488 Vous faites bien des mines. Vous apportez de grandes difficultés. Qu'on introduise l'adjectif gris dans cette phrase, elle devient : Vous faites bien des grises mines, et signifie vous apportez de grandes difficultés accompagnées de froides mines. Cette dernière phrase fait comprendre que la suivante: Faire voir de grises mines à quelqu'un veut dire contrarier quelqu'un par la mauvaise grâce avec laquelle on le reçoit et les faits qu'on lui oppose. Or, le mot mines, comme épreuves et plusieurs autres encore, est un de ces termes d'une répétition si fréquente qu'on a fini par les supprimer et les remplacer toujours par le pronom en, d'où cette construction elliptique : En faire voir de grises à quelqu'un, pour signifier lui faire éprouver de grandes contrariétés, sens que M. Littré donne à cette expression. X un tel accent n'existant pas sur l'e qui précède le t dans le nom Claretie, cette consonne n'y peut être changée en s par la prononciation. Sixième Question. Quelle est la véritable prononciation du nom propre suivant, qui est bien connu et orthographié CLARETIE? Doit-on dire CLARETIE ou CLARECIE? J'ai entendu dire que la personne qui répond à ce nom le prononce de la première façon. Première Question. Pourriez-vous, dans un de vos prochains numéros, me donner la signification exacte ainsi que l'explication du mot CARÊME-PRENANT, par lequel on désigne quelquefois les masques du carnaval ? Pour la double raison que je vais vous dire, le nom en question doit se prononcer clar-tie, c'est-à-dire en faisant sonner le t: ÉTRANGER On appelle carême-prenant le temps des trois jours qui précèdent le mercredi des Cendres, et particulière ment le mardi : 4° M. Claretie consulté dernièrement à ce sujet par un de ses amis, qui me l'a répété à la Bibliothèque nationale, a déclaré s'appeler clar-tie. Messire Pierre de Craon avoit envoyé dès le caresmeprenant, à Paris, audit chastel, de ses valets, qui le servoient pour son corps. 2o La grammaire dit bien que la finale étie (avec un accent aigu sur le premier é) se prononce écie; mais (Froissart, IV, 28.) En lieu d'amaigrir par le jeûne de carême, elle estoit plus belle et plus fraische qu'à caresme-prenant. (Marguerite, Nouv. xxxv.) La même désignation s'applique, en quelque sorte naturellement, aux masques qui paraissent dans cette dernière partie du carnaval : Au secours, au secours! Votre fille, on l'emporte, Des caresmes-prenants lui font passer la porte. (Regnard, le Bal, sc. 18.) Comme je vais vous l'expliquer, ce proverbe a été tiré de Roland, opéra de Quinault, représenté pour la première fois à la Cour, le 18 janvier 1685. A la scène V du second acte, le théâtre représente, au milieu d'une forêt, un site délicieux dont le fond est rempli par une vaste et superbe fontaine; c'est la fontaine de l'Amour. Une « troupe d'amants enchantés », et « d'amantes enchantées », dansent autour de Médor et d'Angélique, tandis que « deux amantes enchantées »> chantent ce qui suit : Quand on prend du galon, on n'en saurait trop prendre, que l'on emploie pour dire que lorsqu'on est à même, il faut prendre tout ce qui peut être pris. Mais ce proverbe, qui a très-bien pu recevoir cette dernière forme pendant quelque période révolutionnaire (tout ce que j'ai vu à Paris depuis 1848 n'est point fait pour me dissuader de cette opinion), est certainement antérieur à la Commune, car il se trouve dans le second volume du Dictionnaire de M. Littré, volume qui avait paru bien avant 1871. ... PASSE-TEMPS GRAMMATICAL. Corrections du numéro précédent. Il est d'ordinaire de faire précéder la conjonction si de la particule que, comme dans ces façons de parler : que si j'osois, que si cela se pouvoit, etc., dans lesquelles elle n'est proprement que conjonction conditionnelle; mais dans ces autres façons de parler que si cela est, que s'il est ainsi, et dans toutes celles de même nature, elle est bien moins conjonction conditionnelle et de transition, que conjonction d'induction et de raisonnement. 