liturgie anglaise, sur les arts et aussi d'ouvrages de controverse, mort à 76 ans, le 12 avril ; de M. Giuseppe MOROSI, professeur d'histoire à l'Académie de Florence (1875-1877), puis à l'Institut des études supérieures de cette ville (1877-1887), fondateur de l'Archivio glottologico, mort à 46 ans, le 22 février, à Milan, sa ville natale; du Dr. August-Friedrich Müller, professeur à l'école de Grimma, pasteur à Zwenkau, près de Leipzig, mort dans cette dernière ville, le 10 avril, à 79 ans ; — du Dr. Alfred NICOLOVIUS, professeur de droit à l'Université de Bonne, où il est mort à 84 ans, le 22 mars; de M. PARRY, évêque de Dover, qui, entre autres ouvrages, édita les Mémoires de son père, le fameux commandant Parry, mort le 10 avril; de M. Enrico POGGI, Sénateur, auteur, entre autres ouvrages, d'une Storia d'Italia dal 1814 al di 8 agosto 1846, mort le 14 février, à Florence; de M. Amadio RONCHINI, Surintendant des archives Emiliennes, un des fondateurs de la R. Deputazione di storia patria, mort à Parme, le 3 février; de M. le comte Aurelio SAFFI, un des chefs du parti républicain en Italie, ancien ministre de l'intérieur, qui remplit avec Mazzini et Armellini les fonctions de triumvir, professeur de droit international à l'Université de Bologne, éditeur des œuvres de Mazzini, auteur de quelques travaux, mort le 10 avril, près Forli, à 71 ans; de M. A. SPIR, écrivain génevois, mort à Genève, le 26 mars;- de M. John R. WISE, écrivain anglais, dont on cite un volume sur Shakespere (1861), et the New Forest (1863), dont une édition de luxe a paru en 1883; - · du Dr. Franz-Ludwig Zaнn, mort le 23 mars, à 92 ans. LECTURES FAITES A L'ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES. Dans la séance du 3 avril, M. Heuzey a donné lecture d'un travail sur un dieu carthaginois, représenté par l'art gréco-romain sous la forme d'un Jupiter Serapis ou d'un Esculape coiffé de la dépouille d'un coq; M. A. Desmichels a lu une traduction du testament chinois du roi d'Annam Thien-Tri; enfin, M. Schwob a donné l'explication de quelques termes du jargon de Villon. Dans la séance du 18 avril, M. Rodacanachi a communiqué un mémoire sur le Ghetto ou quartier juif de Rome; M. Heuzey a commencé la lecture d'un travail sur l'archaïsme gréco-phénicien en Espagne. LECTURES FAITES A L'ACADÉMIE DES SCIENCES MORALES ET POLITIQUES. Dans la séance du 12 avril, M. Ferrand a commencé la lecture d'un mémoire sur l'éducation politique en France et à l'étranger. Cette lecture a été continuée dans la séance du 19 avril. CONGRÈS. La Société française d'archéologie tiendra du 17 au 24 juin son 50o congrès annuel, à Brive, sous la présidence de M. le comte de Marsy. Parmi les questions qui doivent figurer au programme, nous signalerons notamment : État des études archéologiques dans le département de la Corrèze. De l'importance des livres de raison au point de vue archéologique et artistique. Faire connaitre les inscriptions rédigées en langue vulgaire. Les souscriptions, donnant droit au compte rendu imprimé, doivent être adressées à M. J.-B. Bosredon, trésorier du congrès, à Brive. - ÉCLAIRCISSEMENT SUR UN PASSAGE DE SAINT GRÉGOIRE DE TOURS. Saint Grégoire de Tours a consacré la plus grande partie de son premier livre De Gloria Martyrum à raconter les miracles opérés de son temps par la vertu des saintes reliques. Mais il y a là des obscurités et des endroits énigmatiques. Parmi ceux qui sont restés incompris jusqu'à présent, il convient de signaler le chapitre 83 relatif à un transfert dans les Gaules de reliques des saints apôtres et des martyrs Laurent et Pancrace, Chrysanthe et Darie, Jean et Paul, transfert qui fut fait au nom d'un pape nommé Pélage. Est-ce Pélage Iou Pélage