Revue germanique, française & étrangère, Volumes 13-14Charles Dollfus, Auguste Nefftzer, comte Emile Kératry A. Franck, 1861 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Actes Adam allemande âme assez Baur Billander Burgtheater c'était chambre chant CHARLES DOLLFUS chose chrétienne christianisme cœur comte Corse côté critique dernier devant développement Dieu dire donner Ebersdorf enfants esprit femme fille fleurs Florio force Forêt-Noire forme Freyja général gentils Goethe Govert Flinck Hegel Hillmer Holtensprung homme humaine idées j'ai Jahn jamais Jan Steen jeune Joseph jour Kant Koenigsberg Kyvit l'Allemagne l'amour l'autre l'Église l'esprit l'histoire l'homme laisser longtemps lui-même madame de G main maison marquise Martine ment mère monde morale mort moyen âge Mozart musique mythologie n'avait Nabatéens nature nitrite nuit œuvres Paltar passé passion pasteur pensée père personne Petöfi philosophie piétisme pistil plante Platon poëte politique porte pouvait premier presque principes Prusse qu'un regard religieux Rembrandt reste rien Röttmann s'était saint sais Sampiéro sanscrit scène science semble sentiment serait seulement siècle sorte souvent Spinoza surtout système terre tête tion trouve vérité vrai Wuotan yeux
Popular passages
Page 264 - Quand un homme et une femme ont l'un pour l'autre une passion violente, il me semble toujours que, quels que soient les obstacles qui les séparent, un mari, des parents, etc., les deux amants sont l'un à l'autre, de par la nature, qu'ils s'appartiennent de droit divin, malgré les lois et les conventions humaines.
Page 147 - Souvent alors elles en prennent qui semblent provenir d'une tout autre cause, sans perdre pour cela leur stratification, rappelant par cette disposition la structure physique d'un tison à moitié charbonné, dans lequel on peut suivre les traces des fibres ligneuses, bien au delà des points qui présentent encore les caractères naturels du bois.
Page 195 - Mais maintenant nous sommes affranchis de la loi de mort dans laquelle nous étions retenus; de sorte que nous servons Dieu dans la nouveauté de l'esprit , et non dans la vieillesse de la lettre.
Page 316 - Tel fruit, tel arbre, pour bien faire. C'est dommage, Garo, que tu n'es point entré Au conseil de celui que prêche ton curé : Tout en eût été mieux ; car pourquoi, par exemple, Le gland, qui n'est pas gros comme mon petit doigt, Ne pend-il pas en cet endroit ? Dieu s'est mépris : plus je contemple , Ces fruits ainsi placés, plus il semble à Garo Que l'on a fait un quiproquo.
Page 193 - Christ ne vous sera plus d'aucun secours (1). » Et aux Corinthiens : « Que chacun se comporte selon que Dieu l'a appelé; c'est ainsi que j'en ordonne dans toutes les Églises. Quelqu'un est-il appelé circoncis, qu'il ne se refasse point un prépuce; quelqu'un est-il appelé dans l'incirconcision, qu'il ne se laisse pas circoncire.... Que chacun demeure dans la condition où il était quand il a été appelé (2).
Page 296 - Grand'mèrc, d'où vient donc que vos cheveux sont blancs? Mon enfant, c'est l'hiver, c'est la neige des ans! Grand'mère, d'où vient donc que vous avez des rides? Le chagrin a creusé tous ces sillons arides! Grand'mère , qui vous fait branler la tête ainsi ? Un vent du ciel : hélas, je ne tiens plus ici ! Pourquoi vos yeux sont-ils cernés de noir, grand'mère?
Page 183 - Et Dieu, qui connaît les cœurs, leur a rendu témoignage, leur donnant le Saint-Esprit aussi bien qu'à nous; 9 Et il n'a point fait de différence entre nous et eux, ayant purifié leurs cœurs par la foi.
Page 148 - ... d'eau. En général, on y distingue cette loi, que, vers le rouge naissant, la voie humide développe, en ce qui concerne la production des silicates, des affinités analogues à celles qui se manifestent par voie sèche, mais seulement à une température beaucoup plus élevée, et...
Page 302 - Je ne suis pas tellement épouvanté par » l'autorité, je ne redoute pas tellement la furie des esprits » inintelligents, que j'hésite à proclamer tout haut ce que » ma raison démêle clairement et démontre avec certi
Page 302 - ... sonnes : apprenez combien il est grave, combien il est » affreux (quam grave nefandumque], qu'un évêque traite » de ces choses, que doit ignorer même un laïque...