1° pour s'être laissé circonvenir (invariable parce qu'ils ne circonvenaient pas); 2° ... ne pussent pas repasser les Dardanelles (le subjonctif est requis par le verbe craindre); Si tant est que, qui signifie si toutesfois, n'a plus 3o... nous ne le savons pas davantage que qui que ce soit (le guère d'usage que dans la conversation familière, j'y consens, si tant est qu'il y consente aussi, etc. 5° pronom quiconque ne s'emploie que là où il peut remplir deux va avec ... FEUILLETON ... BIOGRAPHIE DES GRAMMAIRIENS PREMIÈRE MOITIÉ DU XVIII. SIÈCLE. RÉGNIER DESMARAIS. (Suite et fin.) Des conjonctions adversatives. La principale est mais, car les autres cependant, neantmoins, pourtant, toutefois, auxquelles Régnier ajoute si est-ce que, ont à peu près la même signification. Il ne faut pas employer mais dans le sens de pourveu que, comme dans cet exemple: je le veux bien, mais que j'en aye ma part; c'est une expression du bas peuple qui est extrêmement vicieuse. Pourtant a cela de particulier qu'il ne se met guère au commencement d'un membre de période, et qu'il veut ordinairement être précédé ou de la conjonction et, ou même de plusieurs autres termes : il ne veut pas estre de la partie, et pourtant il m'avoit promis d'en estre. Avec quoy que, bien que et parce que, dont la particule que est inséparable, les conjonctions cependant, neantmoins, pourtant et toutefois ne se mettent qu'après cette particule pourveu cependant qu'il en soit d'accord. Quant à si est-ce que, il n'est plus guère d'usage (1706) que dans la conversation familière : quoy que vous luy ayez peu dire, si est-ce qu'il est résolu de partir. Des conjonctions d'exception ou de restriction. Il faut remarquer que la conjonction bien que est un peu moins en usage que les deux autres, et que encore que n'est pas si usitée que quoy que. Toutefois dans quoy qu'il en soit, on ne peut remplacer quoy que ni par encore que ni par bien que. Pour s'emploie très-bien dans le sens de quoy que, comme dans cet exemple: Et pour estre devot, on n'en est pas moins homme. Des conjonctions conditionnelles. — Si ne régit jamais le futur, qu'elle régit fort bien comme conjonction dubitative. C'est une singularité du génie de notre langue, contraire en cela à la plupart des autres, dans lesquelles la même conjonction, employée comme conditionnelle, gouverne fort bien ce temps. Pour donner plus de force et d'énergie à ce qu'on dit, on peut ajouter bien ou mesme à quand, comme dans celte phrase: Quand bien il le voudroit, quand mesme il y auroit consenti. Ce que les conjonctions pourveu que, supposé que Sçavoir si, à sçavoir si et c'est à sçavoir si ne sont proprement qu'une même conjonction. La première et la seconde sont presque renfermées dans la conversation familière, qui va toujours autant qu'elle peut à la brièveté de l'expression. Quant à la troisième, elle n'est pas tellement renfermée dans l'entretien familier, qu'elle ne puisse trouver sa place ailleurs. Quoy qu'il en soit s'emploie quelquefois avec l'addition de la préposition de, comme dans quoy qu'il en soit de tout ce que vous venez de dire. Des conjonctions declaratives. C'est d'elles qu'on se sert ordinairement pour mieux faire entendre quelque chose; ce sont sçavoir, à sçavoir, c'est-à-sçavoir, comme par exemple et c'est-à-dire. Les trois premières ne s'emploient que lorsqu'il s'agit de quelque énumération Il y a quatre éléments, sçavoir, la terre, l'eau, l'air et le feu. La construction de comme diffère de celle de comme par exemple; ce dernier veut après lui la préposition qui suit le verbe; ainsi on dit : c'est une province qui abonde en tout ce qui est nécessaire à la vie, comme par exemple, en bleds, en vins, en huiles et en bestiaux; tandis qu'avec comme, il faudrait dire comme bleds, vins, huiles et bestiaux. Des conjonctions interrogatives. L'expression d'où vient que se