Dans toute proposition renfermant un adverbe de comparaison, il est certainement loisible de remplacer l'expression pour cela par en; mais je n'ai jamais. vu d'exemple où ces deux équivalents fussent employés en même temps. Or, si l'emploi de en dans le vers de Molière n'est pas permis à cause de mal qui se trouve après vouloir il l'est seulement, je crois, lorsqu'il s'agit de phrases exclamatives sous forme d'interrogation), et s'il ne l'est pas non plus à cause de pour cela, il ne l'est d'aucune manière, et je n'ai point commis d'erreur en le signalant comme une vraie faute, puisqu'il offense en quelque sorte doublement la syntaxe. Du reste, même en supposant que je me trompe et que la redondance de en puisse avoir lieu avec vouloir mal ou du mal et avec pour cela, il est facile de prouver que, dans le cas actuel, cette redondance serait encore une construction blâmable. En effet, une des qualités essentielles du style, c'est la clarté, et toute équivoque est une faute contre cette qualité première. Or, si en redonde dans le vers de Molière, à quoi se rapporte-t-il? Est-ce à pour cela, ou est-ce à mal, qui sert de régime à vouloir ? Personne ne le saurait dire, le pronom en ayant la propriété de se mettre aussi bien pour l'un que pour l'autre. L'emploi de ce mot constitue donc ici une équivoque, et, partant, justifie ma critique une fois de plus. Je remercie bien sincèrement M. le docteur Anselme Ricard de m'avoir adressé la communication à laquelle je viens de répondre, et de m'avoir fourni ainsi l'occasion d'expliquer plus amplement les raisons qui me font considérer la présence du pronom en dans le vers de Molière comme tout-à-fait inadmissible. X Dans votre numéro 14, p. 108, vous dites que l'expression AVOIR LA TÊTE PRÈS DU BONNET contient « une vérité à la Palisse ». Qu'est-ce que cela veut dire, je vous prie, car cette expression n'est point dans les dictionnaires français, même les plus récemment publiés? Parmi nos chansons populaires, il s'en trouve une de 54 couplets intitulée Monsieur de la Palisse. Cette chanson, qui a été composée par Bernard de la Monnoye, poète et littérateur, né à Dijon en 1641, et mort en 1728, a ceci de remarquable que chaque couplet est formé d'un quatrain se terminant par deux vers dont l'un, comme vous l'allez voir par quelques citations, est une espèce de périssologie : Monsieur, vous plaît-il d'ouïr La Palisse eut peu de bien Or, comme avoir la tête près du bonnet constitue, au propre, une vérité qu'il est complètement superflu d'exprimer, puisqu'elle résulte du sens même du mot bonnet, j'ai cru pouvoir dire que ce proverbe renfermait une vérité à la manière de celles qui se rencontrent d'un bout à l'autre de Monsieur de la Palisse, et, par abréviation, « une vérité à la Palisse ». X Pourquoi une personne quelque peu souffrante ditelle qu'ELLE N'EST PAS DANS SON ASSIETTE? Cette expression m'a frappé étant dite par quelqu'un qui venait de s'asseoir à table à côté de moi. Il ne s'agit nullement ici, comme vous le pensez bien, de l'assiette, vaisselle plate et large sur laquelle on mange. Cette expression fait allusion à l'assiette, manière, soit de se poser ou d'étre posé, soit de se tenir à cheval, comme dans ces exemples: Ce malade est inquiet, et ne peut demeurer longtemps dans la même assiette. (Furetière, Dictionn.) Un bon cavalier ne perd jamais l'assiette. (Littré, Dictionn.) Les hommes errants dans les bois ayant pris une assiette plus fixe, etc. LE COURRIER DE VAUGELAS. PASSE-TEMPS GRAMMATICAL. (J.