II? Telle est la question. Le pieux auteur 'n'en dit rien. Mais son commentateur Dom Ruinart, et avec lui Tillemont, les Bollandistes, etc., supposent qu'il s'agit de Pélage II, et que le destinataire n'était autre que saint Grégoire de Tours en personne; seulement, ces savants ne paraissent pas avoir réfléchi à une difficulté, c'est que le mandataire de l'évêque de Tours n'arriva à Rome qu'après la mort du pape Pélage II. Aussi ce n'est pas de celui-ci, mais bien de son successeur saint Grégoire le Grand, qu'il reçut les reliques, dont l'église de Tours se trouva ensuite nantie. Joignez à cela que l'historien des Francs a eu occasion, en plus d'une autre circonstance, de parler de ces mêmes saints Laurent et Pancrace, Chrysanthe et Darie, Jean et Paul, mais jamais il ne donne à supposer que son église en possède des reliques. Ce qu'on s'expliquerait difficilement si, comme on le prétend, son mandataire lui en avait rapporté de Rome. Dans un tel état de choses, il paraît bien plus naturel de se demander s'il ne s'agirait point dans le passage allégué plus haut du pape Pelage I (556-559). Celui-ci, on le sait authentiquement, envoya par deux fois au roi Childebert des reliques des saints apôtres Pierre et Paul et de plusieurs saints martyrs. Le premier envoi fut confié à des moines de Lerins, le second à un sous-diacre de Rome, qui se rendit à cet effet jusqu'à Arles. Que faut-il davantage pour nous donner la clef du récit de Grégoire de Tours rendu énigmatique seulement par l'omission d'un ou deux mots, et pour nous amener à penser que Ruinart, Tillemont et les Bollandistes se sont trompés dans la circonstance? L'éclaircissement et la rectification dont nous nous occupons, sont peu de chose en eux-mêmes. Ils ont cependant leur importance en hagiographie et surtout en ce qui touche les reliques des saints apòtres Pierre et Paul; car, comme on sait que les papes saint Hormisdas et saint Grégoire le Grand refusèrent formellement d'en envoyer aucune partie, le premier à l'empereur Justinien et le second à la reine Brunehaut, on serait très porté à regarder comme dénués d'authenticité des envois analogues, tandis que la conduite de Pelage I nous fournit un exemple contraire, pleinement authentique, et prouve péremptoirement qu'en pareille matière les Souverains Pontifes n'ont jamais été obligés à agir d'une manière toujours uniforme, les circonstances pouvant autoriser une conduite différente. On comprendra facilement, par exemple, pourquoi Pélage I ne négligea rien pour mériter la bienveillance du roi franc, si on considère que son élection avait été et était encore en 556 l'objet de constestations. Il lui importait par conséquent de s'attacher des protecteurs puissants. Enfin, ce qui double encore à nos yeux le prix de la rectification dont il s'agit, c'est qu'elle a pour objet, et qu'elle amène à regarder comme pleinement authentique un envoi de reliques des mêmes apôtres Pierre et Paul, qui avait échappé aux recherches des Bollandistes et de tous les hagiographes. LES ARCHIVES DU ROYAUME DE POLOGNE A MOSCOU. S. Plaszycki a publié par ordre du gouvernement russe une description des livres et des actes se rapportant à la Lithuanie et conservés à Saint-Pétersbourg. Mais les archives du ministère des affaires étrangères à Moscou renferment de plus les archives de l'ancien royaume polonais. Les actes et les diplômes y remplissent vingt-sept armoires. Six de ces armoires ne sont pas encore mises en ordre. Une grande partie des documents écrits sur parchemin est connue par les publications de Dogiel. Mais bon nombre a été omis, soit parce que l'éditeur les jugeait moins importants, soit pour des raisons politiques. Ainsi, Dogiel a passé sous silence les