prend ordinairement dans le même sens que pourquoy; mais il y a une différence dans la construction du verbe qui les suit; on dit pourquoy se mesle-t-il de ce qui ne le regarde pas? et d'où vient qu'il se mesle, etc. Des conjonctions comparatives ou d'égalité. Lorsque l'on commence par comme le premier membre d'une phrase comparative, il faut mettre aussi en tête du second comme le soleil est en quelque sorte l'ame de l'univers, aussi un roy doit estre en quelque sorte l'ame de tout son estat. Quand une comparaison commence par ainsi que, on peut répéter ainsi sans que devant le second membre: Ainsi que le vent dissipe les nuages, ainsi la presence du prince dissipe les séditions. Autant se construit absolument de même. Des conjonctions augmentatives ou diminutives. Les conjonctions que Régnier appelle augmentatives sont joint que, outre que, de plus, au surplus et encore ; et celles qu'il appelle diminutives sont encore, du moins et au moins. Quoique au moins et du moins aient à peu près la même signification que pour le moins, l'usage ne laisse pas cependant de faire quelque différence quant à leur emploi; on se sert de au moins plus ordinairement que des deux autres, soit quand il est question de donner quelque avertissement, comme dans ces phrases du discours familier: Au moins n'oubliez pas de l'aller voir en passant, prenez garde au moins à vous retirer de bonne heure; soit quand il s'agit de se disculper de quelque chose, comme dans Au moins, ce n'est pas : moy qui en suis cause. Hors de là, on se sert plutôt de du moins que de au moins. Des conjonctions causales ou causatives. On ne peut pas employer car pour répondre à une question commençant par pourquoy. Partout où l'on peut employer parce que, on peut mettre à cause que. Dans le discours familier, en parlant de ce qu'on a fait au hasard, il est assez ordinaire de dire qu'on l'a fait à telle fin que de raison. Des conjonctions appellées illatives ou conclusives. — Quelquefois, au lieu de la simple conjonction or, on emploie or est-il que; mais ce n'est guère que dans les disputes vives, ou dans les discours de raisonnement. Partant est principalement renfermé dans ce qui regarde les arguments et les disputes, et hors de là, il n'est guère d'usage qu'en matière de compte: partant reste tant, partant quitte (1706). Des conjonctions de transition. — Ces conjonctions sont or, en effet, au reste, qu'on peut employer en toute sorte de style, et à propos, aprés tout, bref et pour conclusion, qui n'appartiennent guère qu'à la liberté de la conversation familière. Autrefois, au demeurant se disait dans le même sens que au reste; mais, dans ce sens, il n'est plus en usage aujourd'hui que dans le discours familier. CONTENUES DANS LA HUITIÈME ANNÉE DE CE JOURNAL A. A coup. Comment -, dans l'expression Tout à coup, en est venu Adjectifs. Principaux Correspondant aux noms de pays, p. 185. A Drancy ou Au Drancy. S'il faut dire —, p. 179. Ajet. D'où vient appoint sur un marché, p. 19. A faire ou Affaire. Si l'on doit dire : Avoir -, p. 59. Aider et Aider à. S'il y a une différence entre dans l'expression Boire à même la Al. Pourquoi les adjectifs en -ne doublent pas au féminin, p. 99. Alarme. Etymologie du substantif, p. 12. Alentour de ou A l'entour de. S'il faut écrire, p. 19. Aller piane piane. Explication de l'expression Alexandrin. Communication sur appliqué à Vers, p. 17. Alors que. Si l'on peut employer pour Lorsque, p. 92. Apostolique. Sens de dans Bénédictions apostoliques, p. 140. A qui mieux mieux. Explication de la construction Assassine. Si le mot - peut être employé substantivement, p. 11. Attendre quelqu'un comme les moines font l'abbé. Explication Avant que. Pourquoi il faut remplacer par Ne le Avant supprimé - Avoir ses hontes bues. Explication de la signification et de la Aussitôt que vous pourrez ou Aussitôt que vous le pourrez. S'il Baionnette. D'où le mot tire son origine, p. 