-J. Rousseau, Orig. 1.) On dit qu'on n'est pas dans son assiette pour signifier BIOGRAPHIE DES GRAMMAIRIENS qu'on n'est pas dans son état accoutumé, dans sa disposition habituelle de corps ou d'esprit. SECONDE MOITIÉ DU XVII. SIÈCLE. Corrections du numéro précédent. -- ... 1 ... D'énormes piliers (le mot pilori ne s'emploie que dans le sens de poteau pour attacher un criminel); - 2... ce langage nous ont tout l'air; 3°... Alors que c'est fait de lui (le en tiendrait ici la place de de lui : il est inutile); - 4 Ne laissent pas de (sans que, conformément à ce qui a été dit dans le Courrier de Vaugelas, 4 année, p. 155; -5° ... N'est rien autre qu'une machine, ou, n'est pas autre chose (Voir Courrier de Vaugelas, 7° année, p. 91); -6° s'est donné trop de peine; -7° En un mot, et à peu d'exceptions près; 8. le gardechampêtre sont tout près. ... ... Phrases à corriger trouvées pour la plupart dans la presse périodique et autres publications contemporaines. 1• Le même M..., qui porte un grand nom sans que ce soit de sa faute le moins du monde, est extrêmement vaniteux. 2. M. Martel, ministre de la justice, doit soumettre à la signature du président de la République des nouveaux décrets accordant des grâces à près de quatre cents con. damnés pour faits politiques. 3. Puissent les prévisions de ces hommes placés assez hauts pour bien voir et ne rien dire, n'être pas de vaines et vides déclamations officielles. 4. Il refuse de parler de Marie Le Manach à toute autre personne qu'aux magistrats de l'instruction. L'une de ses distractions est de lire le Mémorial de Sainte-Hélène. 5. Livre merveilleux, qui s'empare du lecteur et le tient fasciné, les Mémoires d'un chasseur, frappèrent un grand coup, et, comme on l'a bien dit, jamais renommée ne fut mieux méritée. Livre vécu, dans le sens le plus large de ce mot, etc. 6. On vient de placer dans les galeries du Muséum d'histoire naturelle de Paris, le moulage en plâtre d'un hydrocéphale le plus extraordinaire que l'on ait jamais vu. 7. S'il en est ainsi, le Français a mieux à faire qu'à se leurrer lui-même à complimenter d'une manière paterne M. Dufaure. 8. Oui, mes amis, terminait-il, quand on n'empale pas un fonctionnaire en disgrâce, on le pend. On appelle cela le suspendre de ses fonctions. 9. La sonnette du président s'agite vivement. Le tumulte continue et ne s'apaise que par degré. On dirait un entrecroisement de fusées à la Congreve entre républicains et bonapartistes. 10 Aux quatre coins étaient fixés des panaches de plumes d'autruches, mi-partie noires et mi-partie blanches. C'était d'une nouveauté rare. (Les corrections à quinzaine.) FEUILLETON. (Suite.) Femme poëte, Femme philosophe. Il faut dire cette femme est poëte, philosophe, medecin, auteur, peintre, et non poëtesse, philosophesse, medecine, autrice, peintresse. On doit en cela déférer à l'usage qui donne la terminaison féminine à certains mots pour le genre féminin, et qui ne la donne pas à d'autres. Feu, Feüe. On dit feu au masculin, et feüe au féminin: la feüe Reyne. C'est confirmé par l'usage de tous les honnêtes gens. Fondement, Fondation. - Il y a des gens qui disent les fondations d'un bâtiment pour dire les fondemens; mais c'est mal parler. Fondation a un sens bien différent c'est proprement le jet des fondements, et non les fondements mêmes. Nicolas ANDRY. Fortuitement. Quelques personnes préfèrent par hazard; mais c'est par un vain scrupule; fortuitement est aussi bon, et quelquefois même beaucoup meilleur. Foudre. Le P. Bouhours prétend qu'on ne dit un foudre qu'au sens figuré, un foudre de guerre; mais Andry ne voit pas ce qu'il y aurait de ridicule à dire Quand le sublime vient à paroistre, il renverse tout comme un foudre. 