traités de Louis de Hongrie avec Casimir, des années 1350, 1355, 1364; les relations avec la Turquie et avec les Tartares ont de même été omises. Les actes sont disposés dans les cartons par ordre alphabétique. Beaucoup d'actes qui se trouvent à SaintPétersbourg devraient appartenir à ce dépôt d'archives. La moitié des actes a un caractère diplomatique et se rapporte aux relations du royaume de Pologne avec les autres États, l'autre moitié date des dernières années de la république, époque des partages de la Pologne et de la révolution de Kosciuszko. Donnons quelques détails sur les documents qu'on y trouve. La première armoire offre les Acta magni ducatus Lithuaniae, depuis 1488 jusqu'en 1681, lesquels comprennent treize volumes. Une partie de ces documents éclaircissant les rapports de la Pologne avec la Russie ont déjà été publiés par Oboleński et Danilowicz, sous le titre : Posolskaja kniga. L'Autriche est représentée par les armoires II et III. Ces documents comprennent les années 1412-1676. L'Angleterre occupe une partie de la quatrième armoire (1683-1788), dont l'autre partie est remplie par l'Arménie (1632-1644). Le duché de Bade n'est représenté que pour les années 1788 et 1789 (armoire IV); la Bessarabie pour les années 1389 à 1411; la Bohême ne s'y trouve que pour les années 1395-1527 (armoire IV). En ce qui concerne le Brunswick, les documents vont de 1424 à 1458 et de 1592 à 1765 (armoire IV). Les Cosaques s'y trouvent pour les années 1610-1664 (armoire VII); les Kalmoucks pour la seule année 1653. L'Espagne remplit presque seule la sixième armoire (1615-1794), tandis que la quatorzième est consacrée à la France. On y trouve des actes comprenant les années 1663 à 1691, des actes et des correspondances de 1753-1792, enfin, la correspondance avec Jakubowski (1759-1784), et les écrits destinés aux plénipotentiaires polonais en France de 1788 à 1793. L'héritage de la reine Marie Leczynska y est disputé pendant de longues années, c'est-à-dire de 1749 à 1793. Genève n'intéresse l'histoire polonaise que de 1761 à 1778. La Hollande a des actes qui datent de 1656 à 1794 et sont réunis dans la sixième armoire avec le Danemark (1419-1657) et Dantzig (1783-1790). Les relations avec le duc de Lorraine (1764) ont leur place avec les actes regardant Mayence (1764-1787), la Moldavie et la Volhynie (1387-1553 et 1653-1767), Naples (1517-1733), les papes (1641-1793), la Perse (1618-1630) et le Portugal (1664-1713) (armoire VII). La Prusse est distribuée entre trois armoires (VIII-X), bien que les documents ne comprennent que les années 1604-1693 et 1773-1793. La Russie occupe les armoires X et XI (1635-1794). La douzième armoire réunit quantité d'États, à savoir la Saxe (1496-1790), la Sardaigne (1763-1781), la Sicile (17661790), les Tartares de Crimée (1514-1780), la Toscane (1765-1766), la Transylvanie (1553, 1649-1750). La Suisse (1764-1770) et la Suède (1618-1793) sont jointes à la France. La Turquie enfin exige deux armoires (XIII et XIV) pour les années 1384-1741. Le reste du dépôt est composé de pièces de moindre importance et de matières variées. Ces documents ont surtout rapport aux affaires intérieures de la Pologne. Il en existe une description assez détaillée faite par M. A. Prochaska dans le volume LI de l'Athaeneum de Varsovie (1888, p. 358). PARIS. M. Léopold Delisle a lu devant l'Académie des inscriptions et belles-lettres une très importante note sur un Fragment d'un registre des enquéteurs de Saint-Louis (Paris, Impr. nationale, in-8 de 16 p. Extrait des Comptes rendus). Dans huit doubles feuillets de parchemin qui recouvraient des cartonnages de livres classiques, l'éminent paléographe a tout de suite reconnu des formules qui étaient