58. Baronnette. Communication sur l'étymologie de Battre aux champs. Explication de l'expression Bêche de mer. Signification et origine de' Bêche de mer. Communication sur l'étymologie de Bleu marine et non Bleu marin. Pourquoi, p. 28. Bleu marine. Communication sur, p. 74. Bousin. Etymologie du mot signifiant Tapage, p. 75. Brésil. Le nom de a-t-il été primitivement appliqué au pays puis au bois, ou réciproquement, p. 124. Briller par son absence. Origine de la phrase -, p. 180. Brioche. Comment, genre de pâtisserie, en est venu à signifier Cadavre. Quand doit se remplacer par Corps, p. 156. Caladois. Pourquoi le nom de donné aux habitants de Ville- Calemande. Explication du substantif Calemande. Etymologie du mot, p. 161. Cajoler. Etymologie du verbe -, p. 42. Carême-prenant. Signification et explication de Ceci tuera cela. D'où vient la phrase proverbiale -, p. 76. C'est à vous à ou C'est à vous de. Peut-on dire à volonté y a-t-il entre eux une différence, p. 100. C'est de la rocambole. D'où vient l'expression -, p. 98. Chou-pille. Sens littéral de l'expression -, usitée parmi les Chou pour chou. Origine et signification de Ci-contre. Mauvais emploi de l'expression dans une phrase Cinq-Mars. Vraie manière de prononcer le nom du conspirateur Claretie. Comment doit se prononcer —, nom d'un littérateur fran- Club. La meilleure prononciation de-, p. 147. Constamment. Pourquoi dans on prononce sta et non stan, Coude-pied ou Cou-de-pied. Laquelle des deux orthographes ___ -; - Couper dans le pont. Origine et signification de-, p. 133. Cri. L'orthographe qui convient à dans Appeler à cor et à cri, Croyez cela et buvez de l'eau. Origine de l'expression Cuiller. Si le mot - doit se prononcer Kuille ou Kuière, p. 11. De champ. La véritable orthographe de l'expression —, p. 60. De champ. Communication sur —, Divaguer. Si le verbe peut s'appliquer à un chien, p. 43. Dormir sur les deux oreilles. Comment s'explique Drôle de corps. Pourquoi on appelle quelqu'un qui est ori- --- Ecoper. Etymologie de, terme de collége, p. 179. Employer toutes les herbes de la Saint-Jean. Origine de la phrase Emporter le chat. Origine du proverbe -, p. 18. En. Explication de dans Vous en avez menti, p. 4. En. Emploi du pronom dans une certaine phrase, p. 44. En faire voir de grises. Origine de l'expression En ratisser à quelqu'un. Explication de la phrase proverbiale - Faire gille. Communication sur Faire des bamboches. D'où vient l'expression, p. 50. Faire une cote mal taillée. Signification et origine de Faire un trou à la lune. Origine du proverbe Faire chou blanc. Explication de l'expression, p. 154. Fantassin. Pourquoi on dit quand on dit Infanterie, p. 164. Felibre. Communication sur -, p. 41. Fieffé. Etymologie, signification et construction de-, p. 4. Fier comme un Ecossais. D'où vient la comparaison proverbiale Fonds. Comment doit se prononcer G. Pourquoi, dans le patois drochy, initial est remplacé par Gendarme. Pourquoi on appelle un hareng saur, p. 107. Glissez, mortels, n'appuyez pas. D'où vient la phrase —, et com- ment il convient de l'employer, p. 179. Graisser les bottes à quelqu'un. Explication de l'expression fami- Granit, ou Granite. Faut-il écrire -, p. 74. Granit. Communication sur l'orthographe de Grès. Comment a pu se dire des grosses dents du sanglier, Gris. Etymologie de signifiant ivre, p. 169. Grossier comme du pain d'orge. Origine de la comparaison —, Gueldres. D'où vient le terme - de l'expression Place aux Guel- dres, une place de Saint-Denis, p. 99. Loisible. S'il faut bannir - comme vieux, p. 76. - p. 84. M. Macédoine, D'où vient le mot et comment il est entré dans la langue, p. 130. - P. 75. Mal en point. Sens et origine de siècle, p. 83. Maquiller. Communication au sujet de —, p. 129. Mastroquet. Etymologie de-, nom populaire des marchands de vin, p. 108. - P. 90. Mazagran. Pourquoi un café sans eau-de-vie s'appelle —, p. 154. P. 113. Obéi. Si le