433 Fourbe, Fourberie. Quelques personnes se servent de ces deux mots indifféremment; néanmoins, écrivant à M. Costar à leur sujet, Voiture signale entre eux quelque diversité de signification: fourberie ne se dit-il point de la mauvaise foi en général, et fourbe de l'action de mauvaise foi en particulier? Fumée. S'emploie ordinairement au singulier dans le sens propre; on ne dit point les fumées des cheminées; mais dans le figuré, on le met au pluriel : les fumées qui montent au cerveau. Futile. Ce terme n'est pas d'usage, et Andry est surpris qu'un habile écrivain ait dit toute la littérature Grecque estoit futile et impertinente en comparaison de celle des Egyptiens (1689). Galant. On dit c'est un galant homme en parlant d'un homme d'esprit, enjoué, agréable; mais homme galant marque un homme qui a de certaines passions qu'il ne devrait point avoir. Genre douteux. Il ne faut pas dire ton corps que et ta teste sont beaux, mais bien sont belles : c'est Hypercritique. Ce mot se dit quelquefois dans le style familier. Ménage s'en est servi; néanmoins, quelques-uns trouvent ce terme un peu pédantesque. Jardin des Olives, Jardin des Oliviers. Plusieurs préfèrent jardin des Oliviers comme plus français; mais d'autres disent jardin des Olives. Andry croit que jardin des Oliviers est plus du bel usage. Il est demain feste. Cette manière de parler est assez bizarre et fait bien voir ce que peut l'usage: selon les règles, il faudrait dire il sera demain feste. Impie. Comme on dit un homme impie, il semble qu'on devrait dire aussi un homme pie; mais l'usage s'y oppose. Improbation. C'est un fort bon mot, et l'usage l'a reçu depuis quelques années, malgré l'opposition de certains critiques (1689). - Inaccoûtumé. Ce terme, qu'on attribue à Ronsard, avait vieilli; mais on l'a fait revivre il n'y a pas temps, et Pascal l'a employé. Terme nouveau, mais qui est fort bon et Inaction. fort en usage. Incontinent. Bien des gens ont fait le procès à ce mot; mais il faut n'avoir aucun usage du monde, ni aucune connaissance de nos auteurs français pour le condamner. Nos meilleurs écrivains s'en servent. Indélébile. Ce mot n'est pas bon; autrefois on disait indéleble; mais aujourd'hui (1689), on ne dit ni l'un ni l'autre; il faut dire inéfaçable. Inscription, Suscription. En parlant du dessus des lettres, on dit suscription, et inscription se dit ordinairement de ces titres qui s'écrivent au-dessus des portes des bâtiments, et au-dessus des arcs de triomphe. Intérieur, Interne. Le premier regarde l'esprit, et Termes inutiles. Juste, Justement. -Ces deux mots sont fort différents justement signifie avee justice, et juste avec justesse. Il faut dire d'un homme qu'il raisonne juste, et non pas justement. Isolé. Pour séparé comme une isle, il n'est pas en usage au figuré, quoique dans le sens propre il soit fort usité une maison isolée, une figure isolée, autour desquelles on peut tourner. Ce mot vient de l'italien isola, qui signifie une isle. Labeur. Ce mot ne se dit point; c'est un terme qui a vieilli et qui ne se trouve plus que dans les livres << gaulois ». Le, Luy. On demande s'il faut dire la fièvre luy prit, ou la fièvre le prit. Plusieurs personnes pensent que l'un et l'autre « est bon ». Néanmoins Andry croit que le premier est le meilleur. Le P. Bouhours dit toujours luy prit. L'est-ce, Est-ce luy. En parlant d'une chose, on dit l'est-ce; en parlant d'une personne, on dit est-ce luy. Si l'on parle au pluriel, il faut dire sont-ce là mes