restées gravées dans sa mémoire depuis qu'il avait copié, il y a déjà longtemps, tout ce qui subsiste, à la Bibliothèque et aux Archives nationales, des enquêtes ordonnées par saint Louis sur l'administration des officiers royaux. Les douze grandes pages si heureusement retrouvées, et dont le texte ne tardera pas à être publié par l'Académie dans le tome XXIV du Recueil des historiens de la France, sont analysées par M. Delisle avec cette parfaite netteté qui est un des caractères les plus remarquables de son talent. Parmi les renseignements fournis par les procès-verbaux de 1247 ou 1248, il signale ce qui regarde la famille de Robert de Clari, l'auteur de la relation de la conquête de Constantinople en 1204, lequel occupe une place d'honneur parmi les historiens français du XIIIe siècle, et la famille La Truie à laquelle appartenait un chevalier lorrain qui s'est illustré par ses exploits et par son dévouement à Philippe-Auguste, Gérard La Truie, un des héros de la journée de Bouvines. - M. Georges Vicaire a consacré un fort volume in-8 de 500 p. à la description des quelques milliers de livres publiés tant en France qu'à l'étranger sur la cuisine et la gastronomie depuis le xv. siècle jusqu'à nos jours. Cette Bibliographie gastronomique (Paris, Rouquette) n'a été tirée qu'à 500 exemplaires. On sait que l'abbé Raynal, l'auteur de l'Histoire philosophique des établissements et du commerce des Européens dans les deux Indes, avait formé le projet d'une Histoire philosophique de la révocation de l'édit de Nantes; mais jusqu'ici l'on n'était point d'accord s'il avait ou non rédigé cette histoire. M. Camille Couderc, de la Bibliothèque nationale, apporte en faveur de la seconde hypothèse des raisons qui nous paraissent fort solides. Il a retrouvé un brouillon de mémoire sur les guerres de religion, écrit par l'abbé Raynal et qui est un travail préparatoire à l'histoire en question. Ce mémoire s'arrête brusquement au milieu de l'année 1652. M. Couderc a retrouvé également des réponses faites par des réfugiés français en Allemagne et en Suisse ou par des hommes en état de connaître leur situation à un questionnaire qu'il avait dressé pour recueillir les éléments de son travail. Ces réponses ne sont pas annotées par l'abbé Raynal et ne portent aucune trace d'examen. M. Couderc conclut de tout cela que l'abbé Raynal n'a jamais dû écrire son travail. Il faut suivre sa dissertation de ces mémoires envoyés à l'abbé et qui peuvent être fort utiles à ceux qui étudieront l'histoire des réfugiés français (L'Abbé Raynal et son projet d'histoire philosophique de la révocation de l'édit de Nantes (Documents sur le Refuge). Extrait du Bulletin de la Société de l'histoire du protestantisme français. Paris, Agence de la Société, in-8 de 44 p.). On lira avec sympathie la notice consacrée au marquis de Saint-Hilaire, mort à Paris le 29 novembre 1889, par un de ses parents, M. D. A. [Denys d'Aussy] et par un de ses amis, M. L. A. [Louis Audiat] (Saintes, Mortreuil, gr. in-8 de 15 p.). Les deux biographes ont rendu un digne hommage à celui qui fut un savant distingué, un gentilhomme accompli, un excellent chrétien. MM. Audiat et d'Aussy ont indiqué par ordre chronologique (p. 9-10) les nombreuses publications du marquis de Saint-Hilaire. Sous le titre de Varia, M. G. Pélissier publie deux plaquettes extraites de la Revue rétrospective (Paris, in-8 de 28 et 24 p.). L'énumération des principaux articles dira tout l'intérêt des deux petits recueils : Une Conspiration à Grenoble, trahie le 20 août 1792 (Archives des Bouches-du-Rhône); Facéties du XVIIIe siècle. La Vision de l'abbé de Bernis, ou l'Apocalypse française (Bibliothèque Corsini, à Rome); La Fèle des Grelots (en