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Publiées sous la direction de M. AD. REGNIER, membre de l'Institut, sur les manuscrits, les authentiques et les plus anciennes impressions avec variantes, notes, notices et portraits,

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LA SOCIÉTÉ D'ÉDUCATION DE LYON a mis au concours pour 1876 le sujet suivant : Préciser ce que per l'instituteur primaire, en ce qui concerne l'éducation de ses élèves; indiquer par quels moyens il accom cette partie de sa tâche. Le prix sera de 500 fr., décerné dans la séance publique de 1876, sous le no la ville de Lyon. Les mémoires devront être adressés franco, avant le 1er Septembre prochain libraire, 4, rue de la Bourse, à Lyon.

LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES, BELLES-LETTRES ET ARTS de Tarn-et-Garonne propose pour cette année 1876 d'or de la valeur de 200 fr. à la meilleure œuvre de poésie lyrique (ode, poème, stances, etc.); une méc de la valeur de 100 fr. à la meilleure pièce de genre (conte, ballade, fable, etc.); et une médaille d valeur de 50 fr. au meilleur groupe de trois sonnets. Toutes demandes de renseignements devront ê au Secrétaire de la Société, à Montauban.

ACADÉMIE DES POÈTES. Les écrivains encore étrangers à l'Académie des poètes, qui voudraient pre concours ouvert pour la Xe Olympiade, devront adresser franco cinq poésies inédites à M. Élie de Bir de la Société, rue des Missions, 22, à Paris. Ces poésies ne doivent point toucher à la politique, elles n plus rien renfermer d'immoral, d'irréligieux ou de diffamatoire. - Un grand nombre de médailles de vern de bronze, de divers modules, seront décernées à la suite de ce concours.

-

LE TOURNOI POÉTIQUE et littéraiRE, organe de la Société des Amis des lettres, journal rédigé par ses (4° année, mensuel, - 32 p. in-8o, elzévir). Poésie, littérature, arts, sciences, morale, nouvel fantaisies, chroniques. CONCOURS POÉTIQUES ET LITTÉRAIRES. Prix Médailles de bronze, livres, Abonnement: 10 fr. par an. (Envoi gratuit d'un numéro spécimen.) Bureaux: 12, boulevard Montmat

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ACADÉMIE DES LETTRES DE ROUEN. Prix à décerner en 1877 pour un conte en vers de 100 vers : S'adresser au secrétaire perpétuel, M. Julien Loth.

RENSEIGNEMENTS OFFERTS AUX ÉTRANGERS.

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Tous les jours, les dimanches et les fêtes exceptés, le Rédacteur du Courrier de Vaugelas indique aux 1 lui font l'honneur de venir le consulter: 1o des professeurs de français; 2o des familles parisiennes q des pensionnaires pour les perfectionner dans la conversation française; 3o des maisons d'éducation pre particulier de l'étude du français; 4 des réunions publiques (cours, conférences, matinées littéraires parle un très-bon français; 5o des agences qui se chargent de procurer des précepteurs, des institu gouvernantes de nationalité française.

(Ces renseignements sont donnés gratis.)

M. Eman Martin, Rédacteur du COURRIER DE VAUGELAS, est visible à son bureau de trois à cinq

Imprimerie GOUVERNEUR, G. DAUPELEY à Nogent-le-Rotrou.

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ABONNEMENTS:

Se prennent pour une année entière et partent tous de la même époque. S'adresser soit au Rédacteur soit à un libraire quelconque.

ferait, s'il avait la possibilité de se faire des rentes avec la
vie d'un mandarin.

Recevez, Monsieur, l'assurance de mes sentiments dis-
tingués.

Un de vos abonnés,
A. S.

J'ai dit et prouvé que l'expression dont il s'agit a été attribuée à J.-J. Rousseau par Balzac (Père Goriot, t. I, p. 380); de plus, j'ai cité la phrase qui la renferme, phrase servant d'épigraphe, avec le nom de Bousseau, à une chanson de Louis Protat, intitulée Tuons le mandarin. Je suis donc fondé à croire que Rousseau est bien l'auteur de cette expression; mais à quel endroit de ses œuvres se trouve-t-elle ? C'est une question à laquelle je ne puis répondre aujourd'hui, étant pris aussi complètement à l'improviste que le jour où j'ai reçu la communication qui me l'a

transmise.

Je ferai cette recherche aussitôt que je pourrai m'en occuper.

II.

Dans mon dernier numéro de la 6e année, p. 188, j'exprimais l'espoir que quelque abonné de Toulouse voudrait bien m'adresser des renseignements sur Croquetaco, le Croquemitaine de cette ville à la fin du XVIIe siècle.

