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MM.

BALARD, à Paris.
BLONDEAU, à Paris.
BOSSON, à Mantes.

BOUIS, à Perpignan.

BOUTIGNY (d'Evreux), à Paris.
BRACONNOT, à Nancy.
BRANDES fils, à Salzuflen.
CANTU, à Turin.
CAVENTOU fils, à Paris.
DESFOSSES, à Besançon.
DUBLANC jeune, à Paris.
EDWARDS (M.), à Paris.

FARINES, à Perpignan.

GMELIN, à Heidelberg.

GOBLEY, à Paris.

GUERANGER, au Mans.

MM.

LABARRAQUE, à Paris.

LAVINI, à Turin.
LEPAGE, à Gisors.
LEROY, à Bruxelles.
MARCHAND, à Fécamp.
MARTIUS, à Erlangen.
MORIDE, à Nantes.
MORIN, à Rouen.
MORSON, à Londres.
MOUCHON, à Lyon.
PESCHIER, à Genève.
PETROZ (H.), à Paris.
RIGHINI, à Oleggio.

SEGALAS, à Paris.

TILLOY, à Dijon.

TREVET (G.), à Villers-Cotterêts.

Conseil du Journal: Ma LACOIN, avocat à la Cour d'appel de Paris.

Le JOURNAL DE CHIMIE MÉDICALE, DE PHARMACIE ET DE TOXICOLOGIE paraît une fois par mois, par cahiers de trois à quatre feuilles d'impression, de manière à former par an un volume de plus de 800 pages. On y joint des planches toutes les fois que le sujet l'exige. Le prix de l'abonnement est fixé, pour l'année, à 12 fr. 50 c. pour toute la France, et à 15 fr. pour l'étranger.

Toute demande d'abonnement doit être accompagnée d'un mandat sur la poste, au nom de M. LABÉ, à l'adresse ci-dessous :

On s'abonne à Paris, au Bureau du Journal, chez LABÉ, libraire de la Faculté de Médecine de Paris, place de l'École-de-Médecine, no 23 (ancienne maison BECHET jeune). On peut s'abonner aux Messageries Notre-Dame-des-Victoires, à celles de Laffitte et Caillard, aux bureaux des Postes, sans augmentation de prix.

On est prié d'affranchir les lettres et l'argent, ainsi que les Mémoires destinés être insérés dans le Journal. Les Mémoires doivent être adressés, ainsi que les réclamations relatives à l'abonnement, francs de port, à M. CHEVALLIER, chimiste, membre du Conseil de Salubrité, quai Saint-Michel, n° 25.

Quelques-uns de nos abonnés nous invitent à faire une traite sur eux, nous ne le pouvons pas; une traite de 12 fr. 50 c. coûterait aussi cher, pour la négociation et les frais de change de place, qu'une traite de 100 fr.

DE

CHIMIE MÉDICALE,

DE PHARMACIE, DE TOXICOLOGIE,

ET

REVUE

DES

NOUVELLES SCIENTIFIQUES
NATIONALES ET ÉTRANGÈRES;

PAR LES MEMBRES DE LA SOCIÉTÉ DE CHIMIE MÉDICALE ;

MM. BÉRAL, CHEVALLIER, DUMAS, FÉE, GUIBOURT,
LASSAIGNE, ORFILA, Payen, E. PÉLIGOT, G. PELLETAN, PELOUZE,
A. RICHARD, ROBINET.

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LABÉ, LIBRAIRE DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE,

PLACE DE L'ÉCOLE-DE-MÉDECINE, No 23 (ANCIEN n° 4).

1851

#D KAND

JOURNAL

DE CHIMIE MÉDICALE,

DE PHARMACIE ET DE TOXICOLOGIE.

CHIMIE MÉDICALE.

DES ALTÉRATIONS DE L'URINE ET DES MOYENS PHYSIQUES ET
CHIMIQUES EMPLOYÉS POUR LES RECONNAÎTRE;

Par M. E. COTTEREAU, chimiste.
(Suite et fin.)

S II. Matières que l'on rencontre dans l'urine par suite d'un état morbide.

Les substances qui peuvent, suivant divers auteurs, altérer l'urine par suite d'un état pathologique, sont le sang, l'albumine, la fibrine, le chyle, la graisse, le lait, la kéjestéine, le sperme, l'humeur prostatique, le pus, les matières tuberculeuses et encéphaloïdes, les matières fécales, les vers, les débris de foetus, les gaz, la bile, le sucre, les acides hippurique, nitrique et oxalique, les oxydes xanthique et cystique, la cyanourine et la mélanourine, l'acide mélanique et le fer.

Sang. L'urine peut contenir une certaine quantité de sang qui provient alors, soit de la muqueuse vésicale, soit des artères, des bassinets ou des reins eux-mêmes. Si cette quantité de sang est un peu considérable, la vue simple permet d'en reconnaître la présence. Dans le cas contraire, il faut avoir recours aux moyens d'analyse, soit physique, soit chimique.

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