Provence, 1753) (Bibliothèque Méjanes. Aix-en-Provence); · Enterrement de la Compagnie des Indes (1769) (même collection); Un Royaliste à l'armée d'Espagne (en 1823-24) (Deux lettres écrites et extraites d'une collection particulière); Souvenirs de Pons (de l'Hérault) (1814-1815). Souvenirs conservés avec les papiers de Peyrusse, dans la bibliothèque de Carcassonne; il est question là de Napoléon à l'île d'Elbe. Pons (de l'Hérault), qui était directeur des mines de cette île, donne de très curieux détails anecdotiques sur le séjour de l'Empereur; La Mort de Louise-Gabrielle de Savoie, reine d'Espagne (14 janvier 1714). Un Episode de la prison des d'Orléans à Marseille (1793). - - M. Charles Henry, auteur de nombreux travaux scientifiques, littéraires et archéologiques, a publié dans un des derniers numéros de la Revue archéologique et en tirage à part (Paris, Leroux, in-8 de 31 p.) une note sur l'Application de nouveaux instruments de précision, qu'il a découverts (cercle chromatique, rapporteur et triple décimètre esthétiques) à l'archéologie. Dans cette brochure, il insiste tout particulièrement sur l'utilité qu'on peut retirer de l'emploi du rapporteur et du triple décimètre pour l'étude des types de fabrication d'amphores dans l'antiquité. M. Eugène Piot, en mourant, a laissé à l'Institut la plus grande partie de sa fortune et déclaré l'Académie des inscriptions sa légataire universelle. L'argent qu'il laisse devra « être employé à toutes expéditions, missions, voyages, fouilles ou publications qu'elle croira devoir faire ou faire faire dans l'intérêt des sciences historiques et archéologiques, soit sous sa direction personnelle par un ou plusieurs de ses membres, soit sous celle de toutes autres personnes désignées par elle. » M. Piot lègue au Musée du Louvre plusieurs objets artistiques, parmi lesquels nous relevons une terre cuite de Donatello, le buste de Michel Ange et un tableau de Raphaël. L'Académie des beaux-arts reçoit une rente de 2,000 francs destinée à récompenser une peinture ou une sculpture représentant un enfant nu de huit à quinze mois. La pensée qui a inspiré ce legs, c'est que l'École florentine a dû à la représentation de tels enfants une grande partie de ses délicatesses. Internacia ou Volapük (Paris, A. Ghio, in-8 de 32 p.) est la traduction par M. A. Demonget d'une brochure où M. Léopold Einstein s'efforce de prouver que le volapük ne peut être une langue universelle et que l'« internacia,» invention plus récente, a de plus grandes chances de réussir. Nous croyons que l'internacia, pas plus que le volapük, ne pourra supplanter les vieilles langues qui se sont formées autrement que par le caprice d'un individu. - L'Annuaire du Conseil héraldique de France, troisième année (Paris, in-12 de 362 p.) contient entre autres articles: Notes sur la famille de Jeanne d'Arc, par le vicomte Oscar de Poli, président du conseil; - Document inédit relatif à une fille de Henri IV, par M. Ph. Tamizey de Larroque; Le Droit d'aînesse en Anjou, par M. G. d'Espinay; Bibliothèque héraldique de la Saintonge et de l'Aunis, par M. Louis Audiat; Les Armoiries des ordres religieux, par Mgr X. Barbier de Montault; - Une Question féodale: De l'ignorance des nobles au temps passé, par le vicomte E. Révérend du Mesnil; Le Château de Chanteloup, par le vicomte O. de Poli; Sources du nobiliaire de Bretagne, par le vicomte Arthur du Bois de la Villerabel; Sources du nobiliaire de Bourgogne, par M. J. d'Arbaumont ; Devisaire breton, par Emmanuel de Boceret; La Préposition de (lettres du comte A. de Foras, du comte de Marsy, de M. Alfred de Martonne); La Descendance de Pierre Du Lys, troisième frère de la Pucelle, rectifications, par M. Boucher de Molandon. |