fort bien, sans qu'il soit même besoin de le rapprocher des vers 1471 et 1472. On s'est néanmoins demandé s'il n'y fallait pas changer sot en saut :

Et vous ferez le saut tout seul, je vous assure. Voyez le Moliériste de décembre 1879, p. 284. de l'Étourdi.

Page 526.

- Comparez le vers 699

Ligne 9, aux mots « le sieur LA PIERRE ». Ajoutez en note : « La Pierre était chef d'une troupe, composée surtout de musi ciens et de danseurs, laquelle appartenait au maréchal de Schomberg: voyez la Notice biographique, p. 158 et note 4. »

1. Voyez plus haut, p. 97 de la Notice bibliographique, no 51 des Recueils. 2. Un autre danse.

3. Un âme.

4. Comme il l'a été au Lexique du Corneille, tome Ier, p. LXVI et note I.

5. Un, devant autre représentant un nom féminin, ou devant un nom féminin qui commence par une voyelle, devait toujours, pense-t-il, se prononcer comme une; c'est ainsi que un est encore prononcé par plusieurs même devant un nom masculin commençant par une voyelle.

Page 9.

TOME II

Note 2. Au renvoi fait là (sur Visé et Villiers) substituez un renvoi au tome III, p. 112, note 1.

Page 13. Note 3. Cette note a été rectifiée dans notre tome III, p. 335, note 1, au bas d'un passage de la Critique de l'École des femmes (scène v), où il est constaté que c'est dès 1663 que le prix des places sur le théâtre1 était d'un demi-louis (cent dix sous), même aux représentations ordinaires.

Page 25. —Note 1. La troisième lettre de Thomas Corneille dont il est question à la fin de cette note est, malgré la date du 1o décembre qu'elle porte, certainement postérieure à la reprise des Précieuses ridicules qui eut lieu le 2 décembre 1659 voyez la Notice biographique, P. 219, note 2.

Page 25. Fin du 1 alinéa. Voyez, au sujet de la comédie de la Précieuse (1656), donnée par l'abbé de Pure aux Italiens, l'article de M. Jules Clouet qui a été inséré au Moliériste d'août 1880; M. Clouet y rapporte un récit, emprunté à la IIIo partie (1657, p. 473 et suivantes, particulièrement p. 494-499) du roman de l'abbé et qui, sans nous renseigner complètement sur la comédie italienne, en fait connaître un des incidents. Un autre renseignement sur la comédie a peut-être été donné par Sauval : voyez l'article de M. Emile Roy au Moliériste de septembre 1887.

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Page 27. Lignes 3 et 4. Au lieu de : « avec celle (la scène) où figurent Philaminte, Bélise et Henriette dans les Femmes savantes, » lisez : « avec celle où figurent Philaminte, Bélise et Armande conversant avec Trissotin dans les Femmes savantes (acte III, scène 11, vers 844 et suivants) ». Ibidem. Note 2, ligne 8. Au lieu de : « notre note suivante », lisez « la note 2 de la page suivante ».

Page 40. Ajoutez en note à la fin de la ligne 8 du 2o alinéa : « C'est avec toute vraisemblance que dans le Moliériste d'avril 1882, p. 3o, le rôle de Madelon est attribué à Madeleine Béjart, celui de Cathos (Cathau) à Catherine de Brie, et celui de Marotte à Marie Ragueneau, la future femme de la Grange. Voyez encore le Moliériste de novem bre 1882, p. 22 et suivantes. >>

-

Page 45 (sommaire des Précieuses ridicules par Voltaire). Ajoutez à la note 2: « — Toutes les anciennes éditions (1739 Paris et Amsterdam, 1764, 1772, Kehl) ont ici : « le prix..., qui n'était alors que dix sous au parterre» le de suppléé par Beuchot est sans doute à retrancher. >> Page 46. Ajoutez à la note 1 : « Mais tout le dernier alinéa du sommaire se lit déjà, avec les désignations, faites en note, de Toureil, de Fontenelle et de La Motte, dans la seconde édition de 1739 (Amsterdam, Catuffe). »

Page 51.

Dernière phrase de la note 1 (lignes 15-17). Au lieu de : « Le texte de 1682, et de même celui de 1734, répètent la conjonction

1. Et sûrement aussi le prix des autres premières places,

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