Livres? ouy, ce les sont, et non ce sont eux; sont-ce là ces Messieurs? ouy, ce sont eux, et non, ce les sont. Logis, Maison. Ceux qui parlent bien disent : il est venu au logis, il a diné au logis; il n'y a que le petit peuple qui dise à la maison (1689). et Magister. Quoique latin, ce mot peut s'employer quelquefois agréablement dans le style railleur. Maniment. Ne se dit point dans le sens propre naturel; il faudrait ne pas savoir le français pour dire, par exemple, qu'il y a des aveugles qui connaissent les pièces fausses au maniment; il faut dire à les manier. Matter sa chair. - Cette expression est d'usage. A la long-vérité, il y a des personnes à qui elle ne plait pas, mais c'est être trop délicat que de ne pas l'admettre. Marmaille. Ce mot n'a place que dans le discours familier; venant du grec puppáxes, fourmi, il ne s'emploie que par raillerie qu'on chasse d'icy toute cette marmaille équivaut à qu'on chasse d'icy toute cette armée de fourmis. Menées. Quelques personnes aiment mieux qu'on dise pratiques, intrigues; néanmoins, menées est fort bon, et plusieurs auteurs s'en servent: Durant ces menées, Artabaze arrive. (La suite au prochain numéro.) LE REDACTEUR-GEBANT: EMAN MARTIN. BIBLIOGRAPHIE. OUVRAGES DE GRAMMAIRE ET DE LITTÉRATURE. Publications de la quinzaine : Œuvres de Lamartine. Les Confidences. Nouvelle édition, publiée par les soins de la Société propriétaire des œuvres de Lamartine. In-18 jésus, 394 p. Paris, lib. Hachette et Cie. 3 fr. Poëtes et Amoureuses, portraits littéraires du XVIe siècle; par Prosper Blanchemain, de la Société des Bibliophiles français. T. I. In-18, 223 p. et 3 portraits. Paris, lib. Willem. L'ouvrage complet (2 tomes), 10 fr.; avec port. doubles, 15 fr. Le Meneur de loups; récit de village; par Alfred des Essarts. In-12, 223 p. Paris. lib. Lecoffre fils et Cie. 1 fr. 25 cent. Etude sur la philosophie en France au XIXe siècle. Le socialisme, le naturalisme et le positivisme; par M. Ferraz, professeur de philosophie à la Faculté des Lettres de Lyon. In-8°, xxx1-482 p. Paris, lib. Didier et Cie. 7 fr. 50. Le Lien des peuples, poésies par Antonin Martin, Gaetano Belluzzi, L. de Préville, L. Oppepin, Ch. Manso, le capitaine Bonnefoy, V. Froment, J. A. Fauché, Garau, etc.; publiées par Evariste Carrance. In-8°, 716 p. Bordeaux, 7, rue Cornu. 10 fr. Nouvelles et Contes; par Alfred de Musset. Avec un port. de l'auteur gravé par M. Alph. Leroy et une eauforte de M. Lalauze, d'après Bida. T. 3. In-32, 475 p. Paris, lib. Charpentier et Cie. 4 fr. Mémoires d'un assassin. Cyrille; par Louis Ulbach. In-18 jésus. 424 p. Paris, lib. Calmann-Lévy. Le Baiser fatal; par Charles Valois. In-18 jésus, 428 p. Paris, lib. Dentu, 3 fr. Marcelle, ou les Préludes de la Révolution française. Traduit librement de l'anglais par Mme ArbousseBastide. In-12, 370 p. Paris, lib. Bouhoure et Cie. Journal de Cléry. Relation des événements de la tour du Temple pendant la captivité de Louis XVI. In-12, 120 p. Limoges, lib. E. Ardant et Cie. Une pointe en Espagne, en Portugal et au Maroc, et retour par l'Algérie, 1868; par le comte Robert des Maisons. Eaux-fortes de Jules Adeline. In-8°, 303 p. Rouen, lib. Deshays. Le Roman d'un prince russe; par P. N. Fortunio. Gr. in-18, 350 p. Paris, lib. Dentu. 3 fr. Auguste Comte et la Philosophie positive; par E. Littré. 3e édition. In-8o, x1-679 p. Paris, bureaux de la Philosophie positive, 16, rue de Seine, 8 fr. Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et leur décadence; suivies de la Dissertation sur la politique des Romains dans la religion, du Dialogue de Sylla et d'Eucrate, et de Lysimaque; par Montesquieu. Nouvelle édition, précédée d'une notice sur l'auteur, accompagnée de notes etc., par L. Grégoire, professeur. In-12, xx1-240 p. Paris, lib. Belin. Voyages autour du monde et dans les contrées les plus curieuses du globe, depuis Christophe Colomb jusqu'à nos jours, par les plus célèbres navigateurs; mis en ordre par William Smith. Illustrés de pl. sur acier. 12 vol. in-8°, LXXVI-4805 p. Paris, lib. de l'Encyclopédie du xix siècle. Publications périodiques : - - CONCOURS LITTÉRAIRES. SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE, SCIENTIFIQUE ET LITTÉRAIRE DE BÉZIERS. Concours pour l'année 1877. Dans la séance solennelle qu'elle tiendra le Jeudi de l'Ascension, 10 mai 1877, cette Société décernera un rameau de chêne en argent à la meilleure pièce de vers français. Les sujets politiques sont exclus du Concours. Les pièces destinées au Concours ne seront pas signées. Elles devront être lisiblement écrites, et adressées en double copie et franches de port, avant le 1er avril prochain, terme de rigueur, à M. le Secrétaire de la Société. Chacune portera une épigraphe qui sera répétée sur un billet cacheté, renfermant, avec le nom, la profession et le domicile de l'auteur, la déclaration qu'elle est inédite et qu'elle n'a pas été présentée à d'autres Sociétés. - Les pièces envoyées au Concours ne seront pas rendues. ― année. Nouvelle série, 2° année (1877). — Prix d'abon- Paris, SOCIÉTÉ ACADÉMIQUE DE SAINT-QUENTIN. Concours de l'année 1877 Poésie le sujet est laissé au choix des concurrents. Cantates: le sujet est laissé au choix des concurrents. Les pièces envoyées au Concours devront remplir les conditions exigées par le Conservatoire national de musique pour le prix de Rome, c'est-à-dire être à personnages (une voix de femme et deux voix d'hommes), et contenir des récitatifs, un ou deux soli, un duo et un trio final. La Cantate couronnée en 1877 servira de texte pour le concours de musique qui aura lieu en 1878. Ces Concours seront clos le 1er mars 1877. GAZETTE DES LETTRES, DES SCIENCES ET DES ARTS, paraissant le fer, le 10 et le 20 de chaque mois. Directeur D. de Liversay. Prix par an 8 fr. pour Paris et les départements; 10 fr. pour l'Etranger (Europe); un numéro 25 centimes. Paris, direction et administration, 12, boulevard Montmartre. - L'ACADÉMIE FRANÇAISE propose l'« ELOGE DE BUFFON » pour sujet du prix d'éloquence à décerner en 1878. Les ouvrages envoyés à ce concours ne seront reçus que jusqu'au 31 décembre 1877, terme de rigueur. Ils devront porter une épigraphe ou devise qui sera répétée dans un billet cacheté joint à l'ouvrage. Ce billet contiendra le nom et l'adresse de l'auteur, qui ne doit pas se faire connaître. Les ouvrages envoyés au Concours ne seront pas rendus, mais les auteurs pourront en faire prendre copie. AGENCES AUXQUELLES ON PEUT S'ADRESSER : SOCIÉTÉ LITTÉRAIRE, SCIENTIFIQUE ET ARTISTIQUE D'APT. Concours de poésie française pour l'année 1876-1877. RENSEIGNEMENTS A l'usage des Français qui désirent aller professer leur langue à l'étranger. LA SOCIÉTÉ D'AGRICULTURE, COMMERCE, SCIENCES ET ARTS DU DÉPARTEMENT DE LA MÁRNE décernera, en 1877, une A PARIS : M. Pelletier, 19, rue de l'Odéon; (M. Hartwick, 390, rue St-Honoré, à Paris, se charge des insertions.) M. Eman Martin, Rédacteur du Courrier de VaugELAS, est visible à son bureau de trois à cinq heures. Imprimerie Gouverneur, g. DAUPELEY à Nogent-le-Rotrou. -- Mme veuve Simonnot, 33, rue de la Chaussée-d'Antin; A LIVERPOOL: M. le prof. Husson, Queen's College; — A NEW |