M. Firmin Boissin s'est empressé de répondre à mon appel par une longue lettre.

Après avoir constaté que Croquetaco n'est pas connu parmi les Croquemitaines actuels de Toulouse (qui sont le Babau, la Cambocruso, la Patarraugno, le Barrabiù et la Sarramauro), mais qu'il fait encore les frais des veillées dans le département du Tarn, le rédacteur en chef du Messager continue en ces termes :

Un jeune homme de Buzet, commune de la Haute-Garonne, limitrophe du Tarn, se rappelle avoir entendu raconter, dans le village de Layolle, du côté de Béziers, où il travaillait en qualité de maçon, le conte de Crocotaco (ici l'orthographe du mot est encore différente). Le conteur était précisément de Gaillac (Tarn). Ce Crocotaco, à l'entendre, était fils de Crocomar, lequel, ainsi que son nom l'indique, faisait ses fredaines sur mer. Crocotaco jugea plus convenable

A

H

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et moins fatigant d'agir sur terre. Il s'établit sur les bords
du Tarn et se mit à voler les petits enfants pour les man-
ger absolument comme l'ogre du Petit-Poucet. Plus tard,
les enfants se méfiant et le gibier devenant rare, Croco-
taco employa' la ruse pour satisfaire ses goûts. Il alla même
quelquefois jusqu'à s'introduire dans les maisons par la
cheminée.

IV.

La lettre qu'on va lire, reçu une faute que j'aurais commi d'un participe:

Monsieur le rédacteur,

Vous aviez donné comme phr d'événements, que de phases div dérouler ».

Vous aviez corrigé en mettant a

Je tiens ces derniers détails d'un philologue de mes
amis, M. Paul Barbe, lequel habite précisément la com-
mune de Buzet. M. Barbe explique l'étymologie de Croque-
taco par deux mots de la vieille langue gasconne aujour-s'accordant avec phases seul.
d'hui tombés en désuétude: les mots croco (diable) et la-
quan (traître). Autrement dit : le diable traître (crocotaquan,
et par syncope crocotaq).

Si ces renseignements ne viennent pas corroborer
mon étymologie de Croquemitaine, ainsi que j'avais cru
pouvoir l'espérer, ils ont du moins cet avantage qu'ils
ne laissent pas subsister plus longtemps l'idée que ce
nom et Croquetaco pourraient être d'une composition
analogue, comme ayant leur première partie commune
et une signification identique.

III.

La lettre suivante propose une nouvelle étymologie de
Faire ripaille, expression dont j'ai déjà eu l'occasion
d'entretenir mes lecteurs :

Modane (Savoie), le 22 avril 1876.
Monsieur le rédacteur,

A propos de vos recherches sur l'origine de faire
ripaille, vous dites que le séjour d'Amédée VIII au château
de Ripaille n'a pas pu donner prétexte à cette locution, et
que Furetière la donnait, en 1727, comme étant inconnue
en Savoie.

Le célèbre académicien pourrait presque en dire autant de nos jours, et il est constant qu'Amédée VIII illustra le manoir de Ripaille par sa sagesse et non par des goûts d'intempérance et de dépravation.

Mais ne pourrait-on pas trouver la source de l'expression dont il s'agit dans la Société des Francs-buveurs, qui avait pour quartier-général une maison de campagne appelée Ripailles, à Villeneuve-lez-Avignon, bien que cette Société n'ait été créée qu'en 1703 par M. de Posquière, célèbre en son temps à titre de buveur et de gourmet? (V. Grand Dictionnaire universel de Larousse, t. II, p. 888).

Je vous livre cette réflexion, dût-elle ne vous paraître d'aucune valeur.

Veuillez agréer, Monsieur le rédacteur, l'expression de mes sentiments bien respectueux.

SAINT-JOURS,

Lieutenant des Douanes.

J'ai dit, el, je crois, avec raison (Courrier de Vaugelas, 6e année, p. 106), qu'avec le verbe faire et un nom de lieu, notre langue n'avait jamais composé d'expressions signifiant goûter des plaisirs semblables à ceux qu'offre ce lieu; qu'elle n'avait jamais dit, par exemple, faire Capoue, faire Corinthe, faire Paris, etc.

Par conséquent, la maison de campagne de Ripailles à Villeneuve-lez- Avignon, quoiqu'étant le quartier général des Francs-buveurs, n'a pu, à mon avis, suggérer faire ripaille.

D'un autre côté, le mot ripaille, dans cette expression, s'emploic au singulier, tandis qu'avec l'étymologie de M. Saint-Jours, il devrait nécessairement se mettre au pluriel: c'est une autre preuve, il me semble, que cette étymologie n'est pas la bonne.