participe —, qui appartient à un verbe neutre, peut s'employer au passif, p. 115. O gue. Communication sur -, P. 58. O gué. Seconde communication sur, p. 105. On peut le voir d'ici ou On le peut voir d'ici. Faut-il dire —, p. 163. On vous en casse. Pourquoi est mis En dans Orse. Justification du féminin pour genre de-, p. 156. P. Paraguante. Comment doit se prononcer -, p. 20. Pardonnable. Si l'adjectif peut se dire des personnes, p. 91. Pas mal. Comment l'adverbe de manière a pris le sens de quantité, p. 53. Patois. Etymologie du mot p. 84. Payer en chats et en rats. Explication de l'expression P. 25. Payer en chats et en rats. Communication sur p. 57. Périssent les colonies plutôt qu'un principe. Quand on peut employer et d'où vient, p. 139. - Petit bonhomme vit encore. Origine et emploi de -, p. 140. Qualitatif et Quantitatif. Opinion sur les adjectifs, p. 28. - Que... qui. Explication de la tournure —, p. 73. DE LA TOUCHE, numéros 1, 2, 3, 4, 5 et 6. -, p. 66. pronom personnel après lui, p. 83. Qui. Explication de dans Il n'y a pas d'homme si sage qui ne commette des fautes, p. 108. - veut un Qui a bon voisin a bon matin. Sens du proverbe dans la phrase On ne peut la R. Regarder. Si l'on peut mettre · voir sans la regarder, p. 162. Remercier. Si le verbe veut après lui De ou Pour, p. 172. Remporter une veste. Origine de l'expression —, p. 109. Retourner. Si le verbe - peut s'appliquer à une lettre, p. 92. Réussi. S'il est vrai que le participe ne puisse s'employer au passif, p. 157. Rien. Emploi de pour Quelque chose, p. 34. Rien moins et Rien de moins. Quand il faut dire -, p. 91. Rire comme un bossu. Explication de la comparaison —, p. 170. Rue du Regard (la). Pourquoi une rue de Paris s'appelle P. 51. Rue du Helder. Pourquoi une certaine rue de Paris porte le nom de, p.107. Rue de la tombe Issoire. Pourquoi il y a une rue à Paris qui s'appelle, p. 178. Ruisseau de la rue du Bac (le). Origine de S. Sabler. Etymologie du verbe -, avaler tout d'un coup, p. 27. Sabler le champagne. Communication sur —, P. 121. Sauce à la tartare. Pourquoi une sauce a été appelée Saute, marquis. Explication de l'expression p. 100. Se croire le premier moutardier du pape. Origine de Se faire bien venir de quelqu'un. Comment on peut rendre compte de - p. 163. P. 106. P. 2. Se faire tirer l'oreille. Origine de l'expression Semaine des deux jeudis (la). Pourquoi on ne dit pas signifier Jamais, p. 171. p. 36. Se mettre en quatre. Communication sur -, p. 34. d'orthographe, p. 44. Septante, Octante, Nonante. Depuis quand ne s'emploient plus en français, p. 67. P. 4. Se tenir à quatre. Explication de -, p. 12. que devant I, p. 67. Si. Dans quels cas on peut employer pour Aussi, p. 147. Six blancs. Véritable sens de- dans l'expression Je n'en donnerais pas six blancs, p. 140. Si vous vouliez bien ou De vouloir bien. Après Je vous serais oblige, est-il indifférent de dire -, p. 116. Soucier. Si le verbe veut le nom de celui qui éprouve le souci comme régime direct, ou comme régime indirect, p. 139. Souliers à poulaine ou à la poulaine. S'il faut dire P. 10. Sourd et muet ou Sourd-muet. S'il faut dire - p. 68. Sous ce rapport. Si l'on peut employer — dans le sens de Par ce côté, p. 116. T. Talmelier. Communication sur l'étymologie de —, p. 145. Te. S'il est permis d'employer le pronom comme terme redon dant, p. 107. Tirer son épingle du jeu. Communication sur -, p. 1. U. BIOGRAPHIES DONNÉES. | REGNIER DESMARAIS, numéros 7, 8, 9, 10, 11 Imprimerie GOUVERNEUR, G. DAUPELEY à Nogent-le-Rotrou. pour Un mariage à la cruche cassée. Si l'on peut appeler une union illegitime, p. 42. Un vin à faire danser les chèvres. Comment a pu se dire pour un mauvais vin, p. 98. V. ... Vasingue ou Wassingue. Si est français, p. 155. Villon. Comment on doit prononcer, nom d'un poète, p. 26. ― Y. Y. Où doit se placer le pronom accompagné d'un autre pronom personnel, après l'impératif, p. 3. " 24. |