Il s'agissait d'en finir avec une politique prétendue socialiste, faite de compromissions et de déviations, que depuis trop longtemps on s'efforçait de substituer à la politique de classe, et par suite révolutionnaire, du prolétariat militant et... Les congrès ouvriers et socialistes français - Page 168by Léon Blum - 1901 - 199 pagesFull view - About this book
| Alexandre Natanson - France - 1899 - 692 pages
...matin, le matin du 14 juillet; ils ne lurent pas sans étonnement des phrases comme celles-ci : ll s'agissait d'en finir avec une politique prétendue...faite de compromissions et de déviations, que depuis longtemps on s'elforeail de substituer ù la politique de classe, et par suite révolutionnaire, du... | |
| André Lebon - France - 1900 - 458 pages
...socialiste. Dans ce manifeste, les membres de ces trois groupes révolutionnaires protestaient contre « une politique prétendue socialiste, faite de compromissions...s'efforçait de substituer à la politique de classe du prolétariat militant et du parti socialiste ». Ce passage visait nettement, pour les blâmer,... | |
| Parti ouvrier français. Conseil national - Socialism - 1901 - 108 pages
...colère, pas plus qu'ils n'ont entendu limiter à la protestation d'un moment leur action commune. Il s'agissait d'en finir avec une politique prétendue...s'efforçait de substituer à la politique de classe, et par suite révolutionnaire, du prolétariat militant et du parti socialiste. La contradiction entre... | |
| Daniel Halévy - Cooperation - 1901 - 730 pages
...sortirent du groupe parlementaire en b^nçant un manifeste de rupture. « Il s'agit, écrivaient-ils, d'en finir avec une politique prétendue socialiste,...compromissions et de déviations, que depuis trop longtemps on s'efforce de substituer à la politique de classe, et par suite révolutionnaire, du prolétariat militant... | |
| Léon de Seilhac - Collectivism - 1904 - 336 pages
...colère, pas plus qu'ils n'ont entendu limiter à la protestation d'un moment leur action commune. II s'agissait d'en finir avec une politique prétendue...s'efforçait de substituer à la politique de classe, et par suite révolutionnaire, du prolétariat militant et du parti socialiste. La contradiction entre... | |
| Georges Weill - France - 1904 - 516 pages
...dirent-ils, d'en finir avec une politique prétendue socialiste, faite de compromissions et dedéviations, que depuis trop longtemps on s'efforçait de substituer à la politique de classe, et par suite révolutionnaire, du prolétariat militant et du parti socialiste1. » Le débat s'engagea... | |
| Alexandre Zévaès - Parti socialiste - 1908 - 372 pages
...et dont l'entrée de Millerand au ministère n'était que la suite logique : — y était-il dit — d'en finir avec une politique prétendue socialiste,...s'efforçait de substituer à la politique de classe, et, par sujte^. révolutionnaire, du prolétariat militant et du parti socialiste^ La contradiction... | |
| Alexandre Zévaès - Parti socialiste - 1908 - 374 pages
...moment leur action commune. Il s'agissait d'en finir avec une politique prétendue socialiste, taite de compromissions et de déviations, que depuis trop...s'efforçait de substituer à la politique de classe, et par suite révolutionnaire, du prolétariat militant et du parti socialiste. La contradiction entre... | |
| Alexandre Zévaès - Political parties - 1911 - 140 pages
...l'entrée de Millerand au ministère n'était que la suite logique: II s'agissait — y lisait-on — d'en finir avec une politique prétendue socialiste,...s'efforçait de substituer à la politique de classe, et, par suite, révolutionnaire, du prolétariat militant et du parti socialiste. La contradiction... | |
| Alexandre Zévaès - France - 1911 - 138 pages
...l'entrée de Millerand au ministère n'était que la suite logique: II s'agissait — y lisait-on — d'en finir avec une politique prétendue socialiste,...s'efforçait de substituer à la politique de classe, et, par suite, révolutionnaire, du prolétariat militant et du parti socialiste. La contradiction... | |
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