Mais voici que, par sa lettre insér du 15 de ce mois, M. Adéma vou vous êtes pas trompé, s'il ne fau masculin pluriel, se rapportant à qu'à phases. Et vous vous empress teur, de vous soumettre à cette méritez pas. Permettez-moi donc de

Et d'abord M. Adéma, si sa rectific ne devrait pas la borner à l'accord d jusqu'à la construction de la phrase, masculin événements, qui détermine dernier.

Mais non; M.. Adéma n'est fondé qu'il propose ni dans celle qui en s En voici la raison : 1

Les deux noms événements et phas deux choses distinctes, mais bien chose. L'auteur a d'abord l'idée des é sidérant que ces mêmes événements s terminés par séries ayant divers aspec phases, et il substitue, comme renda pensée, ce dernier nom au premie compte plus.

C'est donc avec phases seul, avec le r participe vues doit s'accorder. Vous n sieur le rédacteur, vous en dédire. Veuillez agréer l'assurance des sen votre abonné.

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qu'avec la correction que j'ai indiqué (vus à la place de vues), on devrait m

après phases, et cela, probablement, afin après phases, et cela, probablement, afin

de l'euphonie, le masculin vus ne suiv féminin.

Mais cet ordre est tout simplement avant de songer aux phases des événem me semble, que l'esprit songe d'abo ments eux-mêmes, ce qui nécessite l'em non avant, mais après événements.

Du reste, vus sonnant comme vues, e séparé de phases par trois mots, je ne vois vénient pour l'euphonie à ce que le parti au masculin; cette phrase, en effet, n'off l'oreille que le père et la mère sont bons

ne.

e mèrè n'a jamais été, que je sache, | que, cour de maison, endroit à battre le grain, et quelquefois lieu de réunion, s'est employé chez nous dans ces divers sens, et surtout en parlant des oiseaux de proie pour désigner leur retraite, leur nid:

graphe. M. A. Aubin ne voit même chose » dans événements et ôt il ne voit que phases, avec lequel De s'accorde. Mais M. Adéma (dont trouve, lui, une différence entre qu'il offre, c'est-à-dire qu'il voit s mêmes mots, et veut, en conséau masculin pluriel. versaires a raison?

Sceptible d'une double entente, je ui, tout en écrivant à sa façon, ondamner celle de l'autre.

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660) que larigau a deux signiuyau de la respiration, et celle = «clowns » dans quelques qu'on ne soit pas étonné de de larigot; car, puisque, de ellent encore le gosier winde tuyau à l'air, et que nous u pour signifier une flûte gos, désignant le gosier en troduit en français pour y ment, qui, sauf les trous, définitive, qu'un tube, un -e, en vertu de cette analoidentique du gosier et de e flûter dans le double sens re?

Ile de larigot étant donnée, 'explique aisément : c'est e en ayant le cou tendu,

on sable.

zle Courrier de Vaugelas estion a été bien plus lon

stion.

nt du latin AER, a-t-il pu lui de APPARENCE, EXTÉmple, dans l'expression

Salomons de Bretaigne fu en pié en mi l'aire.

(Saxons XXXI.)

Le vaultour est chose bien rare, et mal aisée à veoir, et ne treuve l'on facilement leurs aires.

(Amyot, Rom. 14.)

Or, comme dans le langage de la vénerie, on disait en parlant d'un faucon, qu'il était de bonne aire pour dire de bon nid, de bonne origine, aire a d'abord été appliqué aux personnes dans le sens de famille, extraction, naturel, manière d'être, disposition, caractère, humeur, comme le font voir ces exemples:

Ahi! culvert! malvais hom de pute aire!

(Chanson de Roland, p: 67.)
El gentilz hom, chevaler de bone aire,
Hoi te cumant al glorius celeste.

Ne nos seies plus de mal aire, Kar benignes e humilianz Sumes à faire tes talanz.

(Idem, p. 188.)

(Chr. des D. de Norm., t. I, p. 591, vers 14815.) Plus tard, de même que le latin habitus, qui du sens de état du corps, complexion, nature, disposition, en était venu à signifier extérieur, dehors, aspect, et jusqu'à habillement, costume ; de même le français aire en vint à signifier les manières, l'apparence, l'extérieur.

Mais alors, il avait pris la forme air (comme dans air de vent, qui fut d'abord écrit aire de vent); il se confondit par l'orthographe avec le dérivé du latin aer, et depuis, nous avons eu, sous le même vocable air, deux significations dont l'une, celle de fluide que nous respirons, ne pouvant expliquer avoir l'air préoccupé et autres expressions analogues, vous a suggéré la question à laquelle je viens de répondre.

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A cause de sa synonymie avec de façon et de sorte, qui veulent généralement que après eux quand ils doivent être suivis d'un verbe à un mode personnel, on est iait surface, place publi- tenté de croire, avec M. Littré, que de manière à ce

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que est « une locution vicieuse dont il faut se garder de faire usage. »

Je vais vous démontrer que c'est là une erreur.

J'ai établi (Courrier de Vaugelas, 6o année, p. 155) que, dans l'origine de notre langue, toutes les fois qu'une préposition, quelle qu'elle fût, devait être suivie d'un verbe à un mode personnel, on y ajoutait les mots ce que. Or, en vertu de cette règle, de manière, de façon et de sorte, qui se construisaient avec la préposition à devant l'infinitif, ont dû devenir de manière à ce que, de façon à ce que, de sorte à ce que, devant un verbe à un autre mode.

Mais, avec le temps, à ce disparut de ces expressions comme il avait disparu de leurs analogues, c'est-à-dire capricieusement: aujourd'hui, de sorte se construit seulement avec que après lui, et il en est à peu près de même pour de façon; tandis qu'avec de manière, il n'est nullement rare de rencontrer les mots à ce dans les écrivains qui passent pour être les plus corrects.

D'où il suit que de manière à ce que, bien loin de constituer une expression vicieuse et bonne tout au plus pour la conversation, est, au contraire, une expression parfaitement conforme à la règle, et qui, pour cette raison, doit s'employer sans crainte.

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Un joueur s'avance à la distanc tend la main à celui qui sort du ca être frappé. Aussitôt que le premi s'élance après celui qui l'a frappé s'est mis à courir; s'il l'atteint, il

Au moment où le premier par adversaire, un autre du camp op puis un troisième court sur ce der ment les joueurs de chaque camp jusqu'à ce qu'on entende le mot p trent dans leurs camps respectifs. emmènent leurs prisonniers.

Ceux-ci se placent un peu en avant se prennent par la main, forment allongée que possible pour se rapp leurs camarades, et attendent leur lieu quand un joueur de leur camp p l'un d'eux, malgré les poursuites de du camp vainqueur.

A ce moment la partie est finie, mence une ou plusieurs autres.

Or, comme ce jeu emploie l'expres sur quelqu'un pour signifier qu'on e après lui, ce qui donne le droit de 1 parvient à le toucher, la même expre rellement employée, au figuré, en pa sonne ayant quelque avantage sur une

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Seconde Question. J'ai beau relire l'étymologie que v du mot QUIPROQuo (6e année, p. 164), me rendre compte comment de l'idée pr

médecine où, à défaut de telle drogue, succédané), on a pu arriver au sens de a aujourd'hui. Voudriez-vous bien me explication?

Le premier dictionnaire venu indiquant la pronon-expression (un intitulé de chapitre de ciation pouvait vous donner ce renseignement aussi bien et plus promptement que moi. Il ne faut avoir recours au Courrier de Vaugelas que pour des questions qui présentent des difficultés réelles, et non pour celles dont la solution est en quelque sorte à la portée de tout le monde sa tâche ainsi réduite sera encore assez considérable.

ÉTRANGER

Première Question.

Je vous prierais de vouloir bien m'expliquer comment il se fait que l'expression AVOIR BARRES SUR QUELQU'UN peut signifier qu'on a un avantage sur lui.

L'expression dont il s'agit est empruntée au jeu de

barres.

Ce jeu de nos écoliers consiste à se séparer en deux camps égaux placés l'un en face de l'autre, à une distance plus ou moins grande, selon l'espace qu'offre le terrain que l'on a choisi pour s'y livrer.

Dans cette position, et quand on est convenu de différentes clauses pour la règle du jeu, on engage la partie.

Indépendamment du quiproquo des li cine, il y avait encore le quiproquo d'ap pas un intitulé de chapitre, celui-là, n reur qui, dans l'exécution d'une ordonna cin, consistait à substituer un médicame ce qui pouvait être parfois très-préjudicial

Or, cette dernière expression s'est en méprise, bévue, en parlant d'une pers fession quelconque, comme le donne à e citation, empruntée à Lesage par M. Littré

Est-ce que l'on ne dit pas ordinairement u■ quiproquo d'apothicaire, ce qui suppose qu'i. souvent de nous tromper.

Puis, on en a retranché le second ter ainsi que quiproquo s'est trouvé pourvu d cation dont nous faisons actuellement usage

X Troisième Question. D'où vient l'adjectif BISSEXTILE appliqué à a 366 jours? Je vous remercie d'avance pourque vous voudrez bien me faire à ce sujet.

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